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 Sujet du message: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 10:54 
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Après les acteurs, voilà le top des rémunérations pour les réalisateurs :

Onze réalisateurs de films ont touché entre 500 000 euros et un million d'euros pour un long-métrage en 2012, un seul dépassant légèrement cette somme, selon un classement effectué par la revue Écran total, en pleine polémique sur le financement du cinéma français. Selon ce classement, Laurent Tirard, qui a signé Astérix et Obélix : au service de sa majesté, a touché une rémunération de 1,05 million d'euros. Ce film, qui a concentré nombre de critiques pour son coût très élevé (61 millions d'euros selon le magazine), n'a toujours pas atteint sa rentabilité.

À la deuxième place se trouvent un groupe : les huit réalisateurs du film à sketches Les infidèles, parmi lesquels Michel Hazanavicius, Jan Kounen, Jean Dujardin ou Gilles Lellouche qui ont touché tous ensemble 987 000 euros pour un devis initial du film de 12 millions d'euros. Jean Becker est en troisième position avec 860 000 euros pour Bienvenue parmi nous, devant Frédéric Forestier et Thomas Langmann (Stars 80), 860 000 euros puis Olivier Dahan (Les seigneurs), 684 000 euros et Alain Chabat (Sur la piste du Marsupilami) 603 674 euros pour un budget de 39,3 millions d'euros.

540 000 euros pour Camping 2

Fabien Onteniente est en 8e position avec 540 000 euros pour Camping 2 et Thomas Gilou (La vérité si je mens 3) en 10e position avec 522 000 euros. Parmi les dix réalisateurs rémunérés entre 500 000 euros et moins d'un million figurent aussi bien ceux qui ont signé "les plus grands succès de l'année que ceux ayant eu plus de mal à trouver leur public", souligne Écran otal. 17 réalisateurs ont eu une rémunération entre 300 000 euros et 500 000 euros comme Michael Haneke, dont le film Amour (budget : 8,1 millions d'euros) a raflé toutes les récompenses dont la palme d'or à Cannes et un oscar du meilleur film étranger à Hollywood. Il a touché 450 000 euros et se place en 14e position juste devant les deux réalisateurs de la comédie à succès Le prénom, Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte, avec 449 000 euros.

15 sont dans la tranche entre 200 000 et 300 000 euros (Olivier Assayas, Benoit Jacquot ou Pascal Thomas). 37 se situent entre 100 000 et 200 000 euros (Noémie Lvovsky, Valérie Donzelli ou Patrick Mille). Enfin 42 ont une rémunération inférieure à 100 000 euros (Cyril Mennegun, auteur de Louise Wimmer, césar du meilleur premier film 2013). Ecran Total précise que ce classement est basé sur l'analyse des contrats que les producteurs déposent pour obtenir des investissements de leurs films. La rémunération d'un réalisateur comprend son salaire de technicien et un droit d'auteur.


http://www.lepoint.fr/culture/cinema-le ... 9362_3.php


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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 14:12 
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Est-ce que ça ne comprend que le salaire de réal ou est-ce que ça comprend le salaire en tant que scénariste aussi (vu que quasi tous ces mecs touchent à l'écriture aussi)?

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 14:36 
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C'est la manière dont on est traité qui est impropre.

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 17:05 
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Celui-là ça va :)
http://www.rue89.com/rue89-eco/2013/02/ ... ois-239546


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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 17:32 
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Il est chelou cet article, à quoi ça sert de détailler comme ça toutes ses dépenses ? J'avoue je suis circonspect...

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 17:41 
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Ah ok... je trouve ça intéressant à la base (je suis d'un naturel curieux) mais je vois pas très bien en quoi ça peut nous apprendre quoi que ce soit sur la situation du mec ou sur l'économie en général. Enfin bref.

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CroqAnimement votre


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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 18:01 
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Mr Chow a écrit:

Il gagne plus que moi l'enculé.

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 18:08 
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Mr Chow a écrit:

Victor vit donc dans une colocation de 4 personnes... On devrait pouvoir déterminer la surface de l'appartement avec la taxe d'habitation... Et ensuite on comparera ça avec les fiches de Karlito des foruméens...

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Delirium Tremens


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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 13 Mar 2013, 20:01 
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Léo a écrit:
C'est une "série" de rue89. Ils analysent le niveau de vie de différents métiers. J'avais lu celui sur... la hardeuse. :D


Judy Minx :)

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 20 Mar 2013, 17:23 
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Je ne sais même pas si j'ai déjà vu un film avec elle (ah si, un en effet, plutôt rigolo). Too much pussy est le seul truc intéressant qu'elle ait fait, au final. Elle est sympa, mais comme peut l'être une étudiante en philo à cet âge : gentille, mais bien prétentieuse :)

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 20 Mar 2013, 17:40 
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Ah oui le texte d'Ovidie sur les Femen j'étais 100% d'accord, très bien écrit, très bien argumenté.

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 20 Mar 2013, 18:58 
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Histoire de sexe(s), qui a failli sortir en salle et a été déprogrammé au tout dernier moment, est vraiment bien. De bons dialogues, des acteurs corrects, beaucoup d'humour et des scènes X très courtes (rarement plus d'une minute). La construction et la façon dont ces scènes sont amenées sont vraiment pas mal du tout. Ca donne un aperçu de ce que le porno pourrait être avec des moyens à peu près corrects (une ou deux semaines de tournage, et des acteurs qui acceptent, vu l'enjeu, d'apprendre leurs textes). Je n'ai pas vu le suivant, mais il est apparemment tout aussi bon.

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
MessagePosté: 21 Mar 2013, 09:20 
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Drôle d'idée de penser ça.

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 Sujet du message: Re: Salaires des réalisateurs
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Je l'avais partagé sur Twitter y a longtemps mais j'étais tombés sur cet article de Libération du 13 mai 1996. Pour mes gars sûrs Cosmo et FingersCrossed:

Le cinema français: les lendemains qui filment.«Pourrons-nous continuer à faire du cinéma?» A la question «comment vivez-vous», réponses de Cedric Khan, Claire Denis, Laurence Ferreira Barbosa.

Cedric Khan. «J'aurais honte de dire que je ne vis pas bien du cinéma. J'ai eu la chance de commencer, à la fin des années 80, avec un budget assez confortable pour un premier film. J'avais un salaire de réalisateur de 300.000 francs, ça correspondait aux barèmes du marché. Si je fais une moyenne, j'ai dû gagner entre 8.000 et 30.000 francs selon les périodes depuis Bar des rails. Le seul inconfort, c'est que je ne peux pas voir plus de six mois devant moi. Dès que je me pose la question du futur, j'arrête d'y penser, je ferme la lucarne. Je suis père depuis peu, il faut avoir confiance en l'avenir pour faire un enfant dans ces conditions. Je crée moi-même mon emploi et c'est fortement lié à ma cyclothymie. Quand je traverse une période sans inspiration, sans envie, sans idée, c'est une période sans travail. Ça commence par une simple déprime et six ou huit mois plus tard, ça se transforme en soucis matériels. En fait, j'ai eu la chance de travailler sur deux films de commande pour Arte depuis Bar des rails (dont Trop de bonheur qui a bénéficié d'une sortie en salle). Ça m'a sauvé la mise.

Cette question, Comment vivez-vous?, on ne se la pose pas. Pour l'instant l'envie de faire un film a toujours pris le pas sur le reste. Mon prochain film, par exemple, ne démarre pas parce que je n'accepte pas certaines choses pour le casting. C'est pourtant un film bien payé, si l'argent avait été une motivation, on aurait déjà commencé. J'ai négocié un salaire à la hausse, mais c'est simplement en rapport avec le budget. Je ne pense pas avoir une valeur. Pour moi, ça ne veut rien dire. Je peux refaire demain un film avec peu d'argent. Je ne m'installe pas dans un système où je deviendrais amer si je suis moins payé que sur le projet précédent. La seule question, c'est: Est-ce que je pourrai éternellement faire des films? Tous ces jeunes auteurs qui tournent des films actuellement peuvent vivre de leur travail, est-ce qu'ils pourront tous, est-ce que nous pourrons tous, continuer à faire du cinéma? Probablement pas.»

Claire Denis. «Quand j'ai quitté l'Idhec, je n'ai pas trouvé de travail. Dans les années 70, le cinéma n'était pas un débouché. C'était plutôt une utopie. Ceux qui sortaient de l'école entraient à l'ORTF, je n'en avais pas envie. Il y a quelque chose en moi qui m'empêche de m'engager sur des périodes longues. J'ai fait quelques boulots, dans le théâtre par exemple, puis je suis devenue assistante. J'ai commencé à avoir des revenus, à m'installer, à vivre sans connaître de périodes creuses de six mois ou un an. C'était surprenant, je ne pensais pas que ça viendrait de là, je n'avais pas fait le lien entre le cinéma et la nécessité de bosser pour avoir de l'argent. A l'époque de mon premier film, j'ai fait des économies pour avoir le temps de m'arrêter. J'étais peu préparée à me prendre en charge, assez flottante. Un premier film, c'est compliqué. Mais ce sont des problèmes financiers qui n'ont rien à voir avec l'économie personnelle, on ne fait pas la connection. Je me disais: Si ça foire, j'y passerai trois ans, et après je chercherai du boulot. J'ai encore aujourd'hui l'impression que si rien ne va, je trouverai toujours du travail.

Pour Chocolat, j'avais un salaire de 200.000 francs. Je n'ai pas négocié de pourcentage sur les recettes. De toute façon, l'importance d'un premier film, ce n'est pas ses retombées financières mais la possibilité de mettre en route un deuxième projet très vite.

J'ai voulu monter ma société de production. Comme mes films ont moins marché depuis, elle est pauvre. Mais j'espère qu'elle deviendra un outil de travail. Je gagne moins d'argent parce qu'il faut faire vivre cette structure, mais ça me convient. C'est important de comprendre le budget. D'ailleurs, j'ai l'impression de maîtriser mon rapport à l'argent dans l'économie d'un film. Alors que ça n'est pas le cas dans la vie. Mon salaire reste la part obscure. Comment savoir ce que je vaux? Parfois, j'ai tellement honte de ce que je fais que je voudrais payer.

Pour vivre, je calcule ce qu'il me faut sur un an, un an et demi. L'année ou je fais un film, je gagne 300.000 francs, après pendant deux ou trois ans, c'est différent, il faut aller aux impôts, expliquer. J'ai eu la chance de réaliser quelques projets qui ont servi de soupape. US Go Home, par exemple, ça m'a rapporté 220.000 francs pour la réalisation, 75.000 pour l'écriture du scénario. J'ai pu travailler directement après J'ai pas sommeil sans m'angoisser.

Je n'ai pas l'impression d'être installée, j'ai un mode de vie qui ne s'installe pas. J'ai plus de moyens qu'avant mais je ne suis pas propriétaire. Toujours locataire. Je paie 4.800 francs pour un studio. Je veux louer une pièce en plus et ça me semble déjà une folie. Je calcule toujours le loyer que je peux payer sur la base des Assedic pour garder une marge de liberté. J'avais une voiture, je n'en ai plus. Ça fait longtemps que je vis du cinéma, mais quand je fais un film, j'ai toujours l'impression que c'est le dernier. Le cinéma ne donne pas un statut mais il crée du désir. Je n'arrive pas à envisager ma vie future en pensant que je ferai des films, mais j'envisage à court terme de faire ce film-là.»

Laurence Ferreira Barbosa. «J'ai été assistante et j'ai fait du casting. Je vis mieux aujourd'hui. C'est pas tant que mon film m'ait rapporté beaucoup d'argent, mais j'ai eu des prix. Gervais et Cyril-Collard. 150.000 francs pour le premier, 300.000 pour le deuxième. Sans cet argent, ça aurait été tout à fait différent. Mon salaire de réalisatrice avait été fixé avec le producteur, comme il y avait très peu de moyens, c'était pas lourd, 70.000 francs en tout ­ préparation, tournage, montage ­ je ne me suis pas fait payer le scénario. Ce premier film, j'ai eu beaucoup de mal à le faire, personne n'en voulait, gagner de l'argent n'était pas ma préoccupation, j'étais logée à la même enseigne que le reste de l'équipe. Le film a bien marché, 70.000 entrées à Paris, 70.000 en province environ, mais je n'étais pas intéressée au résultat. Je n'ai rien gagné sur les recettes, les droits vidéo. La diffusion TV m'a rapporté 100.000 francs. C'est pas la richesse, mais c'est confortable. Peut-être 20.000 francs par mois. Pour moi, c'est beaucoup. Par contre, je ne me serais pas endettée pour monter mon premier film. Ça ne me serait pas venu à l'esprit d'emprunter. J'ai beaucoup d'énergie à investir mais pas dans ce genre de problèmes. Après les Gens normaux n'ont rien d'exceptionnel, j'aurais pu faire des publicités et gagner beaucoup plus mais j'ai refusé: je travaillais sur un deuxième projet de long métrage et sur un film pour Arte. Si je n'avais pas eu les prix, j'aurais sans doute bossé plus, mais là, c'était très bien comme ça, c'est la première fois que je pouvais écrire tranquillement. Maintenant, je bénéficie d'un certain crédit. Je vais être mieux payée, sans toucher des sommes folles. Pour l'instant, je ne travaille pas dans un grand confort. Je ne fais pas de films chers, je ne suis pas prête. Peut-être un jour, ça n'est pas un principe.».

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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