Forum de FilmDeCulte

C'est pas mal le Morrissey des premières années que je connais mal, Suedehead >>> This Charming Man.
Joli clip aussi.

Et là c'est le mec de Durruti Column à la guitare.
Et Ordinary World de Duran Duran a pompé le riff.

Par contre sacré loustic, quand il chie sur Thatcher ou fait The National Front Disco, est-ce qu'il déplore l'inanité ou le cynisme de l'extrême-droite ou du nationalisme, ou au contraire leur manque de force ?

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He pays penance to the air above him

N.O. - The Him

Musique tranquille.

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albert marcoeur va enregistrer un nouvel album.

Alors je préfère This Charming Man à Suedehead, mais les quatre premiers singles solo de Morrissey, c'était quelque chose, depuis le design jusqu'aux faces B, comme du temps des Smiths.




Dans The National Front Disco, il est plutôt clair qu'il en déplore le cynisme. Quant à Margaret on the Guillotine, je ne l'ai jamais vraiment aimée - la comparaison avec les paroles de The Queen is Dead fait mal.

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There is no such thing in life as normal

C'est vrai que Every Day is Like Sunday est magnifique, texte y compris, même le clip est à la hauteur





This is a coastal town
that they forgot to bomb


Your Arsenal est très bon aussi, le son plus dur lui convient bien, moins accroché par Vauxhall and I.

Avec les premiers Morrissey et les derniers Miles Davis, je peux écrire à Hadja Lahbib que mon trousseau de survie musical est constitué.

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He pays penance to the air above him

N.O. - The Him

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Trouvé cela assez casse-burne et insincère, du Ariel Pink en pire.

Déjà le premier Fleet Foxes c'était limite pour moi, dans la réduction de Simon & Garfunkel à des tics et tropes et à une forme de mysticisme troubadour chrétien fake, mais au moins c'était écoutable

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He pays penance to the air above him

N.O. - The Him

Ah dommage.
Les Fleet Foxes, quelle horreur, par contre.
Ariel Pink, j'ai bien du mal avec le culte qui lui est voué, tout en reconnaissant que c'est correct et vaguement inventif mais jamais écouté un album entier.
Pour le dernier Cindy Lee, derrière la reverb qui renvoie aux productions de Kramer (en solo ou pour les autres comme Galaxie 500), il y a un songwriting assez très maîtrisé, qui connait ses standards, ainsi cette impression de passer d'une chaîne de radio à l'autre sur laquelle joue l'album, du Brill Building, le Velvet bien sûr, à des trucs plus contemporains. La prouesse de l'album, c'est la manière dont on s'y immerge progressivement et qu'il a d'inoculer sa séduction petit à petit sur deux heures.
Cindy Lee n'est que sa dernière incarnation, il avait commencé avec Women, d'inspiration post-punk, et signé l'un des "classiques" (selon un ratio popularité/aura critique) de la décennie précédente déjà.