Après d'accord sur le Danemark, Suède, Pays bas, Allemagne, etc... et je pense que quelque bord politique qu'on soit on est quasi tous à tirer le même constat qu'on a trop ronronné pendant 30 ans et qu'on a raté un peu le train des différentes mutations économiques et sociales qu'ont mieux pris ces pays.

T'aimes pas le modèle suédois? J'aime bien Ibra, les Krispolls et Ikea.

Alors que les "gilets jaunes" se mobilisent pour le 22ème week-end consécutif, Europe 1 a recueilli le témoignage de l'épouse d'un gendarme mobile, entre stress et lassitude.

Elle oscille entre stress extrême et extrême lassitude. Depuis la mi-novembre, Claire voit son époux, gendarme mobile, assurer chaque week-end la sécurité de la mobilisation des "gilets jaunes". Alors que de nouvelles manifestations sont prévues pour "l'acte 22" du mouvement, samedi, elle a accepté de témoigner au micro d'Europe 1.

"Est-ce qu'il va y avoir un drame ?". "Notre vie, depuis le 17 novembre, c'est l'angoisse, samedi après samedi", souffle Claire, évoquant un "stress permanent". "On se dit : 'qu'est-ce qui va se passer ? Est-ce qu'il va y avoir un drame ce samedi ?'". En cinq mois, elle n'a passé qu'un seul week-end avec son époux. "On a l'habitude, ils sont absents 250 jours par an", explique-t-elle. "Mais pas dans ces conditions, pas dans cette violence extrême."

Des week-ends passés "devant les informations". "Et puis en cinq mois, on a toujours des semaines de permission", ajoute Claire, à la fois fatiguée et inquiète. "Là non, là on nous dit clairement que ce n'est pas possible. On ne peut pas vous laisser partir en vacances une semaine. Le week-end, pendant que les gens normaux vont se promener, se balader, moi je suis devant les informations et c'est terrible."

"Il faut que ça s'arrête". Mobilisé le week-end du 17 mars, marqué par un regain de violences, le mari de Claire est rentré particulièrement éprouvé, assure-t-elle. "Il y a eu un avant et un après. J'ai vu dans ses yeux que cette fois-ci, il a vraiment eu peur. Ça m'a bouleversée de le voir comme ça, c'était la toute première fois que je voyais ce regard", raconte-t-elle. "Certes, c'est son métier de servir la France. Mais aujourd'hui ils (les forces de l'ordre, ndlr) sont le dernier rempart de la République et c'est terrible, il faut que ça s'arrête."

La France a peur!

C'est moi ou ce type d'interview tient plus de la propagande qu'autre chose?

Les forces de l'ordre sont le dernier rempart de la république? Comme d'habitude non? C'est pas leur boulot d'ailleurs?

depuis novembre.

Bon, Macron voulait être un peu le Thatcher français, donc ça n'a rien de surprenant mais ça fait relativiser un peu.

C'est Fillon qui le clamait haut et fort durant la campagne. Souvenir d'une interview radio où il s'emportait contre le chroniqueur qui osait dire du mal de Maggie.

Vu il y a quelques mois des images des manifestations en Angleterre contre la poll tax dans un documentaire sur l'éviction de Margaret Thatcher sur la scène parlementaire, et les violences urbaines paraissaient encore mille fois pires que ce qu'on a pu voir en France.

Les années de plomb, en Italie, ça avait l'air bien sympa également.

Les années de plomb, en Italie, ça avait l'air bien sympa également.

Putain, ouais, trop lourd.
Marrant que justement tu n'arrives pas à être plus prolixe sur ta critique de la Suisse alors que tu brodes sur des cas bien moins pratiquee