WOUAOUAAAA, je vous laisse une demi-journée et vlà le bordel que jretrouve. C'est bien continuez ! Et puis arriver à faire rentrer Bliss dans un débat, c'est le début de la gloire, continuez de le contredire, faites le s'énerver, on tient le bon bout !
Cosmo a écrit:
Mufti a écrit:
Cosmo a écrit:
Pas forcément évident : ce ne serait pas le premier mec à répondre à des avances, (sans forcément aller jusqu'au bout, ne serait-ce que pour jouer aux coqs encore un peu).
Du coup ça fait une raison pour répondre favorablement aux avances, oui. Mais pour refuser, dans le cas de personnes normalement constituées comme Pandor ou Deudtens, je ne vois pas d'autre raison.
Bah tu sais, y a des mecs qui repoussent par timidité, par peur, parce qu'ils n'aiment pas l'idée qu'une fille les draguent...
Oui je sais, ce sont des barjots !!
Mais c'est exactement ça ! Les premiers jours j'étais très gêné quand une meuf me regardait dans le métro, car ici, quand tu mattes, ben la meuf te matte en retour, mais avec un regard super froid, elle te fixe, c'est très déstabilisant. Là, jme soigne, jfais des efforts, jbaisse plus le regard comme une tarlouze, je souris comme un niaiseux (prochaine étape : je sors ma teub). Sinon, je rectifie : j'ai "vécu" tout ça à Montréal, et j'ai très rarement vu quelque chose de similaire en France.
J'en profite pour faire un copier/coller de cque j'avais écrit sur mon blog :
Citation:
Je prends le bus en sortant du boulot. Je suis frigorifié. Je sors un gros “BONJOUUUR !” bien franchouillard au chauffeur du bus. A ce moment, je vois une tête feminine se dresse vers moi dans le bus. Et avec un sourire. “Oui ça va je sais, je suis un ptit frenchy de plus, hinhinhin” me dis-je. Je m’assieds à côté de la demoiselle, seule place assise oblige. Au passage, je manque de me vautrer par terre à 2 reprises en faisant le chemin vers le siège, tout secoué par le bus. Ça la fait rire. J’ai l’air con. Je lui demande si c’est bien le bon bus pour aller où je veux. Elle me répond par l’affirmative, avec un bon sourire qui, bien que très amical, me fait comprendre que j’ai bien l’air d’un peaumé. A juste titre.
Le bus s’arrête, nous sortons. Quand elle se lève, elle me regarde fixement et me dit quelque chose tout doucement, que je n’arrive pas à comprendre, bonnet sur les oreilles oblige. Je sais juste que ça commence par un “hey” et que ça finit par un clin d’oeil. Je ne fais pas tellement attention. Je trace ma route jusqu’au métro, en marchant derrière elle. Elle se retourne régulièrement et m’envoie des sourires zarbis. A ce moment, je suis comme un petit puceau qui ne comprend pas ce qui lui arrive. J’ai l’air d’un con. Elle va à un quai du métro, moi je vais à un autre. Fin.