Mais mais mais
En arrivant à Chicago, Lauryn espère enfin devenir danseuse et rejoindre la prestigieuse Chicago School of Music and Dance. Mais entre un casting qui se passe mal et le sort qui s'acharne, elle se retrouve rapidement obligée de danser dans un bar de seconde zone. Pourtant, c'est dans ce lieu de perdition qu'elle va apprendre à accepter son destin pour mieux le forcer, et découvrir qu'il ne faut jamais renoncer à ses rêves...
A l'origine était une séance de Jusqu'en enfer, et puis je ne sais pas ce qu'on a foutu mais on s'est retrouvé dans une salle pleine de meufs. Twilight me le fait remarquer, on se demande si c'est bien le bon film, on retrouve pas les tickets, je vais jeter un oeil à l'entrée mais ces cons de Gaumont n'ont pas de panneau avec le titre du film devant la salle. Je rentre, j'hésite à demander à une meuf qui est là si c'est bien la bonne salle puis on voit deux mecs, plus beuah que tapettes, arrivés entre temps, et on se dit que ça peut pas être la salle de The Women (une fois ça ira, danke). Le générique débute. Pas de logo vintage de Universal. Une voix qui parle d'un patelin d'Indiana, qui énumère le nombre de fermes et de menuiserie avant de finir sur: "école de danse = zéro".
Lumière dans ma tête, main sur la bouche : c'est Dancing Girls.
*oui l'histoire ô combien palpitante est déjà racontée ailleurs mais sinon on comprend pas en arrivant ici*
Bon ben c'est pas pire pantoute. En fait c'est un peu le Never Back Down de la danse, avec Mary Elizabeth Winstead à la place de Sean Faris, l'histoire que tu as vu 600.000 fois (même sans avoir vu Flashdance) mais avec un programme technique nickellement exécuté. Joli photo colorée, choré mises en valeur par la mise en scène, bah ça va. Rien de foufouillou mais rien à basher.
J'ai chopé le dvd de Flashdance tiens pour le coup.
4/6
*ma vie totalement surprenante*