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La Possibilité d'une île (Michel Houellebecq, 2008)
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Auteur:  Karloff [ 22 Sep 2008, 17:13 ]
Sujet du message: 

Magie de la littérature, on annonce un livre à quatre mains avec BHL et Houellebecq

Auteur:  DPSR [ 22 Sep 2008, 17:14 ]
Sujet du message: 

Karloff a écrit:
Magie de la littérature, on annonce un livre à quatre mains avec BHL et Houellebecq


Ah c'était donc ça le fameux livre secret tiré à 100.000 exemplaires?

Auteur:  Karloff [ 22 Sep 2008, 17:41 ]
Sujet du message: 

Yep, chez Flammarion

Auteur:  Karlito [ 23 Sep 2008, 08:06 ]
Sujet du message:  Re: La Possibilité d'une île (Michel Houellebecq, 2008)

Film Freak a écrit:
puis HPG (présent dans la salle) dormir.


Attends , il a surement tourner 3 dvd dans les toilettes et un dans la salle le temps du film non ?

Auteur:  Karloff [ 19 Avr 2009, 16:12 ]
Sujet du message:  Re: La Possibilité d'une île (Michel Houellebecq, 2008)

Je ne serai pas aussi sévère. Je trouve la première partie affreuse, dans la secte, et pas mal de trucs totalement bidon, mais j'aime assez le dernier tiers du film, le côté apocalyptique mystérieux-antonionesque.

2/6

Auteur:  Baptiste [ 15 Mar 2010, 22:20 ]
Sujet du message:  Re: La Possibilité d'une île (Michel Houellebecq, 2008)

Pwah le film déprimant... Houellebecq a le mérite d'avoir voulu faire quelque chose de complètement différent de son roman, en donnant dans l'épure, mais... mais... il ne reste plus rien! Du coup, le scénario abracadabrantesque et naïf du roman est saillant et se voit d'autant plus comme de la merde. Et puis je dis "épure" mais à côté d'une suppression de tout un pan de l'intrigue il y a des plans, des moments, des scènes entières où il ne se passe RIEN. J'avoue juste avant l'heure de film j'ai fait avance rapide.
Pour nuancer un peu, je dirais qu'il y a quelques trucs intéressants au niveau formel... je ne saurais dire quoi précisément là juste après le film, mais il y a parfois une ambiance atypique qui se dégage; à l'hôtel par exemple on a l'impression d'un monde vide de joie, profondément dépressif, illustrant la sensibilité schopenhauerienne de Houellebecq. Mais globalement c'est davantage pour le pire que pour le meilleur. Et puis Arielle Dombasle :shock:

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