Et voilà c'est fini.
Le premier bon point après la combinaison de naufrages des épisodes 4, 5 et 6 est de changer un peu la donne en évitant la resucée, comme chacun des suites du premier du nom. Avec une structure un peu différente (pas juste un enchaînement de scènes onirico-horrifiques à délires divers et variés et clap de fin) et un argument de mise en abyme de la mise en abyme (le rêve et ses effets sur le réel mêlé aux liens brouillés entre la fiction et la réalité, le personnage et l'acteur) assez stimulant même si ça aurait pu être bien mieux fouillé (comme dans Scream 3 en fait).
Formellement, même si ça se permet quelques jolis plans et le travelling compensé contractuel chez l'ami Wes, ça reste très sage, soignant plutôt l'efficacité du récit qui se déroule de façon plutôt divertissante. Après tu as des séquences de con comme tout l'hôpital ou quelques détails manquant de rigueur mais la touche finale est plutôt sympatoche et permet de remonter la pente.
4/6
)