Forum de FilmDeCulte

1996 : Crocodile (악어, Ag-o)
1997 : Wild Animals (야생동물 보호구역, Yasaeng dongmul bohoguyeog)
1998 : The Birdcage Inn (파란대문, paran daemun)
2000 : Real Fiction (실제상황, Shilje sanghwang)
2000 : L'Île (섬, Seom)
2001 : Adresse inconnue (수취인불명, Suchwiin bulmyeong)
2001 : Bad Guy (나쁜 남자, Nappeun namja)
2002 : The Coast Guard (해안선, Haeanseon)
2003 : Printemps, été, automne, hiver… et printemps (봄 여름 가을 겨울 그리고 봄, Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom)
2004 : Samaria (사마리아, Samaria)
2004 : Locataires (빈집, Bin jip)
2005 : L'Arc (활, Hwal)
2006 : Time (시간, sigan)
2007 : Souffle (숨, Soom)
2008 : Dream (비몽, Bi-mong)
2011 : Arirang (아리랑)
2011 : Amen (아멘)
2012 : Pieta (피에타)
2013 : Moebius (뫼비우스)
2014 : One on One (일대일, ildaeil)
2015 : Stop (스톱)
2016 : Entre deux rives (그물, Geumul)
2018 : Human, Space, Time and Human (인간, 공간, 시간 그리고 인간, Ingan, gong-gan, sigan geuligo ingan)
2020 : Dissolve (Din)

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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1. Printemps, été, automne, hiver… et printemps (봄 여름 가을 겨울 그리고 봄, Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom)
2. Locataires (빈집, Bin jip)
3. Bad Guy (나쁜 남자, Nappeun namja)
4. The Coast Guard (해안선, Haeanseon)

Découverte ces derniers mois, et à l'exception du premier, plutôt agréable à l'œil, le reste me semble assez puéril. J'ai prévu quand même Time, Pieta (son Lion d'or), et Samaria. Ses films ont l'avantage d'être assez courts, ce qui est bien pratique pour les fins de soirée. Pour le moment, entre ses films moyens et les accusations de viol et violence, ce serait plutôt Kim Ki-Pu-Duk [ (c) Film Freak]

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J'ai vu :

L'île (2000) : Son meilleur film de ce que j'ai vu, mais ça reste des fantasmes un peu dégueulasses du vieux pervers qu'il s'avérera être.
4/6

Adresse inconnue (2001) : Aucun souvenir, mais c'était correct.

Bad Guy (2001) : très beau plastiquement, mais aussi très très con. Pour la petite histoire, Kim et son acteur principal sur son film se sont vus accuser de viol, et ça met pas mal en lumière les péripéties.
3/6

The Coast Guard (2002)
Chiant.
2/6

Printemps, été, automne, hiver… et printemps (2003)
J'en garde juste les beaux paysages, son superbe passage musical à la fin, et aussi le rapport tordu de Kim aux femmes et au monde.
3,5/6

Locataires (2004)
J'ai trouvé ça bien chiant aussi.

Et après, j'ai arrêté les frais.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est un peu l'effet que ça me fait. Puis cette vision du monde me semble tellement forcée... Dans Locataires, j'avais envie de foutre des baffes aux personnages pour qu'ils parlent.

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Les derniers sont clairement en mode auto-destructeurs.

2000 : L'Île (섬, Seom)
Curieusement, je n’avais jamais vu l’oeuvre matricielle du cinéma de Kim Ki-Duk, mélange d’érotisme, de sadisme, de pulsions de vie, de mort et de sexe. Comme souvent dans son cinéma, la composition picturale impressionne, l’abandon de ses acteurs à ses expériences SM est total et la puissance métaphorique du récit indéniable, avec une utilisation très particulière des hameçons… Après, comme presque toujours avec Kim Ki-Duk, le film est meilleur quand il ne tombe pas dans un certain automatisme autodestructeur, les motifs ont tendance à se répéter et l’émotion manque. Mais ça reste marquant.

2002 : The Coast Guard (해안선, Haeanseon)
M'en souviens plus bien mais je l'avais vu....

2003 : Printemps, été, automne, hiver… et printemps (봄 여름 가을 겨울 그리고 봄, Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom)
4/6 L'un de ses films les plus maîtrisés formellement.

2004 : Samaria (사마리아, Samaria)
4/6 (le mec qui met 4/6 à tout), j'en garde aussi un souvenir fort (mais peut-être que j'aimais tout par principe à l'époque)

2004 : Locataires (빈집, Bin jip)
4/6 J'aime beaucoup la première partie, après j'avais trouvé ça long. L'un des films préférés de mme Film Freak si mes souvenirs sont bons.

2007 : Souffle (숨, Soom)
2/6 Tout petit, tout chiant, en compet à Cannes

2011 : Arirang (아리랑)
Je me souviens du gars en train de chanter avec sa scie sauteuse et du fait qu'il puait sur scène.
3/6

2012 : Pieta (피에타)
4/6 Pas de Pieta pour les croissants. La perf de l'actrice est énorme.

2013 : Moebius (뫼비우스)
3/6 dur à aimer celui là, je me souviens de la brique...

2018 : Human, Space, Time and Human (인간, 공간, 시간 그리고 인간, Ingan, gong-gan, sigan geuligo ingan)
2/6 L'un des films les plus cons de sa filmographie, jouissif dans le concept mais après qui veut voir ça ?

C'est moi ou Cosmo vient d'abandonner les notes (dans les tops) sans tambour ni trompettes?

De façon un peu inconsciente en fait. Dans une critique, ici ou en section, je mets une note, et dans le top je mets un ordre. Avec quelques exceptions (top Deville par exemple, j'ai trop peu de souvenirs pour hiérarchiser)

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Un réalisateur assez étrange, chouchou des festivals pendant un temps puis tombé dans du cinéma extrême totalement barjo. J'en ai vu beaucoup mais assez peu de souvenirs de certains :

2000 : L'Île (섬, Seom) : très belle idée poétique. Des scènes et des plans qui restent en tête.

2001 : Adresse inconnue (수취인불명, Suchwiin bulmyeong) : je crois que je l'ai vu, aucun souvenir.

2001 : Bad Guy (나쁜 남자, Nappeun namja) : vu mais quasiment aucun souvenir.

2002 : The Coast Guard (해안선, Haeanseon) : son film le plus "mainstream" je crois, assez politique.

2003 : Printemps, été, automne, hiver… et printemps (봄 여름 가을 겨울 그리고 봄, Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom) : un peu comme L'île, visuellement fort et singulier.

2004 : Samaria (사마리아, Samaria) : souvenir d'une scène de viol assez horrible mais c'est tout.

2004 : Locataires (빈집, Bin jip) : j'avais adoré à l'époque, très doux et poétique.

2005 : L'Arc (활, Hwal) : de belles images, un certain univers mais on sent que l'inspiration commence à se tarir.

2006 : Time (시간, sigan) : premier gros rejet de son cinéma, j'avais détesté et du coup j'ai pas vu les suivants.

2012 : Pieta (피에타) : la noirceur misérabiliste et violente du truc c'est quand même quelque chose.

2013 : Moebius (뫼비우스) : un film inoubliable tout entier tourné autour de la bite. C'est profondément malsain et dérangeant tant on sent un réalisateur quand même à la limite de la maladie mentale derrière qui cherche à tout prix à choquer. Le problème c'est la facture nanarde du film, tourné avec trois francs six sous, en DV avec des effets ridicules (souvenir d'une poursuite autour d'une bite en latex qui se fait écraser par des bagnoles).

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CroqAnimement votre

Je n'en ai vu que deux, Locataires, vu en salles et dont j'avais apprécié la grâce/poésie et l'originalité, même si je l'ai pratiquement oublié aujourd'hui, et puis Breath, que j'avais trouvé impitable et chiant comme la pluie.
Pas très motivé d'en voir d'autres...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Revois-les avec les blagues de FF
(Ca marche pour tous les films asiatiques en fait)

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