Forum de FilmDeCulte

Le fan de Bleu d'enfer vient jouer au cinéphile.

_________________

On va faire simple :

L'Enfance nue (1968)
6/6

Nous ne vieillirons pas ensemble (1972)
6/6

La Gueule ouverte (1973)
5/6

Passe ton bac d'abord (1978)
4.5/6

Loulou (1980)
5/6

À nos amours (1983)
6/6

Police (1985)
6/6

Sous le soleil de Satan (1987)
5.5/6

Van Gogh (1991)
6/6

Le Garçu (1995)
6/6

L'Enfance nue (1968)
6/6

Nous ne vieillirons pas ensemble (1972)
5/6

La Gueule ouverte (1973)
6/6

Passe ton bac d'abord (1978)
4/6

Loulou (1980)
5/6

À nos amours (1983)
6/6

Police (1985)
4/6

Sous le soleil de Satan (1987)
6/6

Van Gogh (1991)
5/6

Le Garçu (1995)
3/6 (je trouve ça un peu raté, et pas très bien interprété qui plus est...)

Télé
La Maison des bois
5/6 Son oeuvre la plus "renoirienne".

_________________
N'écoutez pas Film Freak

Et c'est tellement mieux que le cinéma...

_________________
N'écoutez pas Film Freak

1. Van Gogh (1991)
Je garde un souvenir très fort du film, et surtout de ses dernières minutes. A revoir.

2. À nos amours (1983)
Vu deux fois, très fort là aussi. Une sorte de proto-Kechiche. La fin...

3. Police (1985)
Découvert récemment donc. Fasciné par toute la première heure, moins par la deuxième. Mais c'est du solide.

4. Le Garçu (1995)
Je me rappelle d'un film étrangement doux et accueillant. Pas trop compris la polémique autour. On a reproché à Pialat d'être gâteux parce qu'il filme Antoine Pialat (le fameux !) ?

5. L'Enfance nue (1968)
Peu de souvenirs, mais ça devait être trop aride pour moi.


Pas vus:
Nous ne vieillirons pas ensemble (1972)
La Gueule ouverte (1973)
Passe ton bac d'abord (1978)
Loulou (1980)
Sous le soleil de Satan (1987)

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste

On lui a reproché de faire un film de vacances à coups de millions de francs.

Toujours pas de blu-ray pour La Maison des bois ?

excellente nouvelle !

Qualité française non, je comprends ce que veut dire Tetsuo en citant Renoir, mais j'avoue avoir trouvé cela parfois très chiant, on s'attache progressivement aux personnages principaux mais c'est souvent trop long (l'épisode avec les deux parisiennes que l'on est pas venu chercher à la gare est dans sa globalité totalement inutile). Et les rôles secondaires sont horriblement mauvais (le cafetier, le sacristain). Pas déplaisant, mais je ne la reverrai jamais, je m'étonne que Pialat en fasse ce qu'il aurait tourné de mieux (la réalisation n'est par ailleurs pas exempt de critique avec ses mouvements de caméras sur-signifiant).

Grosse rétro en ce moment sur arte. Je vais essayer de tous me les faire (et de pas me flinguer).

C’est pas vraiment déprimant en fait. C’est sombre, mais pas désespéré, au contraire. A part sans doute La gueule ouverte.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Oui je creusais un peu la caricature de l'image que son cinéma renvoie, avec l'effet d'accumulation d'une rétro, et c'est vrai que c'est ce qui m'a toujours un peu freiné de me lancer même si c'est un cinéaste qui m'attire beaucoup a priori.

Bref, j'ai découvert L'Enfance nue hier. Impressionné par ce dépouillement, annoncé dès le titre et qui se traduit dans tout le projet, du récit au montage en passant par les comédiens, qui donne un aspect très rêche au film mais pour mieux en faire ressortir l'humanité et capter le réel. Gros morceau.

Répond à ça Maurice.

J'avais pas vu ton message. Maurice pas là