Forum de FilmDeCulte

1973 : Libido
1976 : The Devil's Playground
1978 : Le Chant de Jimmy Blacksmith (The Chant of Jimmie Blacksmith)
1982 : Barbarosa
1984 : Iceman
1985 : Plenty
1987 : Roxanne
1988 : Un cri dans la nuit (A Cry in the Dark)
1990 : La Maison Russie (The Russia House)
1992 : Mr. Baseball
1993 : Six Degrees of Separation
1994 : L'Amour en équation (I.Q.)
1997 : Créatures féroces (Fierce Creatures)
2001 : Last Orders
2003 : Une si belle famille (It Runs in the Family)
2005 : Empire Falls (TV)
2011 : L'Œil du cyclone
2013 : Lessons in Love (Words and Pictures)
2017 : Andorra

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Découverte de quatre de ses films cet été, un peu par hasard, et il y a quand même une certaine tenue, sauf pour L'amour en équation, que j'ai trouvé véritablement à chier. Je suis surpris de voir l'accueil de certains de ses films, les prix reçus, etc.

1984 : Iceman
Intéressant, assez sérieux scientifiquement (enfin... Ca survole, mais les idées sont là). Mon fils a beaucoup aimé.
3/6

1988 : Un cri dans la nuit (A Cry in the Dark)
Très surpris par ce film, bien éloigné de l'image que j'en avais, le film montrant les nombreuses réactions d'anonymes.
4.5/6

1993 : Six Degrees of Separation
Un côté Woody Allen, parfois en mieux. Long, mais la mise en scène est bien fichue.
4/6

1994 : L'Amour en équation (I.Q.)
Catastrophique, tout ce que j'ai hais. Et Meg Ryan est insupportable.
0.5/6

+

1997 : Créatures féroces (Fierce Creatures)
Vu sur C+ à l'époque, j'avais trouvé ça très sympa.

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Barbarosa : Un film qui vaut absolument le détour, dans la catégorie western démystificateur, il tire son épingle du jeu par son aspect satirique, presque vaudevillesque, la violence en sus. Crado et pelé comme un Peckinpah, truculent et sans sensiblerie comme du Mark Twain.

Iceman : Aucun souvenir. Je pense que c'était bien trop naïf pour m'émouvoir.

A cry in the dark : Une phrase qui a l'époque est devenue une espèce de meme, "the dingo ate my baby", sujet intéressant autour de l'emballement médiatico-judiciaire au sujet d'une femme qu'on jugeait trop peu empathique au moment de la mort de son enfant. Meryl Streep est parfaite pour le rôle.

Plenty : Académisme de très bon teint, c'est bien trop didactique quant à sa description de la vie d'une femme émancipée. Je regrette de pas avoir pris quelques notes à l'époque car je ne sais plus précisément ce que je reprochais au film. Pauline Kael le résumait très bien. De Hare, il vaut mieux voir Wetherby.

Roxanne : Adaptation de Cyrano de Bergerac dans une station de ski aux paysages idylliques. Bonne comédie romantique.

The Russia House : Meilleure adaptation de Le Carré pour moi avec The Spy who came in from the cold. Un des premiers films américain tourné en URSS.

Six Degrees of Separation : un sujet en or pour moi - l'aspect artificiel de l'étiquette et des codes sociaux - mais où satire et prétention sont trop difficiles à dissocier. L'aspect adaptation de pièce de théâtre me rebute mais c'est un film dont j'aimerais retenter la vision et à l'excellente réputation

I.Q. : Je kiffe. Une petite comédie romantique tendre et originale dans la lignée de Creator d'Ivan Passer (probablement meilleur)

J'ai vu deux des derniers aussi mais c'est vraiment trop faible pour être mentionné. Le chef d'œuvre est censé être The Chant of Jimmie Blacksmith. Moralité : réalisateur qui s'est distingué dans un académisme supérieur, rarement mirobolant, et dont le seul problème est que le cinéma plus intelligent que la moyenne se trouve limité par le fait qu'il s'adresse un peu à la moyenne.

Je connais même pas de nom.. à tester.