1996 : Crocodile (악어, Ag-o)
1996 : Wild Animals (야생동물 보호구역, Yasaeng dongmul bohoguyeog)
1998 : The Birdcage Inn (파란대문, paran daemun)
2000 : Real Fiction (실제상황, Shilje sanghwang)
2000 : L'Île (섬, Seom)
2001 : Adresse inconnue (수취인불명, Suchwiin bulmyeong)
2001 : Bad Guy (나쁜 남자, Nappeun namja)
2002 : The Coast Guard (해안선, Haeanseon)
2003 : Printemps, été, automne, hiver... et printemps (봄 여름 가을 겨울 그리고 봄, Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom)
2004 : Samaria (사마리아, Samaria)
2004 : Locataires (빈집, Bin jip)
2005 : L'Arc (활, Hwal)
2006 : Time (시간, sigan)
2007 : Souffle (숨, Soom)
2008 : Dream (비몽, Bi-mong)
2011 : Arirang
Crocodile (1996)
Premier film assez personnel sur un dur à cuir qui cogne, de gros problèmes de rythme et un personnage central très peu attachant. Pas touché.
2/6
Wild Animals (1996)
Le film "je suis fatigué celui-là je le zappe" à la rétro *bon bah je le verrai peut-être jamais*. Avec Richard Bohringer, bon c'est par réputation son pire.
Birdcage Inn (1998)
L'histoire d'une prostituée et la façon dont elle s'invite dans la vie d'une famille tranquille. Le film est aussi doux que
Crocodile est âpre, un peu anodin mais plus maîtrisé. Avec déjà la peinture comme un motif qui va revenir dans beaucoup de ses films (la prostituée se baladant avec une toile renvoyant à celle de
Bad Guy, passionnée de peinture).
3/6
L'Ile (2000)
La révélation internationale par sa première oeuvre qui vaut vraiment le coup. Très beau esthétiquement, le film nourrit un mystère qui frôle parfois le creux mais se révèle vraiment fascinant,
oui oui même ses fameuses scènes dites à hameçons.
5/6
Real Fiction (2000)
Exercice de style filmé en temps réel. Au-delà de ça, pas grand intérêt.
1-2/6
Adresse inconnue (2001)
Chronique de jeunesse douce-amère et premier film "mûr", vraiment plein. J'avais trouvé ça très poétique et émouvant, c'est peut-être son meilleur.
5/6
Bad Guy (2001)
Bon bah voilà ça c'est fait.
2/6
The Coast Guard (2002)
Quelque part le film pourrait être décrit avec les mêmes mots que
Bad Guy, mais il y a une folie et un côté absurde qui me charment davantage, la narration est, quant à elle, beaucoup plus fluide. Plutôt bien aimé.
4/6
Printemps, été, automne, hiver…et printemps (2003)
Le film d'une simplicité enfantine et d'une pureté incroyable. Le moindre plan se mange tout seul, c'est d'une beauté perpétuelle et voilà ça donne envie de vivre dans une cabane en Corée.
5/6
Samaria (2004)
Son film le plus beau, le mieux réalisé, qui retombe sur ses pattes à chacun de ses virages (changement de point de vue, parenhtèses narratives). Il m'en reste plein de plans en tête, d'idées assez puissantes, de beaux personnages. Excellent.
5/6
Locataires (2004)
Il a tout pour me plaire mais bizarrement ça ne colle pas plus que ça. Je trouve certains personnages trop épais (le mari salaud, le gardien de prison), et la violence qui en découle un peu trop facile et lourde. Ca peine aussi niveau changements de rythme. Mais il y a pas mal de très belles idées, même si parfois amenées par gyrophare.
3/6
L'Arc (2005)
Et bien on verra ça bientôt.