Les moments romantiques sont ponctués par le tube « Say You, Say Me » de Lionel Richie, joué à deux reprises et par une parodie du célèbre numéro de danse de « Dirty Dancing ». Des références de… 1985 et 1987. Avec Cléopâtre/Marion Cotillard, le film adresse par ailleurs un clin d’œil à la publicité pour le parfum « Dior, j’adore » (détourné en « Amphore, j’adore »), qui a près de vingt ans. Quant à César/Vincent Cassel, il se révèle fan de Johnny Hallyday en justifiant la présence d’un orchestre à ses côtés d’un « Ça me permet d’emmener toute la musique que j’aime ». Avant d’affirmer peu après : « Ça redonne l’envie d’avoir envie »… Au cas où le spectateur n’aurait pas saisi l’allusion.

Les moments romantiques sont ponctués par le tube « Say You, Say Me » de Lionel Richie, joué à deux reprises et par une parodie du célèbre numéro de danse de « Dirty Dancing ». Des références de… 1985 et 1987. Avec Cléopâtre/Marion Cotillard, le film adresse par ailleurs un clin d’œil à la publicité pour le parfum « Dior, j’adore » (détourné en « Amphore, j’adore »), qui a près de vingt ans. Quant à César/Vincent Cassel, il se révèle fan de Johnny Hallyday en justifiant la présence d’un orchestre à ses côtés d’un « Ça me permet d’emmener toute la musique que j’aime ». Avant d’affirmer peu après : « Ça redonne l’envie d’avoir envie »… Au cas où le spectateur n’aurait pas saisi l’allusion.

Du vieux cinéma de patrimoine poussiéreux par des reals de comédie. Ça sent le Pathé

https://twitter.com/PatheFilms/status/1623932274843475969?t=WtJ_gDGzZ00GDOfcOt_WwQ&s=19

Peur de me faire chourrer Judex.

Ah moi je suis choqué qu’ils fassent un Monte-Cristo tout court.