Paris, 1913. Coco Chanel est éprise du jeune et fortuné Boy Chapel, mais elle est surtout dédiée à son travail. Igor Stravinsky répète Le Sacre du Printemps. Les dissonances révolutionnaires de la partition du compositeur rappellent à bien des égards le travail radical de la créatrice.
Coco se rend à la Première du Sacre du Printemps habillée d'une éclatante robe blanche en opposition aux tenues de soirée de la morne bourgeoisie parisienne. Trop modernes et anticonformistes, la musique et le ballet sont conspués par une salle au bord de l'émeute. Igor est inconsolable.
Sept ans plus tard, Coco, en dépit de son succès, est dévastée par la disparition de Boy, mort dans un accident de voiture.
Igor, à la suite de la révolution russe est maintenant réfugié à Paris, ruiné.
Diaghilev, l'imprésario des ballets russes organise leur rencontre. Ils sont fascinés l'un par l'autre. Coco propose à Igor de l'héberger dans sa nouvelle villa à Garches. Le compositeur s'y installe au début de l'été, accompagné par sa femme Catherine (atteinte de la tuberculose), leurs quatre enfants et une ménagerie d'oiseaux

ouai donc rien a voir avec Stavisky c'est bien du compositeur dont il est question. C 'est con parce que du coup l'interet retombe à zéro, je me disais "ouai Chanel + un escroc ça peut etre pas mal". là bof, a part un téléfilm de France3 un samedi soir :/

C'est le film de la non-excitation, non?

Bah Mads et Eva, ya pire comme cinégénie... Mais j'ai peur, oui.

99F avait le mérite d'être un projet intéressant, comme Blueberry.
Là...le 2e film sur Chanel (déjà que le premier on s'en bat les yeuks), bof.

Nan mais voilà disons que c'est une grosse commande sur laquelle il peut faire joujou avec du gros matos et peut-être s'essayer à un genre nouveau, patati patata...

Pour moi le mec est loin d'être génie donc je préfere voir sa maîtrise technique utilisée fréquemment sur des gros projets comme ceux-là, même s'ils sont pas TOUS super excitants, plutôt qu'un Salomé, etc.

Oui enfin tu es sur un autre débat là...j'ai plutôt l'impression que c'est le sujet, le projet, dont se branlent ceux qui ont posté plus haut...c'est pas la présence de Kounen qui gêne vraiment j'ai l'impression c'est plutôt la présence de Coco et de Stavinsky.

Au demeurant, c'est une période artistiquement exceptionnelle, où tout un tas d'immenses créateurs se croisent, travaillent ensemble, se détestent, sur fond de vastes troubles politiques... Probablement l'une des (la?) plus grandes périodes artistiques de tous les temps. Il y a matière à un grand film. Mais c'est pas Kounen qui va le donner.

Oui enfin tu es sur un autre débat là...j'ai plutôt l'impression que c'est le sujet, le projet, dont se branlent ceux qui ont posté plus haut...c'est pas la présence de Kounen qui gêne vraiment j'ai l'impression c'est plutôt la présence de Coco et de Stavinsky.