Forum de FilmDeCulte

Haceldama ou le Prix du sang
L'Agonie des aigles
La Réincarnation de Serge Renaudier
Crépuscule d’épouvante
Les Roquevillard
L'Ouragan sur la montagne
Der Unheimliche Gast
Le Reflet de Claude Mercœur
Credo ou la Tragédie de Lourdes
Cœurs farouches
La Machine à refaire la vie
L'Œuvre immortelle
L'Abbé Constantin
Poil de Carotte
L'Homme à l'Hispano
L'Agonie de Jérusalem
Le Mariage de mademoiselle Beulemans
Le Tourbillon de Paris
Le Mystère de la Tour Eiffel
La Divine Croisière
La Vie miraculeuse de Thérèse Martin
Maman Colibri
Au Bonheur des Dames
David Golder
Les Cinq Gentlemen maudits
Die Fünf verfluchten
Poil de carotte
Allô Berlin ? Ici Paris !
La Tête d'un homme
Le Petit Roi
La Machine à refaire la vie
Le Paquebot Tenacity
Maria Chapdelaine
Golgotha
La Bandera
Bout de chou
La Belle Équipe
Le Golem
L'Homme du jour
Pépé le Moko
Un carnet de bal
Toute la ville danse (The Great Waltz)
La Fin du jour
La Charrette fantôme
Untel père et fils
Lydia
Tales of Manhattan
Flesh and Fantasy
L'Imposteur
Panique
Anna Karénine
Au royaume des cieux
Black Jack
Sous le ciel de Paris
Le Petit Monde de don Camillo
La Fête à Henriette
Le Retour de don Camillo
L'Affaire Maurizius
Marianne de ma jeunesse
Marianne
Voici le temps des assassins
Pot-Bouille
L'Homme à l'imperméable
La Femme et le Pantin
Marie-Octobre
La Grande Vie
Boulevard
La Chambre ardente
Le Diable et les Dix Commandements
Chair de poule
Diaboliquement vôtre

J'espère n'en avoir pas oublié...

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

6 : Poil de carotte
4 : La Belle Équipe
6 : Pépé le Moko
4 : Panique
4 : Le Petit Monde de don Camillo
3 : Le Retour de don Camillo
2 : L'Affaire Maurizius
3 : Voici le temps des assassins
2 : L'Homme à l'imperméable
2 : La Femme et le Pantin

Assez mitigé sur ce cinéaste : j'avais découvert et adoré Pépé le Moko il y a près de trente ans, mais les autres films vus depuis quelques mois me laissent un peu de marbre. Je sauve surtout Poil de Carotte (qui a traumatisé mon fils), éventuellement Panique (surtout pour la fin). Malgré la noirceur indéniable, c'est surtout la naïveté des personnages qui me fait décrocher (par exemple celui insupportable de l'ado dans L'Affaire Maurizius), ainsi que la fin de ses films.
Je n'ai peut-être pas vu les meilleurs.

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J'en ai vu une bonne quinzaine, pour l'essentiel il y a trop longtemps pour que j'émette un avis pertinent. J'avais plutôt apprécié La Fin du jour, dans ceux qui ont plutôt bonne réception Un Carnet de bal ou La Tête d'un homme...

Je crois avoir justement dans mes cartons ces trois films là. Prévus pour bientôt.

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Vu La belle équipe il y a quelques mois, beaucoup aimé cette ode à l'amitié et au rassemblement (mois fan de la fin drame conjugal mais bon). J'en ai peut être vu d'autres mais je ne m'en souviens plus. Il y a Panique actuellement sur le site d'Arte que je vais essayer de voir.

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CroqAnimement votre

Il y avait Pépé le Moko hier soir sur Arte et j'en ai profité pour le découvrir. Chouette décor et lieu d'action que la Casbah d'Alger récréée en studio. La gouaille cabotine des dialogues a mal vieilli, le film veut à tout prix nous faire ressentir la vista du protagoniste (et de Jean Gabin). Mais le scénario finit par déployer quelques péripéties assez noires et j'ai plutôt bien aimé.

Mais ça me donne moyen envie de découvrir le reste pour le moment.

Je trouve que c'est un cinéaste très solide, même si évidemment, c'est une France pas très actuelle que ça dépeint, et ça sent un peu la naphtaline.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui Pépé le Moko (ce titre déjà...) c'est difficile à regarder sans penser aux fameuses critiques sur la Qualité Française, c'est techniquement très bien fait, la descrption de la Casbah au début c'est très beau, mais ça reste limité par l'iconisation un peu grossière des personnages, le cynisme facile, les dialogues trop forcés. Bref bien mais pas transcendant.

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сервисный центр ураган

J'ajoute donc :

4 : La Tête d'un homme
4 : La Fin du jour
5 : Pot-Bouille

Je pense arrêter là avec Duvivier pour cette année, à moins que j'ai le courage de lancer Au bonheur des dames, pour comparer avec la version de Cayatte vue l'année dernière. Des sept films vus cette année, mon préféré reste Pot-Bouille, que j'ai du coup bien envie de lire. Je ne sais pas si les autres Duvivier que j'ai vus s'inspiraient de livres (à part Panique d'après Simenon, évidemment), mais celui-ci me semble plus construit, mieux fini. Gérard Philippe y est impérial (avec face à lui une belle affiche féminine), et le film démarre tambour battant grâce aux dialogues ciselés par Jeanson.

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Petit top (même si peu représentatif d'une filmo composée de dizaines de titres) :

1/ Poil de carotte
2/ Pépé le Moko
3/ Pot-Bouille
4/ Panique
5/ Le Petit Monde de don Camillo
6/ Voici le temps des assassins
7/ La Belle Équipe
8/ La Tête d'un homme
9/ La Fin du jour
10/ La Femme et le Pantin
11/ Le Retour de don Camillo
12/ L'Affaire Maurizius
13/ L'Homme à l'imperméable

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Que lire cet hiver ?
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La Belle Équipe (1936) 3/6
Voici le temps des assassins (1956) 2/6

Vus sur le replay de france.tv et comment dire ....
On va commencer par le positif : les deux films ont un sens du récit et un filmage efficaces, et un intérêt historique certain dans la description de Paris (superbe ambiance des Halles dans Voici..., génial début de La Belle Équipe avec cet hotel de marchand de sommeil) et des guinguettes du bord de Marne, sans folklorisme et avec sincérité.
En plein debut de Front Populaire, La Belle Équipe fait également une belle proposition d'aventure collective, avec des elements de fond politique (le réfugié espagnol, l'influence du créancier).
J'ai bien aimé le Gabin jeune, que je connais pas vraiment, c'est vraiment le gars peuple, avec un jeu assez naturel, j'ai l'impression de voir mon grand-père jeune (genre).

Par contre le Gabin vieux c'est vite horripilant, c'est bourré de postures et on ne voit que l'acteur, ca m'a gonflé. C'est bien simple, sa performance c'est exactement ce que tu peux imaginer avant le film sans connaitre plus que ca sa filmo.
Et l'autre grosse limite, c'est que ça n'a pas très bien vieilli, on a vraiment l'impression d'être devant cette F-rance qui schlingue un peu de la gueule, où les femmes sont presque exclusivement présentées comme vénales et perfides, et qui viennent briser les belles amitiés viriles ou détruire le vieux patriarche honnête et travailleur qui a un lien quasi filial avec le jeune premier. C'est franchement gênant, au-delà de tout propos woke ou que sais-je, je vois pas l'intérêt des trucs aussi caricaturaux, sachant que les intrigues ne jouent sur un suspense ou une tension subconsciente, c'est vraiemnt très 1er degré. La seule idée valable, c'est le mec du groupe amoureux de la compagne d'un autre, et qui décide de fuire l'aventure collective par souffrance.... mais cest expédié trop vite.

Bref, vraiment pas convaincu, ca donne pas vraiment envie d'y retourner...

MARIE OCTOBRE ( 1959-Julien Duvivier)

Il est toujours difficile lorsqu'on parle d'un immense metteur en scène, de " choisir un film plutot qu'un autre"... Les gouts bien sur, et la subjectivité de nos choix, en fonction du fait que l'oeuvre en question " nous parles ou pas"

De Marie Octobre, l'un des huit clos les plus célébres, il émane un " silence assourdissant", fait de non dit, et réalisé pour démontrer que " les héros" eux aussi pouvaient avoir leur cotés pour le moins inquiètant..
Ce réglement de comptes suprémement interprètè par la fine fleur de l'époque ( quel casting !) vole haut, si haut que plane perpétuellement l'ombre du traitre, " celui par qui", et qui fait que chacun vide son sac envers l'autre...qui doit se défendre, coute que coute..Le plus souvent en en accusant un troisième, dans une partie de ping pong ou le suspense grandit de minute en minute, avec tous les rebondissements imaginables...

Il a été dit, et c'est sans doute vrai, que les acteurs eux memes ne connaissaient pas l'identité du coupable et que les scènes furent ainsi tournées dans l'ordre, certaines en une prise tellement l'interprètation était parfaite...

Il est vrai que de Ventura a Danielle Darrieux, en passant par Blier, Frankeur, Reggiani ou Paul Meurisse, ils semblent tous habités par leur personnage, tantot odieux tantot touchants, et toujours si vrai
En fait le charme du film vient de la : il sonne vrai.

Chacun aura son "préféré" dans cette immense filmographie d'un cineaste au talent "supèrieur", pour ma part avec "Panique", " Voici le temps des assassins" et la Belle équipe", Je placerai "Marie Octobre" parmi ses oeuvres les plus abouties, et de plus l'une de ses plus personnelles.

découvert l'année dernière. Beaucoup aimé même si le coupable est trop prévisible ( trop la tête de l'emploi).