Et dans le cas présent, quelle est ta lecture non-superficielle et à grand intérêt de cette scène ?

Mais ce que tu ne comprends pas c'est que pour appuyer mes propos je ne dois pas montrer que cette scène n'est pas lourde (ce qui est impossible puisque c'est un ressenti subjectif spécifique qui ne repose pas sur une question de cohérence du métrage mais d'acceptation d'un procédé narratif) mais que le reste du film ressort du même procédé ou du même type de procédé. Au mieux je peux te montrer que la scène est cohérente avec le reste et qu'elle n'entre pas en contradiction formellement avec ce que l'on a vu avant, mais c'est tout... tu trouveras toujours la scène lourde.

C'est peut être parce que baser son raisonnement sur des analogies est par nature problématique.

l'art ne fonctionne pas comme l'expression du quotidien.

Il faudra m'en dire plus parce que dis comme ça, ça me laisse sans voix aussi. C'est creux.