Kalimero a écrit:
à part dans la VF pathétique.
"Le hokuto de cuisine !"
Ils avaient de l'humour les doubleurs à l'époque...
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| Ken, l'ère de Raoh (Takahiro Imamura, 2007) https://forum.plan-sequence.com/ken-ere-raoh-takahiro-imamura-2007-t9471.html |
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| Auteur: | Vintage [ 19 Mai 2008, 08:27 ] |
| Sujet du message: | Ken, l'ère de Raoh (Takahiro Imamura, 2007) |
C'est vrai que c'est sympa. J'ai trouvé que ça restait trop sérieux. |
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| Auteur: | Kalimero [ 20 Mai 2008, 06:37 ] |
| Sujet du message: | |
Dans mes souvenirs il n'y a jamais vraiment eu beaucoup d'humour dans Ken... à part dans la VF pathétique. |
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| Auteur: | Tetsuo [ 20 Mai 2008, 08:58 ] |
| Sujet du message: | |
Kalimero a écrit: à part dans la VF pathétique.
"Le hokuto de cuisine !" Ils avaient de l'humour les doubleurs à l'époque...
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| Auteur: | Vintage [ 20 Mai 2008, 11:02 ] |
| Sujet du message: | |
Tetsuo a écrit: Kalimero a écrit: à part dans la VF pathétique. "Le hokuto de cuisine !" Ils avaient de l'humour les doubleurs à l'époque... Oui, les Nanto de fourrure... |
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| Auteur: | Ihsahn [ 19 Mar 2011, 17:49 ] |
| Sujet du message: | Re: Ken, l'ère de Raoh (Takahiro Imamura, 2007) |
Avoir un avatar de Hokuto No Ken c'est bien, mais savoir ce que c'est, c'est mieux. J'étais trop jeune à l'époque où passait le dessin animé avec ses fameux doublages pourries (« L'attaque du Phoenix d'Arizona ! »). Je ne l'ai découvert que très tard sur la chaîne AB1 (ça doit tout de même faire plus d'une dizaine d'années maintenant) puis en mangas grâce un pote qui les collectionnait. Le manga, je l'adore. C'était violent comme jamais, extrêmement bien dessiné, bien qu'en regardant aujourd'hui je me rends compte que c'était tout de même assez répétitif et surtout pauvre en terme de construction/mise en page. On peut honnêtement dire que ce défaut se retrouve dans ce film, mais j'y reviendrai. Au début du film, j'étais vraiment parti pour adorer. Tout d'abord parce que j'y ai retrouvé cette précision dans le dessin, cette fascination dans les visages, dans les paysages post-apo, le tout avec des couleurs assez bien choisies. Aussi, parce qu'il commence par planter le décors et l'enjeu principal de l'histoire : ces différentes familles d'arts martiaux qui combattent au beau milieu d'un monde mort, où la réussite de l'un entrainera la chute de tous les autres.  Et c'est tout... Au lieu de jouer de cette tension et d'y construire une saga digne de ce nom, ce long-métrage ne va se contenter que de résumer ce que fut probablement la première saison de Hokuto no Ken du manga. Le résultat est inévitablement décousu. L'on passe d'une scène à une autre avec des ellipses temporelles de fou furieux, aucune émotion n'a le temps de germer dans les personnages car elles sont rapidement balayées par un autre évènement en provenance de l'épisode suivant, et ainsi de suite jusqu'au combat final qui tombe totalement à plat, faute d'une réelle réflexion sur ce que donne le résultat une fois mis sur un écran. La faute à la feignantise de la part de leurs créateurs, refusant de retravailler leur saga de peur, peut-être, de trahir ses fans. Beaucoup des plans du film viennent du manga, sauf que transposé sur un écran 16:9, l'impact d'un visage en demi-profil, ça fonctionne une ou deux fois mais pas plus... Là c'est littéralement l'orgie de plan à la "je pose mon visage trop méchant trop bien dessiné et je ne fais...rien". En dehors de ces visages, rien ne vit : des enfants qui le restent éternellement, des méchants qui naissent forcément plus fort que les gentils, pas d'espace, pas de noms de ville ou de région, pas de temps... Seulement ça :   En fait non, tout n'est pas comme dans le manga. Ce dernier était bien plus violent, voir gore. Et c'est très important. De cette violence se dégageait une certaine esthétique dans la mise à mort. Là elle est la plupart du temps esquivée ou mise au second plan. Voir le visage écrasé d'un soldat par l'un des sabot du cheval du grand Raoh, c'est autre chose que d'entendre un *splosh* en hors-champ. Au lieu de censurer, l'effet est complètement à l'opposé, cette violence devient secondaire, pas nécessaire mais pas non plus gravissime... Elle l'était dans le manga. La seule chose à retenir est ce culte que voue bel et bien le Japon à cet univers. Mais bon vu comment ils le traitent, on frôle la nécrophilie là...  2,5/6 de fan |
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