Forum de FilmDeCulte

Argument suprême de Baldounet quand on critique ses critiques.

Je pense qu'on peut très bien comprendre ce que j'ai voulu dire sans avoir vu le film. Tu peux arrêter de traduire en généralité ce que je réponds à quelqu'un en particulier ? Plus globalement, tu peux arrêter de me chercher avec tes remarques à côté de la plaque ?

Je suis pas modo, je veux pas l'être, mais arrête de mordre bêtement ou casse toi **** *** (dédicace to Nico) si tu n'es pas capable de respecter certaines règles ou comportements basiques.

J'ai failli ajouter dans mon post "et je te dis ça sans animosité aucune", mais je ne lai pas mis, pensant que tu comprendrais. C'est raté.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Comprends que la 20ème fois que tu interprètes mes propos de travers, ça finisse par m'irriter un chouïa.

Par ailleurs, tu as ta réponse. Qu'en feras-tu ?

Tu as vu la forme de ta critique ? Ne t'étonne pas d'avoir des réactions quand tu fais tout pout en avoir.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

En revanche, cela ne te conduit pas à t'interroger sur la façon dont tu exprimes tes "propos" qui sont systématiquement interprétés de travers par tout le monde.

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There is no such thing in life as normal

Te voilà encore en train de sur-interpréter, "sans animosité aucune" j'imagine. Je ne suis pas contre des réactions, figure-toi, sinon je n'aurais pas posté. Ceci dit, "la forme de ma critique" n'est pas spécialement dingue ou provoc, ou alors faut être sacrément accroché à ses petites habitudes.

J'aime quand tu parles au nom de "tout le monde". "Les Français, "les gens", "tout le monde". Ça trace des lignes de partage bien nettes, ça ordonne, ça rassure : c'est beau. Sauf que tu n'es que Billy Budd, je te rappelle. Faudrait que tu y réfléchisses, de temps en temps.

Elle est juste un peu puérile et pas drôle.

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La puérilité, pas d'accord. C'est le film qui est puéril, et c'est ça que souligne ma "critique". Le côté "pas drôle", ça je reçois, même si moi ça me fait marrer.

Mais je préfèrerais avoir l'avis de quelqu'un qui a vu le film.

ça me fait penser à l'humour de nanarland, dont abyssin est pourtant si friand, avec ces captures d'écran et leurs légendes qui se veulent amusantes. Je suis pas trop client de cet humour.
Après je vois ce que tu veux dire mais ça fait court et on aimerait en savoir plus sur tes griefs par rapport au film que "Maïwenn donne une image déplorable de ce que veulent les femmes dans son genre et que la cocaïne c'est mal".

Je trouve que c'est de la merde et que tu passes pour un gamin demeuré. Voilà.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est vrai que toi tu nous a pondu une critique pleine à craquer de sagesse et de maturité :

Merci, voilà une "réaction" respectueuse.

Les légendes font référence à des répliques bien précises dans le film qui, mises bout à bout, permettent de cerner ce qui est à la base de "l'inspiration" de Maïwenn quand elle écrit ce film. Mais c'est quelque chose qu'on aurait pu facilement deviner, si on a vu Polisse ou si on connaît un peu le personnage.

Le film met en scène le faux conflit de la raison et de la passion. Faux conflit parce que Maïwenn ne confronte jamais sérieusement l'une à l'autre : elles sont juste mises face à face. La raison est incarnée par Louis Garrel et la passion par Cassel, partage des rôles d'ailleurs franchement tautologique quand on connaît la trajectoire cinématographique des deux garçons.

Or, le film fait semblant de pencher pour la raison (Garrel est le seul à vouloir sérieusement aider sa soeur) mais donne raison à la passion. Pourquoi ? On ne sait pas. C'est complètement arbitraire. Vue la fin du film, tout s'expliquerait par le simple fait que Bercot trouve Cassel beau gosse, en plus d'être un type qui n'a peur de rien, un charmant bad boy tchatcheur et misogyne comme ces jeunes banlieusards qu'elle côtoie le temps de se faire réparer le genou. Voilà un peu le degré de puérilité du film.