et ouais, dominique et les jaquettes, c'est pas la teuf.
florilège de laids trucs :
classique mais bof, premier album donc, sacré choc à la découverte, rejet d'abord, j'accroche pas au bontempi, puis je sais pas, d'un coup, l'illumination, sûrement grâce au Courage des oiseaux, morceau increvable, repris mille fois en lives et en versions alternatives, j'écoute plus que ça en boucle, j'adore la voix, j'achète le reste, je deviens groupie  Hormis Le Courage des oiseaux, l'autre grand titre de l'album, c'est sans doute Sous la neige. Seulement trois titres sur deezer : http://www.deezer.com/fr/dominique-a/la ... A2357.html
jaquette incompréhensible par rapport au contenu, sinon pour la présence d'un passager, d'une passagère en fait, Breut, qui co-écrit et chante parfois avec lui en duo ici. Et cette police juste hideuse, n'importe quoi. Album qui se permet parfois l'acoustique cette fois (même si majoritairement non, cf. le beau Pour qui je me prends, et ses bruits de parquet de terrain de basket  ), le rock pointe. LE morceau de l'album : L'Amour (et une mention spéciale pour la reprise du Chiqué, chiqué de Christophe). Seulement trois titres sur deezer : http://www.deezer.com/fr/dominique-a/si ... A1840.html
et encore une jaquette ratée, photo ridicule, et puis il a des cheveux, je m'y fais pas Breut au premier plan, album où elle est omni-présente, évidemment y'a le tube Twenty-Two bar, qui l'amènera à sa sélection aux victoires de la musique, où il arrive tout véner et change les paroles en live, on peut en entendre un bout ici, où Breut n'arrive pas à suivre du tout, se foire bien : http://oli.callebaut.org/docs/12%20-%20 ... musque.mp3 Album sublime, difficile de faire un choix, allez l'autre titre de l'album hormis Le 22 bar, c'est sûrement Chanson de la ville silencieuse. Deux titres sur deezer : http://www.deezer.com/fr/dominique-a/la ... 16791.html
jaquette concept que je ne comprends toujours pas. On s'en fout, c'est un putain d'album, où Dom A décide de ne surtout pas capitaliser sur le succès du précédent et prend la tangeante, invente un style à chaque morceau, et ça tue, y'a aucune facilité, c'est juste du génie. La voix est affirmée comme jamais. Le pas d'avant Auguri, qui est sans doute mon album préféré et dont je parle juste après. LE titre de Remué? Ah putain, c'est dur. Vraiment un album cohérent, qu'on écoute en entier comme on lit un livre... Mais bon, allez, disons Je suis une ville. Seulement un titre sur deezer : http://www.deezer.com/fr/dominique-a/remue-A12324.html
L'album acoustique qui nique tout, et sa jaquette juste hideuse. Et qui n'est pas du tout sur deezer. Les trois reprises sont extraordinaires, celle de Barbara bien sûr, qui lui pendait au nez depuis le temps qu'on disait qu'il chante un peu comme elle ; Les Enfants du Pirée de Dalida, sublimissime ; mais surtout J'ai tué l'amour, reprise des Polyphonic Size que je peux écouter en boucle avec la même émotion. Y'a pas un titre qui soit en-dessous du reste dans cet album. J'ai du mal à en extraire un. Peut-être le moins connu, planqué sur le CD bonus, Tourisme, qu'est en écoute sur mon blog ici : http://mouches-d-eau.blogspot.com/2008/ ... -vois.html
L'album problématique qui se la pète comme sa jaquette ripou. Dom A veut faire son Bashung et se lance donc dans un pudding surproduit qui montre ses limites par moments. Le CD bonus concept est chiant. Mais y'a de très belles choses quand même, Bowling notamment, que tu vois autant que tu l'écoutes, comme s'il s'agissait d'un film. Hormis celui-ci, l'autre titre : Elle parle à des gens qui ne sont pas là, p-ê plus beau encore en live. Tout l'album d'ailleurs est meilleur en live.
Jaquette chichiteuse, mais bon, on a vu pire. Retour à qqch de plus modeste, beaucoup de très belles choses, jamais été à fond à fond mais quand même, Retour au quartier lointain (hommage à Taniguchi) et Adieu Alma, c'est qqch...
Bon ça va cette jaquette cette fois, non? Pas de coup de génie, mais voilà, c'est sobre et ça colle. Et évidemment l'album déboîte, parce que Dom A en live, c'est vraiment qqch, c'est du rock triste, c'est beau, c'est bouleversant, c'est d'une sincérité qui me laisse pantois. Trois titres, j'arrive pas à me fixer sur un seul : Marina Tsétaeva, Revoir les choses et Empty white blues.
J'oublie pas les inédits, etc, la Solo Tape aussi, Une femme chante sur le quai :
là j'aime beaucoup le visuel, de cette espèce de prolongement audacieux et ambient à La Fossette. Et Our love is fully booked, c'est waouw...
Faut pas oublier cette compile :
assez classe visuellement, et où on trouve notamment le génial Hit Hit Hit, son morceau polyglotte avec les Oslo Telescopic, et plein d'autres. Dont certaines que j'ai pas d'ailleurs, faudrait que je me le procure ce triple album, mais il coûte cher...
Et puis le récent Les Sons Cardinaux, que cet enfoiré de Jiko possède, exhumation d'inédites et de très anciens morceaux, quand je dis très anciens il y a même une chanson qu'il avait enregistrée gamin, L'agonie d'un soleil, que ceux qui ont vu le film de Katerine Peau de Cochon ont pu entendre. Et là j'adore le visuel au crayon de papier :
Le must sur cette compile restant la section Nord :
où on trouve notamment Décrocher les trains qui est juste incroyable...
Je pourrais continuer des heures
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