Tetsuo a écrit:
Non, ils sont vendus quand ils trouvent en plus que Hi mom ! est un film génial et que Redacted révolutionne le cinéma.
Je l'ai toujours dit, le vrai fan c'est moi
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| Les Nerfs à vif [original et remake] (Thompson, Scorsese - 1962, 1991) https://forum.plan-sequence.com/les-nerfs-vif-thompson-scorsese-1962-1991-t11242-30.html |
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| Auteur: | Film Freak [ 10 Fév 2010, 16:02 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Marlo a écrit: Je les nommerais plutôt les Justes. Les Juteurs oui. |
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| Auteur: | Tetsuo [ 10 Fév 2010, 16:09 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
looool |
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| Auteur: | Cosmo [ 10 Fév 2010, 16:10 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Tetsuo a écrit: Non, ils sont vendus quand ils trouvent en plus que Hi mom ! est un film génial et que Redacted révolutionne le cinéma. Je l'ai toujours dit, le vrai fan c'est moi
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| Auteur: | the black addiction [ 10 Fév 2010, 16:13 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Tetsuo a écrit: Non, ils sont vendus quand ils trouvent en plus que Hi mom ! est un film génial et que Redacted révolutionne le cinéma. Ceux qui ne le pensent pas sont des cons, faute de mieux je préfère être un vendu qu'un con. |
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| Auteur: | Tetsuo [ 10 Fév 2010, 16:17 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
the black addiction a écrit: Tetsuo a écrit: Non, ils sont vendus quand ils trouvent en plus que Hi mom ! est un film génial et que Redacted révolutionne le cinéma. Ceux qui ne le pensent pas sont des cons, faute de mieux je préfère être un vendu qu'un con. Là, t'es les deux quand même... |
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| Auteur: | the black addiction [ 10 Fév 2010, 16:18 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Sois vendu, comme ça on sera ensemble dans un groupe ! Sinon je ne suis pas caricatural que toi. |
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| Auteur: | Tetsuo [ 10 Fév 2010, 17:54 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Tu sais moi j'aime Le Bucher des vanités, donc bon... |
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| Auteur: | the black addiction [ 10 Fév 2010, 18:05 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Ouais t'es pas mieux.
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| Auteur: | Karloff [ 10 Fév 2010, 18:26 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Tant que vous n'aimez pas l'Esprit de Caïn tout va bien 
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| Auteur: | the black addiction [ 10 Fév 2010, 18:36 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
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| Auteur: | Tetsuo [ 10 Fév 2010, 19:30 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Pareil... |
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| Auteur: | Film Freak [ 10 Fév 2010, 23:49 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Tetsuo a écrit: Tu sais moi j'aime Le Bucher des vanités, donc bon... Un de mes préférés. |
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| Auteur: | Puck [ 02 Sep 2014, 14:02 ] |
| Sujet du message: | Re: Les nerfs a vifs, original et remake (1962, 1991) |
Baptiste a écrit: Notamment la scene avec le pouce, une des scenes les plus sensuelles que j'ai jamais vu, est tres revelatrice de la volonte du film d'apporter de la complexite dans les deux "camps". Alors j'aime bien la scène pour justement le malaise qu'elle crée chez le spectateur, elle n'est absolument pas sensuelle, elle est là tout simplement pour faire vivre le conflit à l'audience sans qu'aucun des deux n'en vive à ce moment là. Elle est malsaine, sale, violente, mais tout sauf sensuelle. J'ai vu le film il y a deux jours, et j'ai encore moins aimé que ce que j'en attendais vu sa réputation. Des dialogues qui ne servent à rien, qui ne font rien avancer, une caractérisation au pire caricaturale et ratée, au mieux incomplète. FF parlait plus haut d'un film qui passe totalement à côté de son sujet, et je suis on ne peut plus d'accord. Le point de vue adopté ici n'est pas le bon à mon sens, parce que je pense que les motivations de l'antagoniste sont totalement justifiées et intéressantes. De plus, le perso de Nolte MERITE ce qu'il lui arrive. Truc kitschouilles de partout, pas de réel choix de ton. En fait, je me demande pourquoi Scorsese a voulu faire ce film là, vraiment. N'importe qui d'autre l'aurait fait, il aurait été meilleur, parce que là son style est trop présent et le fait qu'il fasse son De Palma alourdit le truc car il ne le fait pas bien et on voit super vite les limites du truc. Bref, de belles scènes, bon jeu d'acteur de la part de Nolte et De Niro, mais pour moi, c'est un gros ratage. 2/6 |
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| Auteur: | Qui-Gon Jinn [ 02 Oct 2022, 21:49 ] |
| Sujet du message: | Re: Les Nerfs à vif [original et remake] (Thompson, Scorsese - 1962, 1991) |
Je savais que le film avait une réputation moyenne, et c'est sans doute pour ça que j'ai été plus qu'agréablement surpris. Déjà, j'ai trouvé ça diablement efficace. Rarement vu un scénar qui, pendant 1h30 au moins, avant de façon aussi rapide. Y a pas de gras, tout s'enchaîne. Impossible de décrocher, j'ai pas vu le temps passer. En plus je suis friand du sous-genre "Mec normal dont la vie dégénère" donc parfait pour moi. Après c'est la mise en scène qui m'a fait tourner la tête. Du Scorsese déchaîné et passionnant avec ses travellings ultra rapides, ses décadrages, ses zooms, ses caméras qui se retournent... Le dynamisme de la scène de squash ! Et les effets de montage (les cuts méga-rapides lorsque le coup de téléphone les fait sursauter). Mais en plus de ça il y a un côté excessif, quand ça part dans le hitchcockien, dans le depalmesque, ces moments grandiloquents assumés, à la fois gênants et stimulants, qui transcendent le pitch Hollywood Night. D'ailleurs, j'ai trouvé que c'était très loin de manquer de fond, même si tout est très lisible, aussi bien dans le délire American Way of Life pervertie que dans le trip religieux/freudien. Et y a de l'incarnation. J'ai trouvé Ileana Douglas super, mais c'est surtout Juliette Lewis qui est tout bonnement épatante. Je l'ai jamais vue aussi bien ! Et surtout, Scorsese sait à quels moments stopper les effets de style, s'appuyer longuement et avec confiance sur le simple champ/contrechamp (la scène au théâtre). Par contre le dernier quart chie dans la colle, le climax est trop long. Mais bon, ce qui vient avant est hautement récréatif. |
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