Forum de FilmDeCulte

Bonjour je cherche le titre dun film vu il y a longtemps.

Cest un film assez vieux en noir et blanc. Ca se passe dans le sud de la France je crois, lhistoire dun homme un peu ridicule dans un village. Les gens se moquent de lui et il signe pour jouer dans un film mais lequipe du tournage se moque de lui et laffuble dun surnom sobriquet.

cest un film des années 30 il me semble.

Si vous pouviez maider a retrouver le titre ce serait super. Merci !

Simple Jack, avec Tugg Speedman.

Aucune idée.

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Méta

Description trop précise, ça ne prend pas...

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N'écoutez pas Film Freak

On dirait un film que tournerait Liam, avec Ramoin en comédien.

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Netflix les gars, Netflix.

"Le schpountz" (1938)avec Fernandel. Tiré d'une anecdote de tournage de Pagnol sur Angele.
Ya eu un remake avec Smain.
Voilà.

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

Damn je me suis fait avoir.

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

Magique !

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N'écoutez pas Film Freak

Hahahahaha

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Netflix les gars, Netflix.

Un truc americain que j'ai vu il y a deux trois ans.
Un gosse de 14 15 ans vit chez son père ou des parents d'adoption. Sa mère est une ex junkie. Elle essaye d'appeler le fils au téléphone depuis des années, mais lui se dérobe. Un jour son père lui dit d'y aller quand-même pour Thanksgiving.
C'est dans un autre Etat et le gamin voyage seul. La mère s'est rangée et a épousé un homme style adventiste, qui fait le benédicité, sur un mode à la fois autoritaire et new age, bedonnant et en cravate. La mère est falote et effacée, une robe des années 60, une perruque blonde, ce n'est pas raccord avec l'image d'une ex-junkie. Ils vivent dans un bungalow aux murs blancs immaculés.
Le fils joue le jeu mais craque au moment où on lui propose de reprendre du poulet et il s'isole dans une chambre. Le beau-père vient vers lui, et lui dit qu'il comprend qu'il n'a plus besoin de sa mère, mais qu'elle besoin de lui le fils, que lui comme mari a besoin d'elle. A sa soudaine empathie, on comprend qu'il ne croit sans doute pas en Dieu et joue un rôle, que la mère n'est qu'un public captif.
Ce n'est pas Boyhood.

Oui voilà, on dirait la scène de Boyhood avec Broderick. Sinon je vois pas.

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CroqAnimement votre

On dirait aussi un peu la scène de MANCHESTER BY THE SEA avec Broderick aussi. Funny.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Maintenant que tu le dis, je me plante et je parle bien de Manchester by the sea.

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CroqAnimement votre

Merci les gars.
Je pensais aussi à "Boyhood" et à "Manchester by the Sea" mais cela ne cadre pas avec le fait que, dans ces deux films, ce sont les mères les personnages "dominants", les plus forts au sein de la crise et les mieux à même d'assumer le rôle de parent. C'est le genre de scène que l'on pourrait voir aussi bien dans les films de Todd Haynes, Araki que ceux de Kelly Reichardt ou Eastwood.
Ou alors je vois trop de films et les remixe. J'ai quand-même pas rêvé cette scène. Cela me fait flipper, mon inconscient familial serait-il devenu une chose tissée par le souvenir de rapports familiaux plausibles que l'on trouve dans des films inexistants, quelques part entre le Massachuset et la Caroline du nord ?