Forum de FilmDeCulte

Oncle Bob

Pas fan du tout de cet acteur, je le trouvais même souvent catastrophique. Dans Nikita il était bien, mais dans un Bleu comme l’enfer, par exemple, c’est lui l’enfer.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

72 ans. Cancer.

Acteurs des années 90 donc de mon enfance et adolescence.

Nikita, La Cité de la peur, Bad Boys, Goldeneye, Dobermann...

Cette voix incroyable qui rend les répliques encore plus cultes.

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Je sais même pas par où commencer. Déjà son nom m'a toujours fasciné: Tchéky Karyo. Je le voyais au sein d'un triumvirat des noms secs et inclassables du début des 90s avec les improbables TICKY HOLGADO et CHICK ORTEGA.

Ensuite c'est NIKITA. Où je le trouve sensationnel. Et où il délivre un nombre incalculables de répliques cultes. "Allée 8, numéro 30", "Tu sors demain", "Tu te calmes merde !", "Bien sûr qu'elle était murée", "blabla balles en titanes et un deuxième chargeur en cas de nécessité"...

Sa voix donc dont parle FF. Lorsque j'avais rencontré Tchéky à Emergence en... 2007 ? 2008 ? Bref, je lui avais fait enregistré "Tu te calmes merde !" sur le répondeur d'un pote et il s'était bien évidemment exécuté de bonne grâce.

Et enfin c'est sa filmo, à cheval sur les générations, les genres et les pays: Besson, Gans, Rohmer, Ridley Scott, James Bond... Avec petite mention pour une autre réplique culte pour moi: "On va les cueillir... comme des vilains p'tits fruits mûrs" dans DOBERMANN.

Il va nous manquer, hein ?

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Mec cultissime, pas un grand acteur mais il faisait parti du décor de L'ours à Dobermann en passant par Nikita. Plus récemment excellent dans un polar français inconnu De guerre lasse. Ça me rend sincèrement triste, RIP

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CroqAnimement votre

J'allais ajouter L'Ours. Où il est très bon, parce que sur le mode animal. Bonne gueule virile, athlétique et une voix remarquable.
Comme Cosmo, je pouvais le trouver catastrophique mais je pense qu'il souffrait parfois d'être le troisième rôle de productions internationales, dans lesquelles les non-anglophones sont rarement bien servis.
Parce que je pense aussi à Crying Freeman, où il n'est pas terrible, comme le film, mais où il m'est culte, comme le film.

Souvent trouvé très mauvais mais il avait une gueule et une voix immédiatement identifiable.

Une gueule so nineties.. Me souviens de lui surtout dans Nikita et dans L’Ours.

RIP

Fuckn cancer once again

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Il est très bon et assez inattendu dans les Nuits de Pleine Lune de Rohmer.
Il confère un sérieux et une gravité mélodramatique, dans le bon sens du terme, à une situation qui sans lui tomberait dans la comédie légère ou le schématisme moral.
J'ai revu le début hier après avoir lâché Pas son Genre de Lucas Belvaux et c'est frappant de vour la différence de niveau entre lui et Loïc Corbery dans des situations potentiellement proches (mais Rohmer devait être un meilleur directeur d'acteur et certainement un meilleur dialoguiste que Belvaux).

Assez triste son couple avec Pascale Ogier (malgré sa vivacité dans le film on sent qu'elle n'allait pas bien) car dans le Rohmer il ne reste plus plus que Luchini et Virginie Thevenet de vivants (qui jouent les personnages les plus fourbes du film), alors que l'univers est à la fois familier et éloigné dans le passé.

Inoubliable dans Animagique avec Martin Short

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Netflix les gars, Netflix.

Oui étonnant de le retrouver chez Rohmer où il se fait bouffer par Luchini mais sans doute son meilleur rôle.

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CroqAnimement votre

En même temps il finit avec Virginie Thevenet (après avoir bien scié Pascale Ogier en renchérissant sur sa position d' homme-enfant abandonné), on va pas le plaindre..

Film assez dur, même si Pascale Ogier joue bien et avec vivacité, on sent qu'elle va mal (bizarre alliance entre les problèmes d'addiction et le fait qu'elle reprend le phrasé de sa mère avec une allure complètement différente, plus chétive et fragile).
Finalement cela raconte comment le Paris mondain et artiste ou demi-artiste de l'époque se fait éjecter de la classe moyenne et de la sécurité économique sans s'en apercevoir, aveuglé par son propre mythe. Un truc à la Balzac.

Vous avez tout dit, mec totalement culte, son nom, sa gueule, sa voix, son charisme, qu'on adorait savoir être présent dans les films lors de notre adolescence.