Après sa tentative d'assassinat sur un député, retour à la case prison pour la revêche Nami, cette fois-ci une ancienne infirmière "qui en savait trop"... Parallèlement un duel d'autorité s'installe entre l'ancien et le nouveau gardien en chef.
On garde le réalisateur de l'épisode précédent, mais cet ultime "Cachot X" ne fait pourtant pas dans la continuité directe du précédent épisode, et propose pour la troisième fois un nouveau background, peut-être à cause de sa nouvelle actrice (bien plus convaincante que la précédente). Celà en devient un peu gênant, et en même temps on est tellement plongé dans un univers vraiment l'aise dans ses codes, que ça en vire presque à la 007...
Reste encore une fois que la charge féministe a largement perdu de sa portée pour un univers d'exploitation voir de "roman de gare / BD" tout à fait basique, où iconisation s'épanouit dans un écrin plus conventionnelle. Le gouffre dans la mise en scène avec Shunya ito se ressent ici de façon spectaculaire dans la première partie, avec des flash-backs oniriques qui se voudraient très proches du premier film... pourquoi se faire du mal? Le décalé de ces scènes en hôpital de cauchemar apparait en permanence torché et toc.
L'intérêt principal de cet épisode est son segment "en cavale",
Enfin ce n'est jamais désagréable, et en fin de compte je crois que j'aurai pu regarder sans ennui dix épisodes de plus finalement
