Ca sous-entendait : quand t'as aimé le film. La remarque de Prout ne vaut que si t'as aimé le film, sinon t'en a rien à fiche d'un bonus. Je pense pas qu'être cinéphile tienne essentiellement de la torture maso... Par contre, ne jamais rester pendant les génériques, ça me parait évidemment loin d'être un acte de cinéphile.

Par contre, ne jamais rester pendant les génériques, ça me parait évidemment loin d'être un acte de cinéphile.

Il est évident que partir pendant le générique ne te disqualifie pas en tant que cinéphile.

Après si on veut prétendre "s'imbiber" de tout ce qui fait le film, le générique en fait clairement partie. Son rythme, comment il est présenté, la musique, les éventuelles dédicaces, citations ou blagues à la fin... Ca fait aussi partie du film.

Pour ma part même sur mes courts j'ai toujours considéré le générique de fin comme une partie intégrante, quelque chose qui disait quelque chose sur ce que je voulais raconter, prolongeait l'ambiance, etc.

Ouais enfin la plupart du temps les génériques de films sont juste fonctionnels. Et quand tu as un générique avec une vraie identité, c'est souvent juste pour les principaux acteurs et autres. Les génériques qui ont une identité particulière d'un bout à l'autre sont rarissimes. Là je pense à celui de Wall E par exemple et là, évidemment je reste jusqu'au bout.

Au-delà de la flemme pour le défilant comme dit Deud, c'est aussi surtout que j'ai pas envie de me retrouver dans la lumière allumée, de croiser les gens qui sortent de la salle, d'attendre avec eux devant la porte de sortie - pire façon de sortir d'un film justement. Si le film est vraiment bon j'ai envie de sortir direct dehors et de la garder dans la tête.

*bonjour, c'est moi l'autiste*