Forum de FilmDeCulte

c'est un vrai cinéma l'epee de bois, où c'est un home cinema amélioré qui a été aménagé en 2001 en plus rien depuis et qui projette des blu ray comme le brady ?

C'est un vrai ciné, j'y ai vu il y a déjà quelques années Le sommet des dieux. Petite salle mais projection correcte.

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CroqAnimement votre

d'accord, merci. je trouve la photo assez menacante mais je vais tenter le coup.

Belle voiture-balai au Max Linder cette semaine qui programme aussi bien ANORA que THE SUBSTANCE, le Rasoulof, ou encore L'HISTOIRE DE SOULEYMANE...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Grouille-toi plutôt de voir Here.

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La mairie tente une combine pour protéger les salles indépendantes:

Pour lutter contre ce phénomène, la mairie a introduit une toute nouvelle catégorie dans le plan local d’urbanisme (PLU) qui vient d’être adopté lors du dernier Conseil de Paris. « Ça fait des années qu’on cherche à pouvoir inscrire dans le PLU la spécificité des salles de cinémas, poursuit le « monsieur Cinéma » de la Ville. Mais c’était très compliqué car dans le code de l’urbanisme, on ne pouvait distinguer qu’entre commerce et non commerce. »

Les salles indépendantes entrent dans la catégorie du logement
Au niveau national, une révision de ce code a permis de faire bouger les lignes. Les cinémas sont désormais tous censés rentrer dans la case commerce. Mais la Ville de Paris a décidé de distinguer les grandes exploitations des petites et des moyennes. « Elles n’ont pas les mêmes besoins, notamment en termes de protection », justifie-t-on dans l’entourage de Lamia El-Aaraje, adjointe (PS) d’Anne Hidalgo en charge de l’urbanisme.

Une définition juridique des salles indépendantes — basée sur celle du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) — a été intégrée dans le nouveau PLU de la capitale. « Cela concerne toutes les salles, à l’exception des cinémas de circuits à savoir les Pathé, MK2, UGC et CGR », liste Michel Gomez. Au cabinet de Lamia El-Aaraje, on se félicite de cette « innovation » : « Introduire cette définition dans un PLU, c’est une première en France ! »

Les salles indépendantes ne rentrent plus dans la catégorie commerce mais dans celle, très hétérogène, du logement. Autrement dit, les bailleurs ou d’éventuels futurs acquéreurs ne pourront pas transformer ces surfaces en bureaux ou y installer un autre type d’activité commerciale.

« Le logement est protégé à Paris, insiste un proche l’adjointe. Le PLU interdit — sauf cas exceptionnel — de réduire la surface consacrée à cette catégorie. Cette catégorisation assure donc aux salles indépendantes de rester en dehors des appétits spéculatifs. »

https://www.leparisien.fr/paris-75/cest ... SINERM.php

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

pas sûr qu'assumer ouvertement dans la presse le bidouillage juridique dénué de sens soit la meilleure stratégie en cas de recours, mais je fais confiance à la municipalité parisienne qui fait toujours attention que les projets soient en béton armé avant d'annoncer quoi que ce soit.