Forum de FilmDeCulte

Devant le succès du jeu, je peux me permettre d'enfin donner les réponses. Hum.

1. Dans les premières scènes, on doit attraper les spectateurs par les couilles et les secouer. (réalisateur américain, vivant) Michael Bay

2. Je me suis battu comme un diable pour chaque scène, chaque plan, chaque prise afin de conserver la qualité. Je sais maintenant pourquoi tous les réalisateurs hollywoodiens ont la réputation d'être des tyrans. (réalisateur français, vivant) Jean-Pierre Jeunet

3. Je ne crois pas que le talent existe. Il vaut mieux être sincère plutôt qu’intelligent, ou intéressant, ou génial. (réalisateur français, vivant) Cédric Klapisch

4. Pour être vraiment réaliste dans un film de guerre, il faut tirer de temps en temps de vraies balles sur le public. (réalisateur américain, décédé) Samuel Fuller

5. Si un acteur veut imposer ses choix, il n’a qu’à faire son film. Le job d’un acteur, c’est de se conformer à la vision du réalisateur. (acteur américain, vivant) Robert De Niro

6. Quand j’ai commencé à faire des cours de théâtre, on répétait une scène, on la montrait, et on nous disait : « Arrêtez les gars c’est naze ! », et c’est vrai que c’était naze ! Mais c’est parce que nos repères étaient faux, on croyait qu’être acteur ça s’apprenait, on croyait qu’on entrait dans un temple, qu’il fallait tout respecter ; on était craintif et déférent. Or, être acteur c’est utiliser tout ce qu’on est, tout ce qu’on n’est pas, tout ce qu’on aimerait être, et même tout ce qu’on a peur de devenir. (acteur français, vivant) Vincent Cassel

7. Un acteur, on peut lui faire faire n'importe quoi, alors, automatiquement, on a une idée de mépris. (réalisateur français, décédé) Maurice Pialat

8. À partir du moment où je considère que Wolfgang Amadeus Mozart, Richard Wagner... ont tous été des faussaires à un moment de leur vie, il est flatteur pour moi de figurer dans cette catégorie. Vous savez, à un instant de sa vie, on est littéralement obligé de s'inspirer des maîtres. Moi, ils ont pour nom Bernard Hermann et Nino Rota. Pour Wolfgang Amadeus Mozart, cela pouvait être Jean-Sébastien Bach ou qui sais-je. Peu importe. On est tous des faussaires à un moment donné. Je prends même ce terme comme un compliment, car avant de créer, il faut connaître. Pour connaître, il faut s'instruire et pour s'instruire, rien de mieux que les maîtres ! (compositeur américain, vivant) Danny Elfman

9. La plupart des gens échouent non pas par manque de talent, mais par ignorance de l’effet qu’on peut obtenir avec tel ou tel objectif. (réalisateur bosniaque, vivant) Emir Kusturica

10. Le cinéma est un art populaire, les gens ne se gênent pas pour dire d'un film : « Il est mauvais », alors qu'ils n'osent pas dire ça d'une peinture ou d'un poème. Dans ce cas, ils disent « Je n'aime pas » ou encore « Je ne comprends pas ». Face à un film, on se sent à égalité. Dans une peinture, on sent une technique derrière le beau drapé ou le coucher de soleil. Au cinéma, quand on voit un coucher de soleil, on dit simplement : « C'est magnifique ». On ne pense pas à la technique. Il y a quelque chose de direct et donc, de populaire. (réalisateur français, vivant) Jean-Luc Godard

Voilà, il y en avait des évidentes, d'autres plus difficiles...

1. Dans les premières scènes, on doit attraper les spectateurs par les couilles et les secouer. (réalisateur américain, vivant)

McTiernan?


2. Je me suis battu comme un diable pour chaque scène, chaque plan, chaque prise afin de conserver la qualité. Je sais maintenant pourquoi tous les réalisateurs hollywoodiens ont la réputation d'être des tyrans. (réalisateur français, vivant)

Jeunet? Kassovitz?


3. Je ne crois pas que le talent existe. Il vaut mieux être sincère plutôt qu’intelligent, ou intéressant, ou génial. (réalisateur français, vivant)

Euuuh Godard? (complètement au pif)


4. Pour être vraiment réaliste dans un film de guerre, il faut tirer de temps en temps de vraies balles sur le public. (réalisateur américain, décédé)

Fuller? Kubrick? (cliché land mes réponses)


8. À partir du moment où je considère que Wolfgang Amadeus Mozart, Richard Wagner... ont tous été des faussaires à un moment de leur vie, il est flatteur pour moi de figurer dans cette catégorie. Vous savez, à un instant de sa vie, on est littéralement obligé de s'inspirer des maîtres. Moi, ils ont pour nom Bernard Hermann et Nino Rota. Pour Wolfgang Amadeus Mozart, cela pouvait être Jean-Sébastien Bach ou qui sais-je. Peu importe. On est tous des faussaires à un moment donné. Je prends même ce terme comme un compliment, car avant de créer, il faut connaître. Pour connaître, il faut s'instruire et pour s'instruire, rien de mieux que les maîtres ! (compositeur américain, vivant)

Williams? Zimmer? Horner?


9. La plupart des gens échouent non pas par manque de talent, mais par ignorance de l’effet qu’on peut obtenir avec tel ou tel objectif. (réalisateur bosniaque, vivant)

Kusturica? Tanovic?


10. Le cinéma est un art populaire, les gens ne se gênent pas pour dire d'un film : « Il est mauvais », alors qu'ils n'osent pas dire ça d'une peinture ou d'un poème. Dans ce cas, ils disent « Je n'aime pas » ou encore « Je ne comprends pas ». Face à un film, on se sent à égalité. Dans une peinture, on sent une technique derrière le beau drapé ou le coucher de soleil. Au cinéma, quand on voit un coucher de soleil, on dit simplement : « C'est magnifique ». On ne pense pas à la technique. Il y a quelque chose de direct et donc, de populaire. (réalisateur français, vivant)

Leconte?

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Ça c'est Bay... pas le cœur de lire le reste.

Jeunet oui, après le tournage d'Alien IV.




Fuller oui. Si je n'avais pas précisé décédé, certains auraient peut-être cité Spielberg...




Kusturica oui. Facile.

3/10

lol... oui.

1/10

lol

Le jeu a l'air de bien prendre.

1. Dans les premières scènes, on doit attraper les spectateurs par les couilles et les secouer. (réalisateur américain, vivant)

Bay?

2. Je me suis battu comme un diable pour chaque scène, chaque plan, chaque prise afin de conserver la qualité. Je sais maintenant pourquoi tous les réalisateurs hollywoodiens ont la réputation d'être des tyrans. (réalisateur français, vivant)

Kassovitz au sujet de GOTHIKA ?

3. Je ne crois pas que le talent existe. Il vaut mieux être sincère plutôt qu’intelligent, ou intéressant, ou génial. (réalisateur français, vivant)

Klapisch ?

4. Pour être vraiment réaliste dans un film de guerre, il faut tirer de temps en temps de vraies balles sur le public. (réalisateur américain, décédé)

Samuel Fuller ?

5. Si un acteur veut imposer ses choix, il n’a qu’à faire son film. Le job d’un acteur, c’est de se conformer à la vision du réalisateur. (acteur américain, vivant)

Tom Hanks ?

9. La plupart des gens échouent non pas par manque de talent, mais par ignorance de l’effet qu’on peut obtenir avec tel ou tel objectif. (réalisateur bosniaque, vivant)

Kusturica ?

10. Le cinéma est un art populaire, les gens ne se gênent pas pour dire d'un film : « Il est mauvais », alors qu'ils n'osent pas dire ça d'une peinture ou d'un poème. Dans ce cas, ils disent « Je n'aime pas » ou encore « Je ne comprends pas ». Face à un film, on se sent à égalité. Dans une peinture, on sent une technique derrière le beau drapé ou le coucher de soleil. Au cinéma, quand on voit un coucher de soleil, on dit simplement : « C'est magnifique ». On ne pense pas à la technique. Il y a quelque chose de direct et donc, de populaire. (réalisateur français, vivant)

Euh Besson ?

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Yep donc.



Bien joué !



Yep.



Yep...

4/10

Premier message edité avec les réponses.

Le jeu qui avait bien bidé il y a trois ans est de retour pour égayer cet été chelou.

5 citations dont il faut découvrir l'auteur. Les citations sont proches de l'univers du réalisateur, afin d'aider...



1. Au cinéma, le public explose littéralement quand un film se casse, il est très malheureux, mais quand il réalise qu’on lui a fait une blague, ça remet les gens dans la continuité et ça accentue l’aspect communautaire d’une séance de cinéma. C’est un gag assez courant dans les dessins animés de la MGM, mais il manquait l’interactivité de toute une salle. (américain, vivant) Joe Dante

2. Dans trois de mes films, j’utilise un procédé avec le langage pour éviter de faire parler les personnages étrangers avec des accents idiots. C’est ça ou les sous-titres. Je ne veux pas que le public fasse trop attention à ce qui se dit. Si vous vous concentrez sur les sous-titres, cet aspect va vous échapper alors qu’il est essentiel. Alors chaque fois que je le peux, j’essaie de me débarrasser des mots. Ce n’est que du bruit, comme la musique sur la bande-son. La parole exprime une émotion mais sa signification littérale n’a pas d’importance. Quand j’étais étudiant, je passais mon temps à étudier les films européens. Et je n’ai jamais lu les sous-titres. Ils n’étaient pas nécessaires. En permanence, les images prenaient l’ascendant sur le texte. J’ai aussi grandi en écoutant de l’opéra où l’important n’est pas ce qui se dit mais la manière de chanter les paroles. C’est le contenu émotionnel du langage qui importe. (américain, vivant) John McTiernan

3. Je pense que les films en vision subjective sont l’avenir du cinéma. Pour en avoir fait un, je sais maintenant les choses à améliorer, et d’autres pourront le faire par rapport à ce que j’ai fait. Moi je pense que dans mon film, les plans sont parfois presque trop stables. (argentin, vivant) Gaspar Noé

4. Si c’est vrai, je le filme et je le filme comme ça se fait. Je ne ferai pas d’ellipse et je ne filmerai pas de manière à ce qu’on ne voie rien, dans le noir ou dans la pénombre, je filmerai tel quel. Voilà comment on fait une pipe, voilà comment on viole, voilà comment on se masturbe, voilà comment on branle quelqu’un et on voit tout. (hollandais, vivant) Paul Verhoeven

5. Nous sommes en train de réinventer la sexualité. Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, nous sommes arrivés à un point où le sexe n'est plus une nécessité. Scientifiquement, nous pouvons nous en passer. Nous pouvons en effet nous reproduire et faire des bébés en dehors du corps. Par voie de conséquence, le sexe devient tout à la fois le terrain d'expériences nouvelles, un terrain de jeu et une gamme de services et de produits... Regardez les formes que prend la sexualité dans la publicité. C'est extrêmement cru, féroce, totalement fou. Toutes les barrières ont éclaté. (américain, vivant) David Cronenberg

Edit : la blague de collégien diégétique de Dante, le langage et l'apprentissage sans sous-titre selon McT, la vision subjective de Noé, la violence selon Verhoeven et le corps vu par Cronenberg... c'était assez facile. Verhoeven c'était cadeau avec la nationalité.

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I think we're gonna need a helmet.

Je suis certain d'avoir déjà lu la 2 et la 5, mais je suis incapable de répondre..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

2.
4 .

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1. Dante?
2. McTiernan
3. Noé
4. Verhoeven
5. Raaaaah

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1. Au cinéma, le public explose littéralement quand un film se casse, il est très malheureux, mais quand il réalise qu’on lui a fait une blague, ça remet les gens dans la continuité et ça accentue l’aspect communautaire d’une séance de cinéma. C’est un gag assez courant dans les dessins animés de la MGM, mais il manquait l’interactivité de toute une salle. (américain, vivant)



2. Dans trois de mes films, j’utilise un procédé avec le langage pour éviter de faire parler les personnages étrangers avec des accents idiots. C’est ça ou les sous-titres. Je ne veux pas que le public fasse trop attention à ce qui se dit. Si vous vous concentrez sur les sous-titres, cet aspect va vous échapper alors qu’il est essentiel. Alors chaque fois que je le peux, j’essaie de me débarrasser des mots. Ce n’est que du bruit, comme la musique sur la bande-son. La parole exprime une émotion mais sa signification littérale n’a pas d’importance. Quand j’étais étudiant, je passais mon temps à étudier les films européens. Et je n’ai jamais lu les sous-titres. Ils n’étaient pas nécessaires. En permanence, les images prenaient l’ascendant sur le texte. J’ai aussi grandi en écoutant de l’opéra où l’important n’est pas ce qui se dit mais la manière de chanter les paroles. C’est le contenu émotionnel du langage qui importe. (américain, vivant)



3. Je pense que les films en vision subjective sont l’avenir du cinéma. Pour en avoir fait un, je sais maintenant les choses à améliorer, et d’autres pourront le faire par rapport à ce que j’ai fait. Moi je pense que dans mon film, les plans sont parfois presque trop stables. (argentin, vivant)



4. Si c’est vrai, je le filme et je le filme comme ça se fait. Je ne ferai pas d’ellipse et je ne filmerai pas de manière à ce qu’on ne voie rien, dans le noir ou dans la pénombre, je filmerai tel quel. Voilà comment on fait une pipe, voilà comment on viole, voilà comment on se masturbe, voilà comment on branle quelqu’un et on voit tout. (hollandais, vivant)



5. Nous sommes en train de réinventer la sexualité. Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, nous sommes arrivés à un point où le sexe n'est plus une nécessité. Scientifiquement, nous pouvons nous en passer. Nous pouvons en effet nous reproduire et faire des bébés en dehors du corps. Par voie de conséquence, le sexe devient tout à la fois le terrain d'expériences nouvelles, un terrain de jeu et une gamme de services et de produits... Regardez les formes que prend la sexualité dans la publicité. C'est extrêmement cru, féroce, totalement fou. Toutes les barrières ont éclaté. (américain, vivant)[/quote]

Hum, il est quand même sacrément mort lui, hein.