Le récit d’un destin. Celui de Suzanne et des siens. Les liens qui les unissent, les retiennent et l'amour qu’elle poursuit jusqu'à tout abandonner derrière elle...
Je l'ai pas trop senti passer la révloution Quillévéré, tant je pourrai reprendre ma critique d'un poison volent et y pointer les mêmes tares de naturalisme convenu qualité française. C'est trop facile de se labelliser histoire d'amour fou, et de jouer avec ses ellipses pendant 90 minutes (ce qui avec une combinaison de personnages aussi restreinte, ne créée pas grande surprise) avec comme seul marqueur les perruques de François Damiens. Mais je n'aime pas ce genre de films où on zappe les dialogues au profit de scènes de personnages qui se mettent à courir à perdre haleine ou à taper du poing comme des épileptiques, mais vous, chers adorateurs d'Un amour de jeunesse de Mia Hansen-Love, peut-être que oui. Heureusement qu'Adèle Haenel est là pour voler en quelques scènes la vedette à Sara Forestier. Pour le reste, du cinéma-gruyère mille fois vu, qui aura certainement ses admirateurs.
2/6