Forum de FilmDeCulte

94 ans. Covid.

Je suis pas né sous Giscard, juste conçu sous lui, donc j’ai pas connu son septennat. Je l’ai cependant découvert par mes lectures par la suite (de toute façon il était le premier chroniqueur de ses années au pouvoir avec tous ses bouquins) et le personnage et son époque sont assez fascinants car contrastés, notamment dans son mélange de modernité et de réflexes aristo... Évidemment difficile de ne pas penser à un proto-Macron.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

C'est la victime la plus high-profile du Covid jusqu'ici, non ?
Sinon, ça fera économiser des sous aux finances publiques.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Hâte de lire ce qu'il foutait chez Agnès.

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Netflix les gars, Netflix.

C'est bizarre. on dit qu'il est mort des suites du covid alors qu'il y a peu, on disait que son hospitalisation n'avait rien à voir avec la covid.

Il va en chier.... Mais c'est Giscard, il est obligé.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Jamais entendu parler c'est qui ?

Non je déconne. Mon père lui a serré la main en 1977 alors que mes parents étaient en vacances dans le sud.

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CroqAnimement votre

Souvenir de l’élection de 81 avec toute la famille dégoûtée par le résultat

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Avec Bob on l’avait croisé un soir alors qu’on sortait du Plomb du Cantal (?). Il venait d’assister au spectacle... "Né sous Giscard".

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'ai toujours eu l'impression qu'il y avait moyen de faire une fabuleuse contrepèterie avec son nom.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

La sortie télé de 1981 faisait bien rigoler ma mère qui imitait son au revoir de temps en temps, dans des circonstances plus banales.
Sinon je le trouvais antipathique. C'est en le regardant à la télé dans les années 90 qu'un adolescent pouvait comprendre que le pouvoir n'avait pas de contenu propre, et n'est que politique. Simone Weil ou Raymond Barre expliquaient ou justifiaient leurs actes, pas lui, qui n'agissait que sur son parti (c'est frappant dans le documentaire de Depardon d'ailleurs). Il était encore plus que de Gaulle et comme Mitterrand dans l'idée de la présidence comme incarnation, avec le mirage d'un devenir classe-moyenne collectif (l'ascenseur social) comme seul contenu. D'où l'importance des technocrates et propectivistes durant son mandat (ce n'est pas forcément mieux maintenant, avec un discours très idéologique et très nationaliste omniprésent dans tous les partis, sauf peut-être les Verts).

Le nom (créé par son père) en effet est une invention et joue sur l'inconscient pour imposer le personnage : Giscard-Destin. Un truc à la Rubempré Vautrin.

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Sa zoophilie n'était un secret pour personne mais le mec avait des goûts de luxe. Monsieur le Président ne pouvait se contenter de fourrer une chèvre ou un veau. Alors Agnès faisait régulièrement venir toute une ménagerie d'animaux majestueux chez elle : un paon, un léopard des neiges et, il y a quelques jours, un lion. À 94 ans, le mec a pris la confiance et, après avoir enculé le fauve, il lui a mis le zgeg dans la bouche en criant "Allez, avale et ris!". Gît Scar, destin bien triste, là sur la moquette d'Agnès comme une peau de bête, mais comme le personnage d'après lequel il était nommé, il était plus fourbe qu'il n'en avait l'air. Et il bouffa la bite du président. Hémorragie fatale.

Au revoir.

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One day in the making.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Fabuleux.

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Netflix les gars, Netflix.

Je l'avais à la première lecture du message mais j'ai cherché mieux. J'ai pas trouvé.

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Le début est parfait. Dommage que tu aies pas réussi à contourner "Destin".

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."