Forum de FilmDeCulte

1947-2024

Des romans magnifiques… Mais je l’avais découvert avec le diptyque Smoke / Brooklyn Boogie.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Un grand ecrivain. Pas tout lu mais excellents souvenirs de moon palace, le livre des illusions, leviathan, la musique du hasard et celui qui me reste plus dans l'esprit : mr vertigo.

Bien aimé aussi Brooklyn Folies en film.

Son dernier livre (Baumgartner) venait de paraître.

Jeune j'avais lu la trilogie new-yorkaise (cela m'avait ouvert à la littérature "adulte") mais surtout l'Invention de la Solitude (son premier livre en fait) sur ses années à Paris et l'articulation entre la mort de son père et son métier d'écrivain, où il sortait de la manière postmoderne pour dire quelque-chose de fort. Bizarrement rien lu de lui par après, peut-être du fait que l'Invention est aussi un livre-programme de l'oeuvre à venir.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Jamais rien lu mais j'ai toujours été fasciné par sa popularité bien plus importante en France qu'aux States. Souvenir d'un JEOPARDY où la réponse c'était lui mais c'était la catégorie à 1000$ et aucun des candidats n'a trouvé

Sinon j'avais vachement aimé SMOKE à l'époque.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Article amusant de ce critique anglais dont le nom m’échappe où il déplore que ses romans suivent presque toujours le même schéma (ce qui les rend indistincts dans la mémoire, ai-je pu le constater au gré de conversations - jamais lu attentivement pour la part).

J'avais lu le Trilogie new-yorkaise y a longtemps, sans que ça me souffle.
Mais j'ai beaucoup aimé Smoke vu il y a 2-3 ans, donc je me dis que ça pourrait se retenter.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

J'étais fan à une période, ses livres m'avaient aussi ouverts à Sophie Calle, des oeuvres intriguantes dans les deux cas.

A relire.

Dont je suis très grand fan. Je conseille d'ailleurs à qui veut l'entendre de mater "Chan is Missing" de Wayne Wang aussi, un film noir en mode docu-fiction/cinéma vérité sur la disparition d'un type. Très Auster-ien et sorti la même année où Auster publie son premier bouquin.

De plus, l'adaptation en BD de City of Glass par David Mazzucchelli est une très grande BD (contrairement à son format tout petit) qui explore les possibilités d'un langage comme dans le bouquin d'origine mais transcende ça avec le langage graphique.

Bref, j'aime Auster même si je suis loin d'avoir tout lu de lui (Trilogie New-Yorkaise et Mr. Vertigo)

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