Dernière excursion de Rohmer dans un genre qui a caractérisé sa filmo et dernier film qui me restait à voir de lui. Les quarantenaires occupent le centre d'intérêt et sortent gagnant de ce jeu de manipulation. Jeunes un peu mis à l'écart et montrés comme froid, presque antipathiques.
On arrive petit à petit à trouver une certaine émotion dans ces états d'indécision et de regrets mais que ce soit chez les acteurs ou dans la mise en scène, une spontanéité et une fraîcheur a l'air d'avoir disparu. Au fond, il y a peut être aussi quelque chose qui me gène chez Béatrice romand que le film finit aussi par laisser à l'écart, pour s'attacher in extremis, dans un chouette générique de fin, à la mélancolie de Marie Rivière.
