Soucieux de faire bonne impression, Juan débute un jour plus tôt son nouveau travail dans une prison de haute sécurité. Mauvais timing ! À peine arrivé, il se retrouve au cœur d'une émeute. Personne ne le connaît et le hasard va lui permettre de se faire passer pour un prisonnier. Il peut ainsi approcher le leader de l'insurrection. Quand des membres de l'ETA sont retenus en otage, l'affaire prend un tour politique et le gouvernement s'en mêle.
Voici le film de zonzon ibérique qui avait le plus buzzé en sections parallèles à Venise et qui a tout moissonné niveau Goya... Re-prophète? A la petite semaine alors tant on retombe dans les pantoufles Prison Break d'une série B gagne-petit, formellement pas ébouriffante, avec ses flashbacks comme tout était bien quand on se roulait des pelles avec ma copine les jours de grasse mat... Ca m'a fait penser à L'expérience d'Oliver Hiorschbiegel niveau cas de conscience hyper finaud *toi aussi tu peux basculer!*, et pour bien te mettre en condition ça débute par un prisonnier qui se tranche les veines. Yummie yum yum.
2/6