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Ma vie en l'air (Rémi Bezançon - 2005)
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Auteur:  SwingKid [ 15 Sep 2005, 08:54 ]
Sujet du message: 

Tiny Tears a écrit:
Citation:
C'est encore une vision dite "cinéphile" de cet art qui nous passione


D'abord cinéphile n'est pas un gros mot. Il faudrait arrêter de trouver le terme pompeux.

Ensuite, je suis complètement d'accord avec toi sur le thème "tu vas y chercher ce que tu souhaites", c'est pourquoi je dis qu'il s'agit d'intentions, de ce qu'on place dans le cinéma. Si effectivement, on cherche juste à passer un bon moment, on passera un bon moment. Tu remarqueras que je n'ai pas dit que des choses méchantes... mais j'insiste sur le fait que pour moi, le film n'est pas juste une bonne grosse glace, vite mangée, vite digérée! J'aime trop le cinéma pour ne pas préférer à cette "glace"-là un plaisir plus subtil et plus goûtu.
Question de goût évidemment mais si on est là pour parler des films c'est aussi me semble t-il, pour développer une conception du cinéma.


Comme je te l'ai dit dans mon message, je réagis a ce que j'ai ressenti en lisant ton message. Je suis d'accord avec toi sur le fait de preferer certains films . Moi meme ... j'ai tendance a préféré des films style LVT ou Jarmush ou autres aux comédies mordernes qui me font que très rarement rire. Mais il ne faut pas dénigrer pour autant le reste c'est tout. Il faut un des films pour tous.

ET comme le dit si bien Noony , pour un premier message tu lances un sujet épineux

Auteur:  Tiny Tears [ 15 Sep 2005, 11:23 ]
Sujet du message: 

Citation:
Les films sont comme des gens, tu peux pas demander à chacun d'être une rencontre décisive, un choc, un pilier de ta vie future. Mais rien ne t'empêche de sourire aux autres, de prendre un peu de ce qu'ils ont à t'offrir.
Voilà... ma conception du cinéma est plutôt celle-là, tu la trouves si absurde que ça ?

Et sinon bienvenue à toi... [sincèrement, évidemment]


D'abord merci pour tes attentions. Le ton commençait à monter un peu et je ne voyais pas trop comment m'en sortir.

Effectivement, on peut se demander sur quel terrain nous emmène le cinéma français en terme de comédie. Si j'en rejette 75% c'est parce que, premièrement, je rejette la vision de la société qu'elles nous offrent. Alors oui, j'ai un problème, ces films (que ce soit les comédies éculées de Veber, les "films de trentenaire" ou ceux de la génération Michael Youn) montrent une société que je ne reconnais pas (ou que je refuse de reconnaître). Si le film est un miroir alors pour moi, il est faussé.
D'autre part, je regrette profondément le manque de recherche et d'imagination de la majorité des comédies françaises actuelles tirant soit vers le comique de télévision, en terme de format et de structure (ce n'est pas pour rien que tous les acteurs de mini-séries télévisées se retrouvent en tête d'affiches), soit vers les vieilles comédies-à-papa. Je regrette les choix esthétiques faciles auxquels se soumettent ces films quand les comédies de Pascal Thomas ou Bruno Podalydès osent et bousculent un peu nos habitudes.

Je ne supprime surtout pas la notion d'identification (moi aussi, j'y ai trouvé mon compte de souvenirs) mais même si tu prends du plaisir à voir ça, on ne peut pas baser tout un film là-dessus. Ce serait le réduire, dans ce cas-là, à un film nostalgique lorsqu'il dépeint une époque de notre vie à tous finalement, régressif (la tendance régressive est aussi un truc avec lequel j'ai un problème) lorsqu'il aborde la confrontation entre les personnages et les enjeux de leur propre vie, et moraliste de merde quand il finit par nous dire qu'il faut rentrer dans le rang, que la vie est dure mais qu'on n'y peut rien.

On peut aussi ne pas accepter la vision effectivement prémâchée des trentenaires que les médias s'escriment à représenter comme des retardés, bobos, etc... mais c'est une autre histoire...

Enfin, je trouve tout-à-fait sympathique ta conception du cinéma mais j'y ajouterais (juste pour moi hein) une bonne dose de conscience des choses et de vigilance par rapport à ce qu'on me montre.
Voilà.
Et puis la prochaine fois, j'essaierai de passer plus de temps à discuter sur un film que j'ai aimé plutôt... c'est mieux.

Auteur:  Tiny Tears [ 15 Sep 2005, 11:28 ]
Sujet du message: 

Citation:
j'ai tendance a préféré des films style LVT


LVT? C'est qui?

Auteur:  Karloff [ 15 Sep 2005, 11:52 ]
Sujet du message: 

Dieu.

Lars Von Trier, voyons...

Auteur:  SwingKid [ 15 Sep 2005, 12:17 ]
Sujet du message: 

Karloff a écrit:
Dieu.

Lars Von Trier, voyons...


eheheh... je savais queje pouvais compter sur toi

Auteur:  Noony [ 15 Sep 2005, 14:56 ]
Sujet du message: 

Tiny Tears a écrit:
Citation:
Les films sont comme des gens, tu peux pas demander à chacun d'être une rencontre décisive, un choc, un pilier de ta vie future. Mais rien ne t'empêche de sourire aux autres, de prendre un peu de ce qu'ils ont à t'offrir.
Voilà... ma conception du cinéma est plutôt celle-là, tu la trouves si absurde que ça ?

Et sinon bienvenue à toi... [sincèrement, évidemment]


D'abord merci pour tes attentions. Le ton commençait à monter un peu et je ne voyais pas trop comment m'en sortir.

Effectivement, on peut se demander sur quel terrain nous emmène le cinéma français en terme de comédie. Si j'en rejette 75% c'est parce que, premièrement, je rejette la vision de la société qu'elles nous offrent. Alors oui, j'ai un problème, ces films (que ce soit les comédies éculées de Veber, les "films de trentenaire" ou ceux de la génération Michael Youn) montrent une société que je ne reconnais pas (ou que je refuse de reconnaître). Si le film est un miroir alors pour moi, il est faussé.
D'autre part, je regrette profondément le manque de recherche et d'imagination de la majorité des comédies françaises actuelles tirant soit vers le comique de télévision, en terme de format et de structure (ce n'est pas pour rien que tous les acteurs de mini-séries télévisées se retrouvent en tête d'affiches), soit vers les vieilles comédies-à-papa. Je regrette les choix esthétiques faciles auxquels se soumettent ces films quand les comédies de Pascal Thomas ou Bruno Podalydès osent et bousculent un peu nos habitudes.


Je trouve dommage de mettre sur le même plan des comédies comme "Brice de Nice" ou "Espace détente" et "Ma vie en l'air". D'un coté, ça vole clairement pas haut. C'est, comme tu le dis, très télé. Le film de Bezançon est bien plus "frais", mieux écrit, avec tout de même un certain scenario et des problématiques plus poussées (c'est sur, c'est pas du Rohmer, mais bon...).

Et puis je me suis emmerdé au "Parfum de la dame en noir"...

Auteur:  Z [ 02 Fév 2008, 22:29 ]
Sujet du message:  Re: Ma vie en l'air (Rémi Bezançon - 2005)

Tiny Tears a écrit:
Il s'agit de savoir si on va au cinéma parce qu'on a eu une sale journée et qu'on veut passer un bon moment, ou si on espère y trouver un objet de réflexion, stimulant tout au moins, quelque chose qui ne s'arrête pas au moment où on pousse les portes de la salle, une sorte de vision du monde qui nous donnerait à (re)penser le nôtre. Hors rien de ce film ne survit au delà des portes sus-indiquées.
Dans le sous-genre malheureusement à la mode du film de "trentenaire", "ma vie en l'air" ressemble tout-à-fait aux "poupées russes" (Klapisch, chef de file du film qui ne se mouille pas? à lire absolument dans les Cahiers de ce mois-ci!) c'est-à-dire à un film fourre-tout de bêtes clichés, une suite de vignettes rigolotes mais vaines. Effectivement, les acteurs sont sympathiques et ils se sont sûrement bien amusés (et tant mieux), mais leurs personnages sont creux. Le sujet central du film est-il l'histoire d'amour entre Vincent et Marion comme je le pensais? Si oui, quid de leurs sentiments? Quelqu'un peut-il me dire à quel moment ils sont traités? A moins que le sujet central soit en fait l'Indécision chronique qui semble toucher telle un virus cette caste de mous-du-genou que représentent les trentenaires. Alors effectivement, "ma vie en l'air" (comme les autres) est condamné à rester à la surface des choses, à s'amuser de petits riens pour tenter de faire oublier que la vie est plus compliquée mais plus belle aussi.
Cinéma de surface? Certainement.


'tain c'était ça ton premier message sur le forum Tiny ??? C'est naze ! Dire du mal d'une des rares comédies françaises drôles et esthétiquement réussies...

Bon, j'ai revu le film pour la Xème fois et c'est toujours aussi drôle, ça fait toujours autant de bien. 6/6

Auteur:  jiko [ 02 Fév 2008, 23:39 ]
Sujet du message:  Re: Ma vie en l'air (Rémi Bezançon - 2005)

Z a écrit:

'tain c'était ça ton premier message sur le forum Tiny ??? C'est naze ! Dire du mal d'une des rares comédies françaises drôles et esthétiquement réussies...


Tiens, c'est marrant, on en parlait l'autre jour...

Bin je le trouve pas si mal le post de Tiny, à ceci près qu'il concède au film un certain plaisir à le voir. Moi je me suis bien ennuyé, pas drôle et hyper prévisible, ça reste du 1/6. Je développe pas, tout est dit plus haut.

Auteur:  Z [ 02 Fév 2008, 23:43 ]
Sujet du message:  Re: Ma vie en l'air (Rémi Bezançon - 2005)

Je comprends pas... moi c'est un des rares films que je conseille à tous ceux qui font mon entourage, sans prendre de risque, je sais que ça plaira.

1/6... on dirait que tu as vu Camping ou Les Bronzés 3.

Auteur:  jiko [ 02 Fév 2008, 23:53 ]
Sujet du message: 

Non ces deux là je met 0.

Le problème de Ma vie en l'air, c'est qu'il ressemble franchement à tous ces films sur la trentaine, la difficulté du choix gnagna, où les personnages ne sont là que pour illustrer les problèmes de conscience du héros. Pour moi c'est tellement balisé, tellement ikéa que ça passe pas du tout.
Je vais pas répéter ce qui ce dit plus haut hein, mais si camping c'est le film beauf, Ma Vie en l'air c'est le film, je sais pas, Emmanuel-Schmidt (je dis ça comme ça me vient). C'est pas beaucoup mieux.

Auteur:  Film Freak [ 03 Fév 2008, 00:26 ]
Sujet du message: 

jiko a écrit:
Le problème de Ma vie en l'air, c'est qu'il ressemble franchement à tous ces films sur la trentaine, la difficulté du choix gnagna, où les personnages ne sont là que pour illustrer les problèmes de conscience du héros.


Le truc c'est qu'avec le Klapisch, ça surnage grave au-dessus des Irène et J'me sens pas belle et etc...donc y a des "codes" qu'on retrouve dans les autres films du même genre mais après, le traitement y est plus réussi je trouve.

Auteur:  Z [ 03 Fév 2008, 01:11 ]
Sujet du message: 

Film Freak a écrit:
Le truc c'est qu'avec le Klapisch, ça surnage grave au-dessus des Irène et J'me sens pas belle et etc...donc y a des "codes" qu'on retrouve dans les autres films du même genre mais après, le traitement y est plus réussi je trouve.


Je trouve Irène mignon mais vide, J'me sens pas belle très sympa mais artistiquement sans intérêt, alors qu'ici il y a quand même à bouffer... personnages réussis, répliques cultes, mise en scène classe, montage entraînant, musique originale et réussie. Je suis triste que l'on puisse bouder ça vis à vis du sujet (l'errance de la trentaine).

Confondre à ce point le sujet d'un film (très Emmanuel-Schmidt si on veut, très Ikea si on veut), et son scénario (qui part de clichés pour raconter quelque chose de sincère et d'original) ou sa mise en scène (sans faute de goût, avec de la personnalité), je trouve ça dommage.

Pour moi, encore une moi, il faut bien faire la distinction, et ici ça donne :

Sujet : à la mode
Histoire : déjà vue
Scénario : bien écrit

Sinon dans le sondage Tiny le note finalement 1,5/6 et toi 2/6. Donc vous êtes plus sévères sur le forum que dans votre souvenir...

Auteur:  Z [ 03 Fév 2008, 01:37 ]
Sujet du message: 

jiko a écrit:
Le problème de Ma vie en l'air, c'est qu'il ressemble franchement à tous ces films sur la trentaine, la difficulté du choix gnagna, où les personnages ne sont là que pour illustrer les problèmes de conscience du héros. Pour moi c'est tellement balisé, tellement ikéa que ça passe pas du tout.


Stella a très bien parlé du film dans ce topic, et je pense comme elle que vous vous êtes arrêtés aux apparences, que le film ne dit pas ça, ou ne se contente pas de ça. Après, je ne sais pas comment tu te situes vis à vis d'un cinéaste comme Klapisch par exemple, peut-être que c'est un cinéma (des mecs de 30-40 ans qui écrivent sur les 20-30 ans) qui ne te revient pas quand c'est traité avec humour, légèreté et nostalgie. Ca peut paraître facile, c'est même le propre des comédies, alors qu'on se doute que c'est justement extrêmement difficile (être à la fois personnel et grand public). Enfin c'est mon avis.

Après je conçois que vous puissiez attendre autre chose d'un film sur le sujet (ou pire, que vous attendiez autre chose qu'un film sur le sujet...). Mais Bezançon n'a pas à être exhaustif et développer les sentiments de façon plus intellectuelle pour coller davantage à la norme du cinéma français (sans être péjoratif, car j'aime ce cinéma).

Auteur:  jiko [ 03 Fév 2008, 16:47 ]
Sujet du message: 

Peut être que d'une certaine manière Ma Vie en l'air est mieux foutu que Irène ou autre. Mais c'est surtout une question d'enjeu, je sais pas , de point de vue du film sur ses personnages, l'impression que tout est dèjà dans la boite, que le film va suivre son cours du début jusqu'à la fin avec ses personnages qui ne vont pas aller ailleurs que vers leur petite problèmatique, sans surprise, que les personnages ne sont là que pour illustrer cette problématique (le copain d'enfance montre qu'il a du mal à évoluer, la brune revient c'est la difficulté du choix, les nouvelles voisines c'est les erreurs qu'on peut faire...) et rien d'autre.

C'est pas qu'une question de sujet, c'est bien le traitement qui me pose problème. Si on veut, le scénario est bien écrit, avec une certaine efficacité, mais ça reste lassant et répétitif, le sentiment de voir des pantins s'agiter (Les Poupées Russes porte bien son titre dans ce sens). Alors cette mécanique est certainement compliquée à mettre en place, ça demande peut être un savoir faire, n'empêche que justement le côté mécanique est trop présent, les dialogues bien écrits sont voyants, ça respire le timing millimetré et sans folie, l'exercice de style, et rien ne sortira jamais des rails (à part les bons mots, tout est dit dans la bande annonce, on a les grands moments et on peut remplir les blancs sans aucun souci, le film sera exactement ce qu'on en imagine), alors voilà pour moi Ma Vien en l'air ne décolle jamais (Houuuuuu).

A l'époque j'ai mis 2 parce que j'en avais pas encore autant marre des petites comédie françaises et que les acteurs m'étaient sympathiques (les acteurs sont toujours sympathiques dans ces films). Aujourd'hui je n'ai plus envie d'être gentil, les klapisch et compagnie me fatiguent et donc je mets 1.

Mais j'entends ton amour pour ce film (6/6 ça me choque mais bon...) et d'une certaine manière je comprends, y pas de mépris ou quoi...

Auteur:  Z [ 03 Fév 2008, 17:03 ]
Sujet du message: 

jiko a écrit:
Peut être que d'une certaine manière Ma Vie en l'air est mieux foutu que Irène ou autre. Mais c'est surtout une question d'enjeu, je sais pas , de point de vue du film sur ses personnages, l'impression que tout est dèjà dans la boite, que le film va suivre son cours du début jusqu'à la fin avec ses personnages qui ne vont pas aller ailleurs que vers leur petite problèmatique, sans surprise, que les personnages ne sont là que pour illustrer cette problématique (le copain d'enfance montre qu'il a du mal à évoluer, la brune revient c'est la difficulté du choix, les nouvelles voisines c'est les erreurs qu'on peut faire...) et rien d'autre.


C'est justement ce que je te "reproche", c'est le fait de n'y voir rien d'autre qu'une mécanique connue et sans âme, convenue, impersonnelle, paresseuse même, si je lis entre les lignes. Et ce dès que tu débutes le générique.

Je me trompe peut-être, mais je suis certain que Bezançon n'écrit pas l'épisode des voisines par exemple, en se disant à froid "elles vont représenter les erreurs que l'on peut faire" etc. On sent chez lui un désir d'écriture, un désir de faire des vignettes, d'être divertissant, drôle, schématique, de croquer comme en BD des persos ou de situations plus vrais que natures, et donc plus énormes qu'en réalité. Et je pensais que des mecs comme toi et Tiny seriez sensibles à ce côté BD que moi, je ressens.

Citation:
C'est pas qu'une question de sujet, c'est bien le traitement qui me pose problème. Si on veut, le scénario est bien écrit, avec une certaine efficacité, mais ça reste lassant et répétitif, le sentiment de voir des pantins s'agiter (Les Poupées Russes porte bien son titre dans ce sens). Alors cette mécanique est certainement compliquée à mettre en place, ça demande peut être un savoir faire


Un savoir faire moui... c'est ce qu'on veut faire croire en vendant un milliard de bouquins sur "comment écrire un scénario". Moi, ce que je salue surtout chez un type comme Bezançon (qui réalise là son premier film quand même, un peu d'indulgence, à la rigueur que tu puisses en avoir bcp moins pour Klapisch qui en est à son 6 ou 7ème ça se comprend), bref ce que je salue surtout, c'est son intuition, et son humble ambition. La même que chez un Kassovitz lorsqu'il écrit son Métisse, il fait passer un plaisir communicatif de faire du cinéma. Il apprend son métier avec un sujet didactique, bourré d'identification, sur un ton léger. En tous cas c'est de cette façon que j'aborde le cinéma en tant que potentiel scénariste pour un premier projet.

Citation:
Mais j'entends ton amour pour ce film (6/6 ça me choque mais bon...) et d'une certaine manière je comprends, y pas de mépris ou quoi...


Je mets 5/6. Mais quand je regarde les autres films du même genre, et quand je vois ce qu'il me reste du film (des dizaines de petites choses), je n'hésite pas à grimper jusqu'à 6/6.

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