Forum de FilmDeCulte

C'était "annoncé" (sens de prévu) depuis un moment, et oui, il parait que c'est énorme! Il a déjà récolté pas mal de prix d'ailleurs.

Faut surveiller ça!

Triomphe quasiment historique, un carton pour un premier livre, écrit en français par un anglais qui refuse toute promo (au point qu'il y a eu des doutes sur sa véritable identité)... Pour que 900 pages sur le nazisme plaisent autant, il doit y avoir un truc.
Je compte l'attaquer dans les jours qui viennent.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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et défoncé en bonne et due règle par ce con de Lanzmann qui se veut l'unique testamentaire de la Shoah.

Lui commence à être bien lourd. Surtout que devant la vision du film (Shoah), j'ai du mal à considérer ça comme le film ultime sur le sujet. Ca reste à mes yeux un témoignage (certes énorme) parmi d'autres.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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je l'ai acheté (gros pavé quand même) et je compte le lire dès que j'ai fini "j'ai épousé un communiste" de P.Roth.

Une de mes connaissances l'a lu et l'a adoré (il m'a cité certains passages et le type y va fort). Par contre je ne comprends pas la polémique autour de ce livre... il ne défend pas le nazisme... le protagoniste est un bourreau nazi et alors ?
Le nazisme va devenir comme l'islam si ça continue ? un sujet tabou réservé aux experts, aux connaisseurs ?

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« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

comment s'appelle ce livre sur un jeune ado qui decouvre la passion amoureuse avec une femme et lui fait la lecture , et puis bien plus tard , apprend qu'elle etait avant une surveillante de camp SS ?

bye

Pour ce type, il y a deux groupes de personnes qui ont le droit d'évoquer la shoah :
- les survivants,
- les historiens et tous ceux qui ont étudié la question.

C'est un point de vue très étriqué, et je ne suis absolument pas d'accord avec lui parce que je considère que chaque point de vue (surtout artistique) est important et acceptable (sauf le révisionnisme évidemment), car on n'a toujours pas compris vraiment, intimement, psychologiquement, comment l'être humain a pu en arriver à de telles exactions.

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« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

hum , dans le canard de cette semaine , on se rend compte que l'éditeur aurait pu faire relire et corriger un peu les fautes ...

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Pour le moment, j'ai deux choses à dire :

1. Ce n'est pas très facile à lire. Le livre est quand même assez gros et pesant (en terme de poids)... Et les pages sont longues. Pas facile à lire dans le métro. Une édition plus légère sur deux tomes aurait pu être préférable. Je trouve que bien souvent les éditeurs oublient un peu trop ce paramètre (voir le 5è tome de La Tour sombre en J'ai Lu, absolument impossible à lire).

2. C'est quand même assez bien écrit... Bizarrement très moderne (vu le thème et l'origine de l'auteur, je m'attendais à quelque chose de bien plus classique et/ou scolaire). C'est ultra maitrisé au niveau de la langue.


La suite quand j'aurai lu les 849 pages qui restent.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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j'en suis au même point que toi...
+1 pour l'édition. en 2 tomes ça aurait été plus sympa.

c'est pas trop mal écrit (pas époustouflant non plus), mais par contre ce n'est pas facile à lire.
La toute première partie (présentation du narrateur et de la genèse du livre) est époustouflante (certains faits font froid dans le dos), ensuite le soufflé est un peu retombé dès que l'on rentre dans l'histoire proprement dite du narrateur. Mon avis est un peu prématuré pour l'instant...

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« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

Pas facile à lire dans le métro, ce bouquin !!



En fait, de la part d'un non francophone, je m'attendais à une écriture très classique, limite scolaire. Je suis vraiment surpris par la modernité du style, la longueur des phrases, la maîtrise de la ponctuation. Ce n'est pas la tuerie, mais ça accroche bien le lecteur.




Page 210... Jusque là, j'aime beaucoup. Je suis vraiment surpris par le bouquin, par le regard qu'a le narrateur. Cette façon qu'il a d'avoir de la peine, d'être gêné par les barbaries auxquelles il assiste (descriptions atroces !), mais de n'avoir que très rarment de la peine pour les juifs en eux-mêmes. Il se détourne parce que c'est dégueulasse, Il trouve la manoeuvre, la solution finale, inadmissible, mais la mort des juifs en elle-même ne le choque pas vraiment, ne l'émeut que très peu. Et ça, ça fait froid dans le dos.
C'est assez intelligent.

Je reste plus réservé sur tout ce qui tourne autour de la sexualité du personnage. Je me demande un peu où cela va mener.

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j'ai le même questionnement par rapport à cette caractérisation du perso.
Il me semblait qu'il voulait démontrer la banalité du mal. Or, avec un personnage aussi atypique, on est loin de la banalité !

Sinon, je n'arrive pas à lire ce livre. il me tombe des bras.
c'est pas mal écrit (surtout pour un francophone), mais c'est quand même indigeste. c'est lourd, et les phrases à rallonge avec un minimum de ponctuation ça n'aide pas !

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« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

J'ai commencé à le lire et je suis vraiment accrochée.
La Toccata fait froid dans le dos...
Ensuite le début est assez difficile car il y a beaucoup de noms, de grades en allemands, et n'étant pas germanophone pour un sous c'est dur de repérer les personnages. Mais c'est vraiment prenant.
Le problème c'est le poids... Se trimballer ce pavé toute la journée pour lire 10min dans le métro c'est pas top, je prends ma ds maintenant

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Ah, j'ai oublié: le père de Jonathan Littel a écrit un livre passionnant:

Un peu long certes, mais c'est la famille qui veut ça

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