Forum de FilmDeCulte

J'esquive? L'humour colonialiste des Jones est de notoriété publique et je ne le nie aucunement. Après, il me gène davantage dans le 2, comme la misogynie d'ailleurs.

Dans Catch Me, j'ai pas esquivé, j'y trouve du sens. C'est le point de vue d'un puceau trahi par sa mère.
Ce que je trouve intéressant c'est qu'il tombe amoureux de la plus "innocente".

Mais surtout le côté "on peut être woke et kiffer", je te sais moins con et binaire que ça d'où mon évocation de trolling.

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Mais tu l'acceptes, alors que tu refuses ça violemment aux productions contemporaines.



Oui, et c'est un mauvais argument : le film n'est pas montré du point de vue d'Abagnale. La vision de la mère est celle de la réalisation, pas celle du fils.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ca, c'était pour la Coupe.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Et... c'est normal? C'est un film de 1981 situé en 1936. Pas une prod contemporaine. Et en vrai, je sais pas si je suis aussi impitoyable que tu le dis avec les fills d'aujourd'hui sur la question. T'as un exemple ? (question sincère)


Pas d'accord.
Et d'ailleurs, le cheminement du film est de montrer Frank Jr. découvrant de plus en plus que son père est un loser donc à comprendre pourquoi Maman est allée voir ailleurs.

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Les Aventuriers de l'Arche perdue - Steven Spielberg - 1981

La Porte du paradis - Michael Cimino - 1980

Green Book. Film que tu avais condamné AVANT MÊME sa sortie.



Si je me souviens bien, on voit la mère faire des choses que le fils ne peut pas avoir vues, par exemple. Donc au mieux, Spielberg est du côté de son héros et soutient son point de vue. Au pire, c'est son point de vue à lui.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Pensée pour QGJ qui va devoir décortiquer ce topic pour y trouver les votes.

En l'occurrence, c'est tout le film là, pas un gag ou une trame ou un perso.
C'est le sujet même du film qui pose la question, c'est pas moi qui laisse pas passer tel ou tel détail à travers une grille woke rigoriste.

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La seule et unique scène de la sorte, c'est quand les mecs du FBI vont lui parler et d'ailleurs, j'ai failli dire que le film se partageait entre le point de vue de Frank et celui de Carl. Mais quand je dis que le film épouse le point de vue de son héros, je ne parlais en l'occurrence pas de stricte adhésion narrative mais de la vision qui domine le film. C'est adapté de son autobio après tout (reconnue aujourd'hui comme grandement pipeautée) et les scènes montrant la traque par les agents n'offrent pas d'insights que Frank n'aurait pas pu raconter sans les avoir vécu, elles sont relativement factuelles.

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Pour une fois qu'on y parle de cinéma...

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Les Aventuriers de l'Arche perdue

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"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice."
- George Orwell

Blue Velvet & Evil Dead (toujours préféré celui-là aux suivants, quand bien même le 2 est objectivement plus abouti et inventif)

La Porte du paradis
Blue Velvet

Alors Blue Velvet déjà, matriciel du cinéma de Lynch.

Puis je vais donner une petite voix à Noce Blanche même si c'est loin d'être mon préféré de Brisseau.

Pas revu le Spielberg depuis une éternité, j'étais passé à côté du Cimino que je dois absolument revoir, Evil Dead c'est cool mais un peu surcoté à mon avis. Pas vu le Spike Lee.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Noce blanche, seul Brisseau vu à ce jour, belle découverte de l'année passée.

Je déteste le Raimi (je lui préfère largement le 2), je ne crois pas avoir vu le Lynch, du reste j'aurais peut-être une préférence pour le Spike Lee, mais de peu.