Forum de FilmDeCulte

dont la retro est une des bonnes surprises du Melbourne film festival... Si quelqu'un avait pioché dans sa filmo avant L'anguille ça me guiderait dans mes choix d'avance merci...

11'09''01 - September 11 (2002) (segment "Japan")
De l'eau tiède sous un pont rouge (2001)
Kanzo sensei (1998)
L'anguille (1997)
Pluie noire (1989)
Zegen (1987)
La ballade de Narayama (1983)
Eijanaika (1981) ... aka Why Not?
La vengeance est mienne (1979)
Karayuki-san, the Making of a Prostitute (1975)
Nippon Sengoshi - Madamu onboro no Seikatsu (1970)
... aka History of Postwar Japan as Told by a Bar Hostess
Kamigami no Fukaki Yokubo (1968)
... aka Deep Desire of Gods
Un homme disparaît (1967)
Les pronographes (1966)
Akai satsui (1964)
... aka Intentions of Murder
... aka Murderous Instincts (International: English title)
... aka Unholy Desire
La femme insecte (1963)
Buta to gunkan (1961)
... aka Hogs and Warships (International: English title)
... aka Pigs and Battleships
... aka The Flesh Is Hot (USA)
Nianchan (1959)
... aka My Second Brother
Hateshinaki yokubo (1958)
... aka Endless Desire
Nishi Ginza ekimae (1958)
... aka In Front of West Ginza Station (informal literal English title)
... aka Lights of Night
... aka Nishi Ginza Station
Nusumareta yokujo (1958)

veinaaaaaaaaaard

6/6 11'09''01 - September 11 (2002) (segment "Japan")
Peut-être le plus beau des films de la compil hormis le Inarritu
4/6 De l'eau tiède sous un pont rouge (2001)
Même si je l'ai vu deux-trois fois, pas son film que je préfère
5/6 Kanzo sensei (1998) Film magnifique d'une extrême limpidité
6/6 L'anguille (1997) L'un de mes films préférés
6/6 Pluie noire (1989) presque idem
pas vu... 'culé Zegen (1987)
à revoir La ballade de Narayama (1983) Jeune je m'étais ennnuyé
5/6 Eijanaika (1981) ... aka Why Not? film picaresque et survitaminé, connaitre l'histoire japonaise n'est pas un luxe
6/6 La vengeance est mienne (1979) Adoré cette histoire qui évoque Memories of Murder
Nippon Sengoshi - Madamu onboro no Seikatsu (1970)
... aka History of Postwar Japan as Told by a Bar Hostess
Avec un peu de chance, la mule finit de me le charger
Kamigami no Fukaki Yokubo (1968)
... aka Deep Desire of Gods
UN BIG FANTASME DE CINEPHILE
Akai satsui (1964)
... aka Intentions of Murder
... aka Murderous Instincts (International: English title)
... aka Unholy Desire
je croyais ce film d'Oshima. Peu de souvenirs

Ceci dit a seize dollars la place et des diffusions uniques a des horaires de merde ca va etre vite fait. *Bon bah du coup j irai pas rattraper le Bela Tarr*

Pluie noire: 6/6 (grosse claque ce film est terrorisant. Poignant, sublime, pesant, techniquement excelllent, grand, grand grand, immense).

La ballade de Narayama 5,5/6 de très beaux cadres, une histoire superbe, une avant dernière scène sur la montagne mémorable. M'a donné très envie devoir l'original de Kinoshita).

De l'eau tiède sou un pont rouge 5/6 (léger, drôle, sensuel, doux et émancipé. Doucement subversif).

L'histoire du Japon d'après guerre racontée par une hôtesse de bar: 4/6. (J'avais adoré certains points du questionnements, mais vraiment été laissé de marbre par d'autres. Et l'Hotesse aussi, quelle pouf...).

L'anguille (peu de souvenirs)
Kanzo Sensi (encore moins)

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

La ballade de Narayama: pas tenu jusqu'au bout, vu deux bonnes heures, le parti-pris ultra-naturaliste m'a gonflé sévère.

Pluie noire: beau film, digne et tout

L'anguille: pas tenu jusqu'au bout

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

regarde le film de Kinoshita, son opposé d'un point de vue esthétique, pour t'en convaincre.
et profites-en pour revoir la version d'Immamura.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Oui, j'avais lu quelque chose disant que le parti pris ésthétique était complètement en opposition avec celui de Kinoshita... Mais sans savoir sur quel point ça se fondait. Ne me souvenant pas non plus d'un parti pris naturaliste (peut-être qu'en soi, hors comparaison, y en a pas? Enfin c'est une hypothèse... Que cela ne ressort qu'après comparaison) je suis un peu étonné.

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Le seul que j'ai vu à ma connaissance (me rappelle pas trop des titres asiatiques, malheur à moi) c'est De l'eau tiède sous un pont rouge et j'avais particulièrement apprécié. Je lui met un 4.5/6, c'est du bon.

je vois pas en quoi ces qualificatifs sont antinomiques avec un style naturaliste.
sinon, rappelle toi les scènes de cul. les acteurs sont peu ou prou filmés comme des animaux. c'est typique du naturalisme ça.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.