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 Sujet du message: Danny Boyle
MessagePosté: 12 Jan 2009, 23:21 
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[Info modo : premiers tops Danny Boyle faits en 2005 dans ce topic]


A l’occasion de la sortie de son nouveau, je viens de me faire, sur une semaine, une rétro Boyle, comme j’avais vu la plupart de ses films y a longtemps, certains vus qu’une fois ou même pas vus, histoire de me refaire un avis sur tout ça.


Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Y a un côté très « premier long » et le film a subi le passage du temps, mais il tient encore pas trop mal la route. On retrouve d’emblée une thématique que Boyle développera davantage lorsqu’il troquera John Hodge (scénariste de ses 4 premiers) pour Alex Garland : la déshumanisation de ses personnages qui passe ici par l’appât du gain et les moyens pour y parvenir. On remarque également le principal défaut récurrent des œuvres de Boyle à mon goût : le 3e acte qui part en couille. Ici, y a un aspect « court métrage étiré » qui apparaît dès lors que le personnage d’Eccleston pète un câble tant le dernier tiers ne sait réellement que faire pour boucler son intrigue alors le récit va de soi de manière assez logique puis finit assez vite sans que la transformation du protagoniste ait été assez impliquante à l’écran. Restent un très bon Ewan McGregor et un cynisme assez réjouissant pour ce genre de sujet généralement moralisateur. Cf. le tout dernier plan. 3/6

Trainspotting (1996)
Lui aussi il a vieilli. A l’époque, c’était le « film culte » (comme on le dit un peu trop communément pour mille et un petits films qui dénotent un peu) avec la BO culte qui va avec, aujourd’hui je sais pas trop. Le côté socialoterne de la photo a plus sa place ici que dans le précédent (photo plate) et Boyle fait également preuve de davantage d’inspiration visuelle (l’excellente scène sur « Perfect Day » de Lou Reed, le délire des « Worst Toilet in Scotland ») mais je trouve l’intrigue parfois décousue (échec partiel de l’adaptation de ce qui s’apparente presque à une colelction de nouvelles tant les points de vue sont déconnectés les uns des autres), surtout…dans le 3e acte. Restent un très bon Ewan McGregor et un cynisme assez réjouissant pour ce genre de sujet généralement moralisateur. Cf. le tout dernier plan. 4/6

A Life Less Ordinary (Une vie moins ordinaire, 1997)
Déjà à l’époque, j’avais moyennement aimé. La revision a été pénible putain. Derrière son look (le Paradis comme un commissariat, les fringues et coiffures de Diaz et McGregor, toutes ces couleurs, le générique de fin en pâte à modeler), sensé coller au plus près de son pitch loufoque, le film paraît incroyablement fade. Avec des ralentis de post-prod SUPER LAIDS. Il est vraiment temps de virer Brian Tufano (chef op des 3 premiers Boyle donc). Et puis surtout, c’est pas drôle putain. C’est incroyable comme celui-ci fait mille fois plus « premier long » que son premier long. C’est vraiment du film d’ado. C’est cruellement 1997 comme film (jme comprends). Espèce de comédie ‘90s qui se veut décalée et qui reste misérablement basique et niaise. Restent un très bon Ewan McGregor et quelques fulgurances. 2/6

The Beach (La Plage, 2000)
Je dois être un des rares à pas détester le film. Déjà, Darius Khondji à la photo c’est tout de suite autre chose. Même si y a quelques effets de style pourraves (le plan avec Ledoyen et les étoiles là). Et puis même si Hodge est toujours là, il adapte Garland. Alors peut-être l’adapte-t-il mal (pas lu le livre) mais l’essence est quand même là et Garland est plus intéressant que Hodge. Ses deux scénarios pour Boyle sont là pour le prouver. Cependant, ce film c’est peut-être, avec Sunshine, le plus représentatif du syndrome « 3e acte mal torché ». Comme pour Shallow Grave, je trouve le basculement de DiCaprio trop rapide. Un instant c’est le paradis, la seconde d’après ça y est c’est l’enfer. Alors j’aime bien le trip Hearts of Darkness (Apocalypse Now cité dans le film par des extraits dans un ciné d’ailleurs) et l’univers tout ça mais ça aurait pu être plus fort. J’aurai bien aimé voir le même film avec Ewan McGregor et un Boyle plus cynique. 3/6

28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Vu une seule fois à l’époque et redécouvert avec un grand plaisir. De la trilogie garlandienne « perte de l’humanité », c’est probablement le meilleur, celui qui gère le mieux la manière dont le héros sombre du côté obscur. On peut apprécier aussi le fait que Boyle, passé de la photo angloloachienne de Tufano à l’exotisme léché d’un Khondji, ait été chercher Anthony Dod Mantle, chef op de plusieurs films Dogma, pour filmer en DV la fin du monde. J’aime bien aussi que ce soit pas vraiment un film d’horreur mais plutôt un drame de personnages inscrit dans un genre qui est le film de zombie. A ce niveau, c’est peut-être le meilleur hériter des Romero ce film-là, niveau fond. Et Cillian Murphy devient donc son nouveau Ewan McGregor. 5/6

Millions (2004)
Celui-là je l’avais pas vu et ohlala. C’est l’auteur cynique de Shallow Grave et Trainspotting qui a fait ça ? Le mec dont les derniers films, c’est des gens qui s’entretuent ? Un film à l’image de son héros, infantile, neuneu et prêchi-prêcha. Au départ, y a un côté ludique dans la mise en scène (la maison qui se construit toute seule) et le scénar (les gamins qui découvrent le pacson, ce qu’ils en font) mais très vite, c’est juste relou, super mal structuré et le propos final « l’argent ne fait pas le bonheur » exposé de manière super niaise. Pffffooo. Son pire film. 2/6

Sunshine (2007)
Ce film et moi, c'est une drôle d'histoire. Par un certain concours de circonstances, il se trouve que j'ai vu le film 3 fois en salle alors que j'en étais aps vraiment fan et même une 4e fois en DVD. La cinquième vision, mise dans le contexte de la rétro et même pas deux après les 4 autres, s'est fait plus satisfaisante. Je trouve toujours au film les mêmes défauts (personnages un peu trop limités à des archétypes, inévitable partage en couille du 3e acte qui transforme 2001 en sous-Alien avec effets de style visuels assez dégueus) mais j'ai davantage apprécié cette fois-ci tout ce que j'y admirais déjà auparavant (un genre trop rare et pas trop mal exploité, un visuel juste à tomber, des thèmes intéressants - merci Garland encore une fois). Je comprends davantage ce que tout le monde lui trouve là où je le trouvais surestimé jusqu'à présent. Ca doit être l'habitude, au bout de la 5e vision, les défauts font partie du décor, tu les vois presque plus. 4,5/6

Slumdog Millionaire (2008)
Film qui doit son efficacité indéniable à un calibrage tout de même assez visible et à la mode dont le succès surfe davantage sur la fameuse crise que sur ses qualités artistiques. C'est du feel-good movie pas honteux tant qu'on ne s'indigne pas inutilement de son côté peut-être "démago" diront certains mais c'est loin d'être ce que Boyle a fait de plus intéressant même si on retrouve le thème récurrent de la thune. Le film vieillit très mal cependant, un peu un syndrome Boyle ça aussi. 3/6

127 Hours (127 Heures, 2010)
Une certaine efficacité dans les séquences claustrophobes ou épidermiques et un onirisme pas inintéressant pour les scènes de vision, même si l'ensemble paraît un peu clippesque dans l'esthétique et la narration, avec des effets de style superflus. 4/6

Trance (2013)
Danny Boyle retrouve John Hodge et ses amours premières, avec un thriller articulé autour d'un trio de personnages qui n'est pas sans rappeler Petits meurtres entre amis, traitant - un peu superficiellement - de thèmes (la cupidité, la violence des rapports) ou d'archétypes (le jeune héros un peu foufou un peu naïf) chers au cinéaste. Malheureusement, il retrouve aussi l'un de ses principaux défauts, cette tendance à partir en vrille dans le troisième acte. Ca reste globalement assez ludique pour un sous-Inception. 4/6


Moyenne : 3.45/6


Top :
1. 28 Days Later...
2. Sunshine
3. Trance
4. Trainspotting
5. 127 heures
6. Slumdog Millionaire
7. The Beach
8. Shallow Grave
9. A Life Less Ordinary
10. Millions

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MessagePosté: 12 Jan 2009, 23:54 
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Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Jouissif parce que malsain. On se prend d'amitié pour les trois, on aurait presque du mal à les détester quand tout part en vrille. Une vraie accélération dans le flip et la détestation du genre humain. Il fait clairement premier film parce que peu soigné esthétiquement ce qui fait un contraste avec les prochains films du gars. Très original dans le fond, beaucoup de plaisir. 5/6

Trainspotting (1996)
Ultra-culte. BO mythique. Peu de souvenirs. Mais des personnages secondaires ultra-développés qui étoffent l'ensemble et donne un large panel de personnalités qui ont chacune leur scène, le côté psychologique lourd de sens, le désespoir lancinant contraste avec le rythme effrené et teuf/sexy/crazy de certaines scènes: les doubles sens de la drogue et de la jeunesse. Un bon fond, une bonne forme. 5,5/6

Une vie moins ordinaire (1997)
Oula, je viens de me rappeler de ce film. J'ignorais que c'était lui. Et bien, je n'en ai que de bons souvenirs et ça ne m'étonne pas qu'il a été réalisé par un de mes réalisateur préféré.
A revoir. mais au moins 4/6.

The Beach (La Plage, 2000)
Malgré de nombreux passage très bien faits, j'en garde de mauvais souvenirs.
Notamment LA scène ridicule.
A revoir tout de même.
Mais à l'époque c'était 2/6.

28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Surkiff ! Renouvellement du genre en gardant certains codes et en en oubliant d'autres. Deuxième partie (les soldats) moins bonnes, critique un peu simpliste de l'humain. (je commence à rejoindre FF sur son idée du 3e acte moins réussi) reste un surkiff, un de mes réal préféré dans un de mes genres préférés. 5,5/6

Millions (2004)
Ap vu.

Sunshine (2007)
Danny s'est calmé mais reste tendu.
Le réalisateur qui nous a habitué à des films frénétiques se calme ici, nous proposant une croisière à bord du dernier espoir de la vie sur Terre. Vu de l'extérieur le vaisseau est paisible fait son chemin sûrement en direction du Soleil présent tout au long du film par l'omniprésence de la couleur jaune qui envahit de toute part le film, le vaisseau et les rêves des personnages. Le soleil à la fois espoir et terrible ennemi des héros et c'est le psychologue du groupe qui sera le premier a être fasciné puis obsédé par son omniprésence et sa surpuissance.
Jouant tout au long du film sur les contrastes du soleil espoir/danger du vaisseau paisible à l'extérieur/tuerie à l'intérieur, le film propose un voyage à la fois haletant et contemplatif.
Les personnages ne sont ni attachants ni un florilège de clichés, le couple qui semble se profiler selon toute évidence reste platonique jusqu'à la fin où ils rappellent des Adam & Eve se sacrifiant pour leurs enfants, le rôle de Michelle Yeoh est quelque peu sous-employé alors que son métier de botaniste aurait pu apporter quelques idées cinématographiques intéressantes aux confins de l'espace, le psychologue demeure un des personnages les plus attachants par son obsession poétique à l'égard du soleil et son sang-froid inaltérable face aux évènements se révèle à l'image de chaque individu être bien peu de chose au moment de sa mort. C'est peut-être là où le film aurait pu bénéficier d'une fin tragique et fataliste en faisant échouer une entreprise représentant toute l'humanité à cause de l'ego de quelques individus (on est tout de même pas passés loin de ce ).
Les personnages s'enfoncent petit à petit dans la fatalité, mourrant à petits feux, autant de feux qu'il y a de péripéties tout au long de leur périple.
Le point de non-retour atteint on ressent quelquechose d'assez rare dans le cinéma: le sentiment du sacrifice pur, de l'abnégation absolue, du peu d'espoir pour la survie de l'humanité survivant dans le désespoir le plus absolu en ce qui concerne les destins individuels. "Un peu d'espoir pour l'humanité, plus aucun pour l'homme".
La fin du film nous rappelle qui est le réalisateur usant d'effets très clipesques (peut-etre trop) pour insister sur le caractère fantomatique et démoniaque de Pinbacker véritable antéchrist amoral et furieusement enclin à condamner le genre humain.

Je ne mets pas plus parce que Pinbacker est trop fort, trop entouré d'effets exagérés et la mort de la plupart des personnages est vraiment trop conne.
5,25/6

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Vous ajoutez à ça, le bruit et l'odeur...


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MessagePosté: 13 Jan 2009, 00:17 
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Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Découvert il y a longtemps et souvenir d'un truc vaguement cynique et malin, sous couvert de décalage anglais. Bof.
3/6

Trainspotting (1996)
LE film qu'il fallait avoir vu pour être cool (avec Pulp Fiction). Toujours très bon, un talent visuel jouissif, de l'énergie à revendre. Comment rendre la lose cool.
5/6

Une vie moins ordinaire (1997)
Anecdotique. Y'avait Holly Hunter, donc c'était pas trop mal non plus.
3/6

The Beach (La Plage, 2000)
Objectivement un film pas terrible qui foire son sujet. Subjectivement un gros plaisir coupable. Y'a là dedans une ode l'aventure et l'évasion qui me touche particulièrement, bien que très caricaturale. C'est inexplicable, mais j'adore ce film.
5/6

28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Excellent, le Londres déserté filmé sans esbrouffe, comme une vision onirique est fabuleux, d'ailleurs tout le monde l'a pompé. Et les zombies qui courent, fallait y penser, d'ailleurs tout le monde l'a pompé.
5/6

Millions (2004)
Pas vu.

Sunshine (2007)
J'adore aussi. Rien de nouveau dans ce film, qui n'est qu'un best of avoué des meilleurs films de SF et pourtant il a une identité forte et un appel à l'évasion (autre thème cher à Boyle). Et enfin on voit un film de genre où les héros ne passent pas leur temps à pleurnicher mais savent prendre les décisions radicales dès qu'elles s'imposent.
5/6

Bref, c'est pas un réalisateur que je citerai dans mes préférés ni de ceux auxquels je pense souvent. Mais bien que ses films soient forts imparfaits, je classe définitivement chez les gens intéressants et créatifs. Un de ceux dont on ne connaît jamais les films avant de les avoir vus (et c'est plutôt rare). Slumdog millionaire je l'attends, en m'attendant à être surpris quoi qu'il arrive.

1. Sunshine
2. Trainspotting
3. La Plage
4. 28 jours plus tard
Le reste on s'en fout.


Dernière édition par oeil-de-lynx le 13 Jan 2009, 00:22, édité 1 fois.

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MessagePosté: 13 Jan 2009, 00:21 
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oeil-de-lynx a écrit:
Et enfin on voit un film de genre où les héros ne passent pas leur temps à pleurnicher mais savent prendre les décisions radicales dès qu'elles s'imposent.


Bah justement t'en as un, Rose Byrne, qui ne fait RIEN sauf chialer dans tout le film.

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MessagePosté: 13 Jan 2009, 00:25 
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C'est vrai, je sais mais c'est la seule, c'est même l'intruse à un moment. La caution morale, quoi.


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MessagePosté: 13 Jan 2009, 00:37 
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Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Vu il y a longteeeeemps, je me souviens particulièrement de McGregor qui ricane avec un poignard dans l'epaule. Fun.
4/6

Trainspotting (1996)
Film COOL.
5/6

Une vie moins ordinaire (1997)
Pas vu

The Beach (La Plage, 2000)
Foireux mais bon, c'était pas non plus la cata je trouve, yavait des bons trucs, d'autres pourris. Son moins bon pour moi.
2/6

28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Je suis vraiment pas branché films d'horreur/gore/zombie etc. Là j'ai été scotché. Les zombies qui courent putain. J'aurais entendu parler de ça avant d'avoir vu le film je me serais marré.
5/6

Millions (2004)
Sympa, mignon, mais trop niais, surtout dans sa toute dernière scène absolument CONNE, DEBILE, NAZE. 3/6

Sunshine (2007)
La folie. En partie car c'est une ultra claque visuelle et sonore.
6/6

Slumdog millionaire (2009)
Film sympa.
4/6

1. Sunshine
2. 28 jours plus tard
3. Trainspotting
[/quote]


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MessagePosté: 13 Jan 2009, 18:14 
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Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Plus revu depuis longtemps, Mia sà l'époque je trouvais ça très malin, très fun.. Franchement jouissif. Notamment la fin.
5/6

Trainspotting (1996)
Comme le dit Deud, film über cool, par son sujet, sa BO, ses idées visuelles. Culte!
5/6

Une vie moins ordinaire (1997)
Plus revu depuis 1997, au ciné. J'avais trouvé ça très léger mais très divertissant. J'avais même acheté la BO tiens. Holly Hunter m'avait bien fait marrer. J'ai peur de la révision.
4/6

The Beach (La Plage, 2000)
Pas aimé du tout.
1/6 pour la photo.

28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Plus revu depuis les salles, mais ça m'avait laisser une forte impression, j'avais trouvé ça novateur et diablement efficace.
4,5/6

Millions (2004)
Pas vu, pas envie.

Sunshine (2007)
J'adore. J'adore le ton, la maîtrise visuelle, les couilles. Très fort.
5/6

Slumdog millionaire (2009)
Bientôt!

Et bientôt le top *ouééé*

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 Sujet du message: Re: Danny Boyle
MessagePosté: 13 Jan 2009, 23:35 
Shallow Grave (Petits meurtres entre amis, 1994)
Trainspotting (1996)
J'avais bien aimé, mais je devrais les revoir, ça fait trop longtemps.

A Life Less Ordinary (Une vie moins ordinaire, 1997)
J'avais été déçu à l'époque, je l'ai jamais revu, même si on me l'a conseillé.

The Beach (La Plage, 2000)
Déception là aussi.


28 Days Later… (28 jours plus tard…, 2002)
Bien aimé, mais sans plus.

Sunshine (2007)
Aimé la première partie, la suite beaucoup moins.

Slumdog Millionaire (2008)
Mon préféré, donc, mais faudrait que je revois les premiers.


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