FingersCrossed a écrit:
un truc qui me rend fou dans les films c'est les gens qui font des trucs sous le drap / la couette parce que je trouve ça totalement absurde.
mais en vrai je ne sais pas.
du coup :
vous arrive t'il de faire l'amour sous les draps ou la couette ?
si oui, quel % de vos relations ?
qu'est-ce qui motive de faire ça comme ça ?
avez vous eu un(e) partenaire qui ne voulait faire ça que comme ça ?
est-ce que c'est lié à l'étape dans la relation ?
pensez-vous que chez les actifs (no pun intended) occidentaux c'est répandu ou est-ce que vous pensez comme moi que c'est un truc qui se passait dans les générations précédentes mais plus aujourd'hui - conséquences de la libération des moeurs et de la pornographie ? ou c'est réservé à des gens qui sont mal dans leur corps / poids, après grossesse, ou trucs comme ça ? ou c'est hyper banal en vrai ?
Madame étant particulièrement frileuse, ça arrive durant les préliminaires en hiver.
Et plus qu'une éventuelle évolution des mœurs, c'est peut-être plus lié à l'isolation thermique des chambres. Même si je ne sais pas si on pouvait avoir tendance à se lécher l'aine, les aisselles ou les orteils à une époque sans eau courante, donc moins de désir d'une nudité complète, le retroussage pouvait souvent suffir.
Si évidemment porno et autres ont eu une évolution sur les pratiques, je pense quand même que les représentations sont à peine précurseures mais suivent l'évolution des techniques.
Le poids de l'Eglise tout ça, blabla ok, mais niveau pudeur, quasi tous nos ancêtres grandissaient à voir les animaux de la ferme faire la chose.
Et à un moment, tu lâches quand même les chevaux donc garder en tête de ne pas faire glisser les draps...
Bon, ya aussi la question d'intimité domestique. Faire ça en oubliant où est la tête du lit pour finir debout contre le mur, c'était difficilement envisageable quand tu devais partager la chambre avec les enfants ou que les murs sont en papier.
En fait, données matérielles primordiales mise à part, niveau mentalité, j'imagine que c'est beaucoup plus lié à la notion de la conscience du plaisir féminin que de pudeur. S'il n'entre pas en ligne de compte, en effet, la pénétration missionnaire d'1'30" sous les draps fait l'affaire.
Et côté pudeur visuelle, c'est quand même beaucoup plus simple d'éteindre la lumière et fermer les volets que de garder les draps sur soi.
Finalement, c'est beaucoup plus la poitrine que se cache la femme sous les draps après l'acte que je trouve risible dans les films. Ou ce besoin de s'habiller immédiatement en sortant du lit dans une habitation a priori bien isolée, sans enfants ni colocataires.
Parce qu'en dehors d'un missionnaire qu'on peut imaginer actionné déjà sous les draps en mode un peu fainéant
, la relation sexuelle dans les films, c'est soit ellipse, soit en dehors des draps. Plans serrés sur les visages ou le dos dans un clair obscur suffisants à faire la blague.
Ah si, des fois, l'actrice garde son soutif. Niveau poitrine, il peut y avoir un gros complexe pour les femmes je pense.
Paraît que depuis quelques années, l'ablation des grandes lèvres est une pratique de chirurgie esthétique courante à cause justement du porno. Possible. Même si bon, c'est quand même à un certain niveau d'intimité que tu prends assez de recul pour scruter la chatte de sa partenaire quand même.
Reste le truc. Le cunni sous les draps. Ça devient assez vite l'enfer.