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Le Topic des gens de droite et de moins droite
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Auteur:  bmntmp [ 08 Aoû 2020, 11:20 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

J'ai plutôt cru comprendre qu'ils avaient une responsabilité commune dans la situation actuelle du Liban, ce d'autant que le gouvernement est composé des deux. Collusion.

Auteur:  Vieux-Gontrand [ 08 Aoû 2020, 11:41 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Le bi-céphalisme (voire plus) est souvent le cas dans les gouvernements issus de pays en guerre civile et/ou dominé militairement par un (voire pour le Liban deux voire trois) voisins, c'était aussi le cas en DR Congo après la mort du père de Kabila, où les chefs des anciennes factions s'étant battues étaient vice-présidents, ce ne sont pas forcément des collusions (c'est assez confortable de sortir un grand mot comme cela de Paris), même s'il y a des arrangements problématiques entre des chefs qui par ailleurs peuvent s'affronter par leur base (pour le coup on peut parler de milice et d'états dans l'état). Cela dénote plutôt un arbitrage de la communauté internationale (via les Nations Unies) et une faiblesse des acteurs politiques locaux (et certes une perte de souveraineté, alors que l'exécutif est paradoxalement le niveau de pouvoir le plus fort, mais vécue comme un moyen plus ou moins transitoire de geler voire sortir politiquement d'un risque de guerre civile).

Auteur:  bmntmp [ 08 Aoû 2020, 16:37 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Non mais je plaisantais. Mais quand tu as deux factions différentes au sein d'un gouvernement connu pour sa corruption ou ses tentatives de déstabilisation dans la région qui sont sur la sellette, normal que les rangs se resserrent non ?

Auteur:  Vieux-Gontrand [ 09 Aoû 2020, 00:27 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Ça c'est le problème des Libanais. Le problème français est plutôt que Macron ne paraît pas s'apercevoir (du moins espérons-le) qu'il formule ses propositions d'aide de telle manière que personne (et surtout pas la composante la plus francophile des Libanais) n'est en mesure de les accepter sans être humilié.

Et ce n'est pas la première fois que cela apparaît dans ses rapports avec le monde arabe ou africain (le faux abandon du Franc CFA, impossible dès lors que la monnaie alternative inclut le Nigéria, ou les effets d'annonce puis l'abandon total du projet de restitution des œuvres).

Le comble c'est qu'il renforce un mouvement de type Gilets Jaunes au Liban (à genou économiquement et qui essaye de se protéger de la guerre civile syrienne, qui a commencé par une répression de ce type de mouvement t) tout en étant hyper ferme ici. A mon avis c'est catastrophique pour l'influence de la France dans la région (entre autres effets néfastes).

Auteur:  bmntmp [ 09 Aoû 2020, 07:59 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Ah mais je suis d'accord. C'est de la mégalomanie vu de Paris, pour verser dans la psycho de comptoir et connaissant le personnage.

Auteur:  Gnagnagna [ 11 Aoû 2020, 15:24 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Au sujet de "l'ensauvagement" de la société, thème cher à certains, dont Le Figaro, voici un démontage en règle d'un de leurs articles anxiogène intitulé "72 heures de violence ordinaire en France".


Violences : le Figaro s'invente une France apocalyptique

"La France a peur", version 2020
Réservé à nos abonné.e.s
Dans un récit enlevé, intitulé "72 heures de violence ordinaire en France", le Figaro décrit par le menu un cambriolage, des règlements de compte, une tentative de viol, une profanation de cimetière, un assassinat... Nous avons soumis ce tableau, qui illustre la thèse de "l'ensauvagement" du ministre Darmanin, au spécialiste en criminologie Sebastian Roché, et à la linguiste et chroniqueuse d'ASI Laélia Véron. L'auteur, Christophe Cornevin, leur répond.

"Théâtre d’un déferlement de violence quotidienne, la France semble au bord de l’implosion. Les indicibles bouffées qui s’emparent du pays s’enchaînent à un rythme devenu vertigineux. Témoins ou victimes de scènes insupportables empoisonnant leur quotidien et allant parfois jusqu’à la barbarie, nos concitoyens, livrés à eux-mêmes, sont au bord de l’asphyxie". Le titre de l'article, ""Chronique de 72 heures de violence ordinaire en France: le document choc"", en disait déjà long, mais ces quelques lignes en guise d'introduction donnent le ton. Décrivant des faits de violence survenus les 27, 28 et 29 juillet, Christophe Cornevin, rédacteur en chef-adjoint au "Figaro", spécialisé "sécurité et renseignement", raconte les fruits d'une insécurité qui serait galopante en France. Cambriolage avec violence, règlement de compte, profanation de cimetière, assassinat, tentative de viol... Les faits énumérés, pêle-mêle, s'enchaînent à un rythme "vertigineux", pour reprendre le mot de l'auteur. Et se déroulent "quasiment au même instant", à seulement "400 kilomètres de là" dans certains cas, attestant de ce "théâtre d’un déferlement de violence quotidienne" que serait devenue la France selon le journaliste, qui s'est appuyé sur les données des services de police et de gendarmerie, sur trois jours ordinaires.

"On a l'impression que ça arrive partout et à tout moment", analyse Sébastian Roché, politologue spécialisé dans la criminalité, interrogé par Arrêt sur images. Et le choix de la temporalité, 72 heures, y contribue à ses yeux fortement. "C’est une façon de donner de l’épaisseur à l’histoire. Quand on relate ces faits sur dix ans, les gens sont moins réceptifs." D'un point de vue "narratif" et du "style", Sébastian Roché salue le travail du journaliste. "Ce n'est pas une simple description, c’est ouvragé, ciselé, les événements se font écho."
"L'HYPERBOLE" AU SERVICE DU SENTIMENT D'INSÉCURITÉ

Et en effet, les mots ne sont pas choisis au hasard, comme nous l'explique notre chroniqueuse, la linguiste et stylisticienne Laélia Veron. "On retrouve les procédés habituels de l'hyperbole, les métaphores dramatiques avec les termes "empoisonnant" ou "asphyxie", le lexique alarmant avec "barbarie" par deux fois ou "tragique", et les rapprochements-choc entre ""Orange mécanique"" et un petit village". Le journaliste du Figaro rapporte en effet qu'"à Fomperron, village de 270 âmes dans les Deux-Sèvres, (...) [a eu lieu] une agression à domicile digne d’Orange mécanique : quatre malfrats armés et encagoulés ont surgi chez [un quinquagénaire] à 22 heures, avant de tuer l’un de ses chiens et de le molester jusqu’à ce qu’il révèle sa cache de bijoux et de numéraires." Le drame est terrible, mais la comparaison avec le film de Kubrick qui met en scène un sociopathe amateur d'ultraviolence est un peu disproportionnée.

Cette agression est relatée entre le récit d'une tentative de viol et la mention d'une blessure par balles au cours d'une rixe. "Ce n'est pas un diagnostic, ni un état des lieux (contrairement à ce qu'annonce l'introduction, ndlr), car il n'y a pas d'observation systématique. C'est une compilation un peu surréaliste, une liste à la Prévert ", explique Sebastian Roché. Un mélange des genres que l'on retrouve parfaitement dans l'extrait qui suit : "À Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne), la brigade criminelle est saisie d’une énigme, après la macabre découverte d’un couple dénudé et tué par balles au domicile de la jeune femme (...). Quasiment au même instant, un délinquant de 28 ans blessé à la jambe sur la voie publique est déposé aux urgences hospitalières de Nantes (Loire-Atlantique) par deux inconnus qui prennent la fuite tandis que, à 400 kilomètres de là, à Vert-Saint-Denis (Seine-et-Marne), un homme est blessé par balle lors d’une rixe impliquant une dizaine d’individus." Une mise en réseau d'événements par "des liens logiques contestables" selon Laélia Véron. "On nous dit qu'une agression a eu lieu "tout comme" une autre agression, "simultanément" à une autre agression, "quasiment au même instant"... Ces affaires ont-elles vraiment quelque chose à voir? Peut-on vraiment mettre sur le même plan un règlement de comptes lié à la drogue et un féminicide ?", s'interroge la linguiste, qui analyse l'intérêt de cette "liste" : "Cela permet de créer un sentiment diffus sinon de cohérence du moins d'accumulation. Après avoir lu l'article, comment ne pourrions-nous pas être convaincus d'être tous les jours "témoins ou victimes de scènes insupportables ?" L'article génère ainsi un sentiment d'insécurité, et se veut donc "performatif" et non "constatatif", explique Véron. Ce que corrobore le politologue en d'autres termes : "Le mélange des genres, cette impression chaotique, illustre la thèse générale, "l’ensauvagement" : la société fout le camp, et ces choses diverses et variées traduiraient un effondrement moral général".
"Thèse traditionnelle des conservateurs"

Interrogé par ASI, Christophe Cornevin, auteur de cette "chronique de 72 heures", reconnaît que cette "accumulation" peut avoir un "effet vertigineux", mais se défend de toute "outrance ou volonté de noircir le tableau". "Pour être franc, je n'ai pris que la moitié des événements qui m'avaient été rapportés sur ces trois jours", tient-il à préciser. Son but : dépeindre ce qu'englobe le sujet de "l'ensauvagement", voir ce que "ça veut dire", ce que "ça recoupe comme réalité". Un thème cher au nouveau ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, dont le courage est salué dans cet article. "N’hésitant pas à nommer les choses au risque de provoquer la polémique, le nouveau ministre de l’Intérieur, dans un entretien au Figaro, s’est inquiété dès le 24 juillet dernier de «l’ensauvagement d’une partie de la société»."Un discours cash et sans fard" du ministre, dont cette chronique se veut l'illustration.


Selon Sébastian Roché, cet article défend en effet les "thèses traditionnelles des conservateurs". Première thèse, explique Roché : ""Le danger vient de l'extérieur"". Les nationalités de certaines des personnes accusées d'avoir commis les actes listés sont précisées (Ukraine, Maghreb, Roumanie), comme on peut le voir dans cet extrait où le terme "barbarie" est employé : "À Bordeaux, en pleine journée, un différend lié à la drogue tourne à la barbarie dans le quartier de la gare : appliquant la méthode de la «charia», deux «caïds» originaires du Maghreb tranchent la main d’un petit dealer, à la machette."

On retrouve également le "côté identitaire" selon Sébastian Roché, lorsqu'il est fait mention de la profanation d'un cimetière dans l'Aude. "Cela met en avant 'qu'ils' s'en prenne"nt ""même à nos morts, dans l’endroit le plus sacré, où l’on se réunit pour pleurer nos parents. C'est un a""ppel au" peuple, qui serait menacé jusque sous la terre". Autre atteinte aux biens mentionnée qui n'est pas dénuée de sens pour les conservateurs, les tags anarchistes à Vaison-la-Romaine. "L'anarchisme, c’est la pensée d'un monde sans État, donc ça fait très peur. Ce qui est dangereux, c’est qu’il se passe des choses graves, mais ce qui est encore pire, c'est que l’on puisse se passer de l’autorité de l’État. C'est ressenti comme une vraie menace", analyse le directeur de recherche au CNRS.

Sébastian Roché le dit : les faits relatés dans cet article (délinquance, violences dus au trafic de drogue, etc) existent bel et bien, "ce serait une erreur de penser qu'il ne se passe rien". Mais ce que regrette le professeur de Sciences Po Grenoble, c'est une "absence de mise en perspective" de ces événements, ainsi qu'une reprise de la thèse de l'ensauvagement, fausse selon lui. "Ce sont 72 heures de la vie d’un pays entier, sur 60 millions d’habitants. Donc, automatiquement, il y a un certain nombre de choses qui se passe", tient-il à rappeler. Le journaliste Christophe Cornevin, qui conteste toute "mission idéologique", se justifie : "C'est une lecture clinique de la réalité, que je n'ai pas voulu circonstancier. C'est un angle".


"Une lecture clinique" qui laisse de côté plusieurs types de violences : les violences contre les femmes (peu d'exemples), les violences contre les adolescents, ou les violences racistes, comme le remarque Sébastian Roché. "Le but de ce papier, ce n’est pas d’informer, mais de proposer un cadre interprétatif : c’est la fin de la civilisation, l’effondrement de la morale, dixit Dupond-Moretti." Le ministre de la justice est en effet cité pour épouser la thèse de Darmanin : "Il y a une perte des repères, une perte des valeurs", a dit Dupond-Moretti. "C'est un ministre qui a juste une impression, des opinions", fustige le politologue.

Et Roché de mentionner les statistiques de la violence en France, qui contredisent la thèse d'une insécurité croissante. Le Figaro cite quelques chiffres des 12 derniers mois à la fin de l'article (""""959 homicides,"" 265.416 faits de coups et blessures volontaires, ""7196 vols avec armes"", etc.) Mais lorsque l'on observe ceux des années précédentes, on n'observe pas de tendance à la hausse des faits de violence (hormis pour les taux de coups et blessures), bien au contraire ; voir les graphiques ci-dessous, issus de l'INSEE.


"Il n'y a pas de processus d’ensauvagement, mais au contraire un processus de civilisation des mœurs, qui est lent, certes. Par exemple, les violences contre les femmes et les violences racistes sont de moins en moins acceptées. Mais les changements de comportements sont très longs". Une baisse de la violence que l'on peut observer via les taux d'homicides, répertoriés depuis le XIIIe siècle d'après le politologue, et qui ont particulièrement baissé en Europe de l'Ouest, y compris en France.

L'augmentation que l'on observe dans le graphique ci-dessus en 2015 est liée aux attentats de Paris. Mais l'on perçoit bien une baisse générale sur le long terme. "Il y a des baisses et des hausses, mais l'on ne peut pas parler de tendance à la hausse en se basant sur quelques années. Ce sont seulement des fluctuations", explique Sebastian Roché. En ce qui concerne le sentiment d'insécurité, si certains sondages attestent de sa hausse, la dernière enquête "Cadre de vie et sécurité" de l'INSEE met en avant une stabilité voire une baisse par rapport aux années précédentes, comme on peut le voir ci-dessous.
UN Sentiment d'Insécurité QUI N'explose pas entre 2010 et 2019
UN Sentiment d'Insécurité QUI N'explose pas entre 2010 et 2019

Malgré ces chiffres, le sentiment d'insécurité reste un marronnier, comme on le voit à la fin de cette vidéo d'ASI. Dans la dernière séquence de ce montage, un avocat pénaliste veut nuancer les propos sur la montée de la violence d'un présentateur de CNews, et rétorque : "De là à dire que statistiquement il y a une multiplication des violences, je ne suis pas certain". Ce à quoi le présentateur répond, en appuyant sur les mots : "Y a les statistiques, et y a le ressenti des Français".

Auteur:  bmntmp [ 11 Aoû 2020, 15:43 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Entre l'hyperbole de la presse de droite et le jargon prophylactique des universitaires de gauche, on est bien loti.

Auteur:  Castorp [ 11 Aoû 2020, 16:11 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Article complètement idiot, qui se contente de faire une critique sémantique et idéologique de l'article du Figaro, mais qui n'a strictement aucune réponse de fond à apporter. Et les seuls chiffres proposés sont faux : il y a eu plus d'homicides en France en 2019 que les années des attentats du Bataclan et de Nice. C'est tout aussi con que la démarche du Figaro.

Auteur:  Karlito [ 11 Aoû 2020, 18:54 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Citation:
Réservé à nos abonné.e.s


J'ai arrêté de lire à cette ligne.

Auteur:  bmntmp [ 11 Aoû 2020, 20:35 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Castorp a écrit:
Article complètement idiot, qui se contente de faire une critique sémantique et idéologique de l'article du Figaro, mais qui n'a strictement aucune réponse de fond à apporter. Et les seuls chiffres proposés sont faux : il y a eu plus d'homicides en France en 2019 que les années des attentats du Bataclan et de Nice. C'est tout aussi con que la démarche du Figaro.


Démarche qui présente quand même un intérêt documentaire, lequel n'est pas relevé par l'article censé le débunker. Ce dernier qualifie l'article du Figaro de malhonnête parce qu'il met sur le même plan des délits qui n'ont rien à voir. Mais que se veut être la démarche du journaliste si j'ai bien compris ? On va dans un commissariat et on regarde ce qui s'y passe pendant 72 heures. Sur le principe, pourquoi pas ?
Pour ce qui est des accents conservateur, de droite, voir d'extrême, c'est juste une grille de lecture idéologique dont on sait qu'elle est celle du figaro. Merci de nous le rappeler.

Auteur:  Gnagnagna [ 12 Aoû 2020, 13:32 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

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Vous n'êtes pas rationnels. Vous voulez absolument croire à la théorie de l'ensauvagement. Impression de discuter avec des religieux. Je laisse tomber.

Auteur:  Castorp [ 12 Aoû 2020, 14:12 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Mais de quoi tu parles encore ?
On te dit juste que ton article est à chier, ce qui n'est en aucun cas une validation (ou pas) de la théorie de l'ensauvagement.

Auteur:  Karlito [ 12 Aoû 2020, 14:39 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

ah nan mais sur le fond je suis d'accord, la société n'est pas plus violente qu'il y a 40 ans. La violence est par contre différente et les ages aussi.

Auteur:  bmntmp [ 12 Aoû 2020, 14:54 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Dans la croix d'hier, le mot ensauvagement est utilisé pour parler de la disparition des pâturages en Lozère et de la reforestation à marche forcée. C'est savoureux.

Auteur:  Karlito [ 13 Aoû 2020, 04:33 ]
Sujet du message:  Re: Le fil de la politique vue par les foruméens de FdC qui ne votent pas même par procuration

Hummm... je suis classé assez bizarrement.

http://www.politiscales.net/fr_FR/resul ... 1=43&p0=24

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