Forum de FilmDeCulte

C'est plus éloquent, je trouve.


Ca me semblait trop tiré par les cheveux.


OK

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Tennis de Table Bordeaux

Sur Sandman :

La série principale fait 75 numéros répartis sur 10 volumes. Apparemment ils ont traduit jusqu'au 6 pour l'instant en France, sachant que ceux que tu cites n'en font en fait que deux, les deux premiers, "Préludes et nocturnes" et "La maison de poupée". Le troisième est "Domaine du rêve", le quatrième "La saison des brumes". Donc tu es encore au tout début...
Pour l'anniversaire des dix ans, ils ont publié un onzième volume, "Endless Nights", qui est constitué d'une histoire écrite par Gaiman pour chaque Endless et un dessinateur différent pour chaque histoire (parfois le dessin est très réussi, notamment celui de Barron Storey/Dave McKean et celui de Bill Sienkiewicz).

En plus, il y a :
- quatres courtes histoires sur Death, dont deux sont écrites par Gaiman.
- The Dreaming, une série de 60 numéros avec des histoires courtes qui couvrent 2 ou 3 numéros et qui mettent en scène les personnages secondaires de l'univers de Sandman, écrite principalement par la romancière Caitlin R. Kiernan. C'est tout à fait dans la continuité de ton de la série principale et ca développe grandement l'univers en s'attardant sur des personnages un peu évacués dans la série principale.
- The Sandman Presents, une autre série sur des personnages secondaires sur quelques numéros à chaque fois et des auteurs/dessinateurs différents. Je l'ai pas lu encore.
- une série sur Lucifer qui reprend le personnage là où Gaiman l'a laissé, là encore en 75 numéros. Pas lu non plus.
- Quelques autres one-shot et des romans, que j'ai pas lu.

Ca représente pas mal de pages en tout... Rien que la série principale doit faire dans les 1700-1800 pages.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Je suis en partie d'accord... généralement ca fonctionne, mais ca ne veut pas dire que ca n'aurait pas pu être mieux. V for vendetta j'aime beaucoup, mais je trouve certaine page techniquement raté (certains visages surtout). Un trait plus fin dans le même style n'aurait fait que renforcer l'effet déjà obtenu.
Pour Gaiman, ses histoires ne sont jamais aussi bonnes que quand elles sont "dessinées" par McKean. Mais vu le boulot qu'il y a derrière, je comprends que ca soit limité à des histoires courtes et qu'ils ne puissent pas travailler de cette manière sur des séries mensuelles. Il y a les contraites de publication qui entrent en jeu. Après c'est du cas par cas, l'écriture est parfois plus forte que le dessin, parfois c'est l'inverse... l'équilibre est rare.

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2. Die.
3. Rot.

Merci pour tout ça... ça fait chier parce que ça veut dire que ma bibliothèque est loin d'être à la page (ouais, avec jeu de mots de merde) et que je suis loin de pouvoir tout lire



du coup, il ne faut pas que je lise La saison des brumes tout de suite, alors... J'espère qu'ils ont Domaine du rêve, je préfère lire dans l'ordre...

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oui, donc, ce qui veut dire que le passage tradition orale dont je parle est, si j'ai bien suivi, au début de La Maison de poupée (début du troisième tome de l'édition de ma bibli). Tu vois de quoi je veux parler?

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Le passage avec les deux africains (je suppose)? Ce type de récit revient régulièrement par la suite, à la fois l'idée d'oralité et la référence aux mythes anciens, et le huitième volume est en entier consacré à ca (il y a d'autres épisodes avant ca, dès le troisième je crois, mais le huitième en parle directement). La série associe directement rêve et récit, le rêve c'est surtout celui que l'on raconte, que l'on imagine, le lieu où l'on peut être ailleurs et différent de ce que l'on est, et pas du tout le rêve du psychologue. C'est en effet une des choses que je préfère dans Sandman et d'ailleurs c'est souvent quand Gaiman s'échappe de ses trames principales comme ici qu'il est le plus intéressant.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
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2. Die.
3. Rot.

tout à fait d'accord.
c'est intéressant d'ailleurs ces scénaristes de comics (je pense aussi à Alan Moore, bien sûr) qui s'interrogent sur la narration même, sur le fait de raconter une histoire, sans faire un truc pédant pour autant.

je ne vois pas beaucoup d'équivalents en France, qui feraient ainsi du récit populaire mais qui se poserait de telles questions. D'emblée, comme ça, je dirais David B.

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quand je pense que cette carte existe pour de vrai...




c'est manu larcenet qui l'a reçue, dans le cadre du Championnat du monde des cartes postales de la honte (donc des vraies cartes, achetées en kiosque, pas des cartes fabriquées spécialement).

C'est par ici : http://cartespostalesdelahonte.over-blog.fr/

21h56

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Ouuuuh y a du glauque hein.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

SI j'y pense je t'en ramenerais une de Trouville ou y'a un trou dedans et ou y'a marqué: SORS DE TON TROU!!!

magnifique...

nan mais sérieux...





misère...

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j'avais fait le même genre de concours avec des potes...si jamais t'as un scanner je peux t'en passer des fameuses...

La deuxième est encore plus vulgaire que celle en noir et blanc du zgueg décoré d'une paire de lunettes qui faisait fureur à la Carterie dans ma jeunesse.

genre celle-là?



sinon, quand même, la pire c'est sûrement celle-là...



j'imagine les pauvres mecs qu'ont eu l'idée de faire ce vieux truc... l'horreur...

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c'est peut etre pas aussi fort mais j'en ai de compet' (je crois) quand même...