Le Cow-boy a écrit:
Raconte.
alors en version courte...
Je "sortais" avec une fille qui vivait dans l'appartement en question, à Clermont. Disons qu'on s'emballait joyeusement bourrés en fin de soirée. Un jour d'été, une fête s'organise. Elle ne peut pas venir car ses parents viennent le lendemain.
Je prends une murge énorme, fini bourré chez un pote. Me réveille dans un état de transe que les mâles qui ont déjà pris une murge connaissent: il faut que je nique. Bref, je prends une douche... tout habillé et part en vadrouille en caleçon (oui, le jean mouillé ça le fait pas). Pour la petite anecdote, un mois avant je m'étais fait une entorse à la cheville en me jetant sur la fille en boite de nuit (vous connaissez mon amour pour les jeunes filles frêles, sous mon poids elle est tombée en arrière et j'ai mis la cheville pour stopper la chute). Bref, je claudique comme un SDF mais j'arrive quand même chez elle, elle fait l'erreur de m'ouvrir. Je tente de l'emballer sans réussite et fini à poil sur son canapé, un préservatif dans la main (bel effort de me protéger en toute circonstance).
Déjà humiliant
Mais la suite est pire. La fille part faire des courses pendant que je dors en ronflant. Une main velue se pose sur moi. Je hurle, commence à me débattre, insulte le mec, lui dit de sortir. Après quelques minutes de réflexion à base de "ferme ta gueule le vieux dégage", je comprends qu'il s'agit... de son père. Le proprio de l'appart. Je suis nu. Bourré. Il y a un préservatif sur le canapé.
Dans un réflexe, je bredouille *faut que je prenne une douche*. Je vais sous la douche. Froide. Et je me rends compte que j'ai traversé Clermont en caleçon. Je n'ai donc pas de jean à me mettre. Je prends une serviette pour faire illusion. La fille revient. Me jette un regard noir. Son père lui demande qui je suis. Elle répond un connard qui dégage... Je repars comme un con. Et retraverse Clermont en boitant.
Epilogue: deux semaines plus tard, je raconte cette histoire à un pote de l'un de mes meilleurs potes, avec plein de détails croustillants (elle avait la chatte la plus poilue que je n'ai jamais vu). Il se trouve que c'était son demi-frère.
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