Forum de FilmDeCulte
https://forum.plan-sequence.com/

Haze (Shinya Tsukamoto, 2005)
https://forum.plan-sequence.com/haze-shinya-tsukamoto-2005-t9020.html
Page 1 sur 1

Auteur:  Art Core [ 13 Mar 2008, 09:20 ]
Sujet du message:  Haze (Shinya Tsukamoto, 2005)

[Info modo : post en réponse à un premier message effacé]


Une putain de bombe montrant combien Tsukamoto en a encore sous le coude. Un survival abstrait et viscéral absolument incroyable. Ca change des délires Snake of June ou Vital où il y a des qualités certes mais dans lesquels il est plus difficile de reconnaître le style cyberpunk enragé du réal des deux Tetsuo.
J'avais rien compris à la fin mais peu importe. Une belle petite claque ce film.
5.5/6

Auteur:  Jericho Cane [ 13 Mar 2008, 10:06 ]
Sujet du message: 

Vu y a 3 ans...
J'ai donc un peu oublié, mais c'était vraiment pas mal, ce petit cauchemar.... C'est dans la veine expérimentale que je préfère de lui, avec "Tetsuo".

On n'entend beaucoup plus parler de Tsukamato ces derniers temps. Il tourne encore?

Auteur:  Blissfully [ 13 Mar 2008, 10:29 ]
Sujet du message: 

Jericho Cane a écrit:
On n'entend beaucoup plus parler de Tsukamato ces derniers temps. Il tourne encore?


Oui, c'est juste que c'est plus décidé à sortir ici...

Auteur:  Cosmo [ 10 Mai 2021, 22:35 ]
Sujet du message:  Re: Haze (Shinya Tsukamoto, 2005)

Un homme se réveille, enfermé dans sorte de labyrinthe souterrain, tellement exigu, qu'il peut à peine s'y déplacer. Il ne se souvient ni d’où il vient ni comment il est arrivé dans cet enfer. À l'abdomen, il a une blessure profonde et douloureuse. Il commence à se déplacer dans les confins étroits de ce labyrinthe, en tentant de survivre aux pièges mortels omniprésents. Il doit parfois se déplacer à la force de ses dents... Dans un lieu rempli de membres arrachés et putrescents, il rencontre alors une femme - elle aussi amnésique - et tentent ensemble de trouver des réponses en vain. Alors que l'homme est prêt à abandonner, la femme décide de déblayer un passage dans un égout; en la suivant il la perd de vue...

J'imagine que c'est à voir en salle, dans le noir, pour profiter pleinement de l'expérience sensorielle (le film n'est sans doute pas pensé autrement, vu sa genèse). Chez moi, lumière allumée, ça m'a plutôt fait chier, même si je reconnais la force immersive des jeux de lumière, du montage, du son, et le plaisir de voir Tsukamoto revenir à un cinema aussi radical, seize ans après Tetsuo. Puis c'est autre chose qu'Eden Log.

2/6

Page 1 sur 1 Heures au format UTC + 1 heure
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
http://www.phpbb.com/