Jacques Dutronc - Il est 5 heures, paris s'éveille
Françoise Hardy - Tous les garçons et les filles
Pierre Perret - Lili
Christophe - La Dolce Vita
Bourvil - Le petit bal perdu

Et c'était bien...

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Non. Claude François ça pue la sueur, une sorte de fête obligée où on te force à danser, le sourire hyper crispé. Ses mélodies semblent crier à chaque fois "ET ON TAPE DANS LES MAINS", avec la choré sur-volontaire où on tape du pied en avant en arrière, et une claque sur les fesses, aucune sincérité, y'a que le programme de la fête qui passe, son intention, aucune jouissance au fond.
Claude François, c'est l'esthétique d'entreprise dans la chanson, un DRH disco.

"Comme d'habitude", c'est l'accident artistique, le truc qui dépasse l'auteur. C'est une belle chanson, étrangement dépressive, qui ne ressemble pas du tout au mec (ou alors, un éclair de sincérité, qu'il se gardera bien de répéter ensuite).

je vois pas où est le problème tant que c'est bien torché.

Je ne connais pas très bien mais il me semble qu'en écoutant "Le téléphone pleure" c'est difficile de taper dans ses mains.

C'était avant ? Après ? Bon la qualité n'est pas la même, évidemment.

génial, Claude François n'a pas inventé la musique industrielle que je sache. ce reproche, on peut le faire à Phil Spector, à la Tamla-Motown...
mais bizarrement personne ne le fait.

Non non, je parle de l'esprit du truc, du fond un peu rance de sa musique, un truc qui sent truc l'effort, pas assez la jouissance. La Motown si tu veux, c'est un peu l'inverse quand même.

sans en être fan je trouve au contraire ses interprétations tout sauf laborieuses, évidentes même.

Vu une photo d'elle dans sa jeunesse, l'autre jour. Une bombe atomique.

Ce qui me frappe, là, c'est son côté Mila Jovovich.
C'est hallucinant !