Nope.

Bon, tu nous le présentes?

Bah, j'imagine que Film Freak a remarqué que j'avais la même IP qu'un certain Pandi ...

:D

Tu as quand même oublié une des grosses tendances de l'année : les gays.

- I Love You Phillip Morris
- Spring Fever
- Le Roi de l'Evasion
- Eyes Wide Open
- J'ai tué ma mère
- Humpday (même si c'est juste deux hétéros qui tentent un pari gay)

Même dans le Ang Lee, y a un coming-out gay. Et dans Visage, Amalric vient juste pour rouler une pelle.

Dans "Ne te retourne pas", Monica Bellucci était le fantôme de Sophie Marceau dont elle avait pris la place dans sa famille. Dans "Un prophète", Malik, contraint de tuer un homme pour sauver sa vie, doit ensuite cohabiter avec son fantôme dans sa cellule. A Macao, quand Johnny s’agenouille dans la mer, les fantômes de sa fille et de ses petits enfants assassinés surgissent des flots pour lui rappeler sa promesse de "Vengeance". Dans "Looking for Eric", Steve Evets, désespéré, parle au poster de Cantona, lequel apparaît, pour entrer et sortir de sa vie comme un bon génie. Déchirée par le deuil, Charlotte Gainsbourg, "l’Antichrist" de Lars von Trier, est hantée par les sorcières pourchassées au cours des âges. Dans "The Time That Remains", Elia Suleiman revient dans son pays réduit à l’état de fantôme : la Palestine. "Soudain le vide" de Gaspard Noé est carrément l’histoire d’un fantôme. En effet, la caméra subjective sort de son personnage quand celui-ci est tué, et telle une âme (sous acide), se met à flotter dans l’air de Tokyo.
Sans même tirer sur la pellicule, on pourrait en trouver d’autres, dont celui de la mère dans "Visages" de Tsai Ming-Liang. Mais gardons le plus beau pour la fin, celui de Resnais. Dans "Les Herbes folles", Sabine Azéma s’appelle Muir, comme Gene Tierney dans le chef-d’œuvre de Mankiewicz : "The Ghost and Mrs Muir".

Y avait aucun film qui m'attirait spécialement, d'ailleurs, à part "Rien de personnel".