Disclaimer : le terme "pute de l'est" risque de revenir souvent dans ce sujet. Je tiens à dire que cette expression n'est pas toujours un pléonasme.
Un gars (jme souviens plus qui) disait sur le forum il y a peu que les scénars de Besson c'était toujours des kidnappings, de femmes de préférence (Ce qui n'est pas le cas de Yamakasi, vazy révise tes références jtai cassé sale inculte). Moi ce que je retiens surtout (après avoir vu le transporteur 3 ce matin, ce qui m'a poussé à créer ce fil) c'est que les premiers rôles féminins sont toujours des bouts de salopes maquillés comme des Armande Altaï qu'on filme toujours en trèèèès gros plan avec des yeux agards style elles sont en transe. En voici mon classement :
4 - Kate Nauta (Transporteur 2) :
Le maquillage pourri poussé à son extrême, les fringues hors sujet, c'est du nawak à son paroxysme. Et elle est moche. Elle est dernière loin devant.
3 - Milla Jovovich (5ème élément) :
L'emblème, le précurseur du bout de viande ukrainien (même si côté chair, toutes ces meufs sont de sacrées planches à pain). Elle reprendra son rôle de Leeloo dans le film suivant de Besson et obtiendra la consécration avec la saga Resident Evil.
2 - Natalya Rudakova (Transporteur 3) :
La figure imposée de la prostituée Bessonnienne : mon maquillage coule fort quand je pleure
Olga Kurylenko n'était pas disponible donc on s'est rabattu sur elle. Ca marche pas mal.
1 - Olga Kurylenko (Hitman) :
C'est celle de gauche
C'est celle qui a peut-être un avenir. Sa courte apparition dans Max Payne lui fait mériter le prix de la gaule d'or 2008. Son rôle dans le dernier James Bond fait moyen moyen quand on repense à Eva Green, mais bon. Elle est bonne. Et elle n'est pas frileuse la catin !
On peut noter une innovation chez celle là : contrairement aux autres tepu de l'est, celle-ci n'a pas une couleur de peau type lavabo.
Le prix spécial du jury : Maggie Grace
Ca c'est très fort. Alors que la plupart des films Europa Corp présentent des prostiputes qui se sociabilisent au fur et à mesure que le film avance, Taken propose un truc jamais vu au cinéma en transformant une gentillette pucelle américaine en Milla Jovovich. La machine est inversée, c'est magnifique.
En ai-je oublié ?