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pareil

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Tennis de Table Bordeaux

Pour la goutte d'eau en images de synthèse évidemment, mais pour la boue je ne crois pas.

Pour renforcer l'immersion je suppose, l'effet "je suis tellement immergé dans l'action que je suis pas à l'abri de me prendre une gerbe de sang dans la gueule". Je pense que dans la plupart des cas ça produit l'effet inverse car ça souligne qu'on est séparé de la scène par un écran, mais dans Les Fils de l'Homme ça fontionne bien je trouve. Je me demande aussi si ça vient pas des FPS, où lorsque tu te fais tirer dessus, tu as parfois des éclaboussures de sang qui apparaissent à l'écran.

Là je peux comprendre. Le FPS, c'est la quintessence du procédé de caméra subjective.

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Tennis de Table Bordeaux

Un personnage en braque un autre désarmé.
Coup de feu.
OH PUTAIN IL A TIRÉ
Ah non en fait c'était quelqu'un d'autre qui a tiré sur celui qui braquait le perso désarmé. (Et celui qui braquait regarde alors le trou de la balle dans son corps avant de tomber)

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Cela a certainement été évoqué, mais il y a un procédé qui commence à sentir le ranci : durant une baston, un homme se retrouve au sol, groggy de préférence. Son ennemi s'avance vers lui arme au poing. Contre-plongée sur l'homme armé, coup de crosse vers la caméra, NOIR. Vu deux fois en une semaine - et des dizaines de fois auparavant.

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Arguing on the internet is like running in the Special Olympics. Even if you win, you're still retarded.

ouais, j'ai du voir ça une centaine de fois. Ca peut paraître étrange que des auteurs persévèrent sur ce truc alors qu'on devine instantanément que c'est l'homme armé qui vient de se faire flinguer (il menace généralement un perso non tuable). Mais beaucoup de films sont écrits par des gens qui savent qu'ils font de la merde. Du moins, je ne vois pas comment c'est possible autrement.

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Tennis de Table Bordeaux

Un ou des personnages sont au lit.
Ils éteignent la lumière.
On voit toujours comme en plein jour.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Et l'actrice a toujours son sous-tif.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

Et se réveille le lendemain toujours allongée sur le ventre avec le drap qui recouvre juste ses fesses.

Sinon, y'a le tueur dans la maison et la victime cachée dans le placard.
La victime voit par l'ouverture (parce que ce sont toujours des placards avec des persiennes) le meurtrier s'approcher du placard, hésiter puis partir parce qu'il a entendu le chat/l'évier qui goutte/l'aspirateur qu'on a oublier d'éteindre.
Soulagement de la victime, et là hop, le meurtrier ouvre le placard d'un coup alors qu'il était dans la cuisine la seconde d'avant.

64 pages pour ce topic ; j'imagine un film regroupant absolument tous ces poncifs (mais peut-être que ça peut se trouver).

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

lol. N'empêche.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'ai vu exactement cela dans le dernier épisode de la saison 3 de Luther

Regardez n'importe quel téléfilm NRJ12, vous verrez la moitié de ce topic toutes les 2 minutes !

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Netflix les gars, Netflix.