Forum de FilmDeCulte

Ouais je m'en fous en fait.

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Serviteur.

Je n'ai pas émis de jugement de valeur. Je maintiens, selon moi, ces deux films reposent sur des mécanismes similaires sans évoluer dans le même genre. Le Benigni est écrit par lui-même quand le Takahata est une adaptation (d'une oeuvre autobiographique déjà romancée). Le personnage de Setsuko dans Le tombeau (...) prend plus d'envergure que dans la nouvelle, et c'est logique puisque nos perceptions sensorielles sont d'avantage sollicitées. Donc que le but de ces réalisations soit ou non de faire pleurer dans les chaumières, le fait est qu'elles y parviennent et tirent leur force de ceci. Je trouve Dragons plus riche en thématiques, avec une galerie de personnages attachants et surtout plus agréable à revoir.

Non ce sont les japs les rois de la courbette.

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Allez Puck, viens trancher.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

On a pas le cul sorti des ronces.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Le protocole Lepers est disponible en cas de besoin. Brisez la glace afin de vous en servir.

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Ce serait dommage pour un quart.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

J'avoue. Le suspense reste à son comble.

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Puck, mon ami. Puck, mon frère.

LE TOMBEAU DES LUCIOLES

Bah je t'ai répondu, kilou. Mais bon entre machin qui n'est pas content quand on vote japonais et truc qui râle quand on vote pas japonais, on a un peu l'impression d'être coincé entre la Gestapo et la Stasi !

Bah quand tu dis que Takahata tire sur le fil pour installé un culte, ça fait pas très sincère sur la démarche. Ou alors tu reproches à ces films leurs sujets de l'enfance dans la guerre (La Vie est belle, ça remonte à sa sortie pour moi donc...).
Même si ce n'est effectivement pas leur seul point commun.
On peut aussi les rapprocher sur leurs traitements originaux. Drame en animation pour l'un. Fable pseudo-réaliste pour l'autre.
Ya un calcul ? Sûrement. De rendre supportable, si ce n'est abordable, au plus grand nombre leurs évocations de la tragédie de la guerre (après, on n'en finirait pas de faire la distinction entre bombardements sur des civils et extermination raciste industrialisée ou aborder les perceptions culturelles de cette page de l'histoire... le Takahata n'élude d'ailleurs pas l'endoctrinement japonais), leur but est bien d'émouvoir. Au spectateur de faire ce qu'il veut de cette émotion par rapport au sujet.
Le but, c'est pas non plus Nuit et Brouilllard (moins de gens chialent devant, je pense, moi le premier parce que ça serait une vraie souffrance, mode autodéfense face à l'horreur). C'est d'ailleurs une thématique assumée de la Vie est Belle.

On peut alors juger d'en trouver un plus réussi que l'autre.

Et la plus grande diversité des thèmes dans Dragons, tout aussi brillamment dosés et agencés qu'ils le sont, ne rend pas forcément le film plus fort que le Tombeau des Lucioles. Pour le Takahata, le sujet réaliste et intime a un poids plus direct mais c'est aussi à double-tranchant (Begnini s'y est coupé d'ailleurs, pas méchamment mais il en a quand même mis partout).

Hey, c'est une guerre mondiale ! Ya pas de planqués !

Mais que fait la Kenpeitai ?

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FEAR NOTHING

Hara Kiri ? Va rester qu'Akira.