Forum de FilmDeCulte

J'ai déjà oublié les exemples (GOLIATH peut-être ? ENQUÊTE SUR UN SCANDALE D'ETAT ? PAM & TOMMY ? Me rappelle plus) mais j'en ai marre de la mode des panneaux introductifs qui détournent le fameux et éculé "Inspiré de faits réels".
Je voulais écrire un message là-dessus et ce matin je tombe sur ce tweet:

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Surtout que l'on ne fera jamais mieux que ce carton de Fargo qui en est probablement à l'origine :



Jamais mieux puisque c'est du pipeau, sauf pour le cadavre passé à la déchiqueteuse.

Et pour l'anecdote, j'ai repris presque mot à mot ce carton de Fargo en intro de mon livre Pornstar... Et ça n'a pas loupé, plusieurs journalistes m'ont écrit (ou ont écrit dans leur article) qu'ils avaient deviné de qui je parlais mais qu'ils ne lâcheraient pas le morceau.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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AdamMcKayisation du cinéma.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Nan on fera pas mieux que le "THIS IS STILL A TRUE STORY" qui arrive aux 2/3 de Pain & Gain quand Dwayne Johnson barbecue les membres fraîchement découpés f'une victime avec une officier pas loin.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Poetic cinema.

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J'aimais bien aussi le carton d'intro de Domino qui disait un truc du genre "This is a true story" puis "... sort of" rajouté juste après. Mais bon, c'était ya plus de 15 ans.

Mais grave, j'y pense à chaque fois.

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Netflix les gars, Netflix.

A chaque fois de quoi? Que tu fais un barbec ?

Qu'il se prend des doigts.

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Que je regarde le film, DUH.

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Netflix les gars, Netflix.

Je sais pas si il a déjà été évoqué celui-là.

Le film est quasi fini. Le personnage secondaire pose une question au personnage principal sur un détail du scénario pas expliqué jusqu'à présent. Celui-ci commence à parler et là, la caméra s'éloigne, la musique commence et on entend plus les dialogues (et en plus ils ont hilares ces bâtards), lancement du générique.

Exemple : la toute fin des Rivières Pourpres.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

C'est pas tant un poncif que limite de la parodie là (ou du foutage de gueule selon le film)

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Netflix les gars, Netflix.

C'est littéralement une scène de la Cité de la Peur.