*ouh que c'est pitiiiit*
Sur une ile, un couple de musiciens se retrouve plonge dans une guerre civile.
Un peu comme L'Heure du loup, où je trouve que des séquences terrassantes fréquentent des tunnels qui me laissent un peu de côté, cette Honte marche énormément sur ce que j'aime chez Bergman, lorsqu'on se concentre sur le couple, sur sa mise à l'épreuve, et sur une mise en scène magnétique, avec un souffle énorme lors de la scène de fuite ou d'assaut aérien. La fin sur l'eau et le rêve d'Ullman sont superbes, même si comme souvent je lâche dès que les personnages se multiplient.
4/6
Bon en tout cas ça se confirme à chaque fois, Bergman ça me donne envie d'avoir de super beaux dessus de lit et de passer un mois en Suède. C'est le moment d'ouvrir la page d'Opodo.
