Forum de FilmDeCulte

Votez pour une série de chaque duel ci-dessous. Mettez vos votes en EXERGUE bordel de merde.
Les gif, génériques, extraits musicaux, screen et scènes marquantes, remarques assassines ou dithyrambiques sont évidemment vivement encouragés.
La corruption de l'organisateur pour sauver un de vos poulains reste envisageable (lien paypal disponible en mp).
La maison FWWM (entreprise familiale depuis 1873), ne reculant devant rien, a décidé de vous madeleineprouster la gueule en incluant les génériques (autant que faire se peut).
2 séries par duel iront en 8eme.

Spaced
Hannibal
Band of Brothers

Dekalog
The Wire
The Sopranos

Twilight zone
The Haunting of Hill House
Oz

Seinfeld
Urgences
Scènes de la vie conjugale

_________________
You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Spaced
Oz
Seinfeld

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Netflix les gars, Netflix.

Hannibal

The Sopranos

Twilight zone

Seinfeld

Hannibal
The wire ( quel tirage de merde. Ton algorithme est aussi pourri que celui de QGJ.
Oz ( pour la galerie de perso: Adibosi, beecher, schillinger,kareem,Keller, Miguel)
Seinfeld( car je fête festives tous les ans avec des potes)

Seule série pour laquelle je suis sûre de mon vote :
Hannibal

Donc il n'y a pas de tête de série et des séries qui ont dominées leur poule précédente se retrouvent toutes ensembles ici. Misère.

La dure loi du sport

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Spaced
PV

Hannibal
Deux ou trois fois j'ai essayé, ça n'a jamais pris. Mikkelsen est impossible à suivre pour moi sans sous-titres, il parle pas assez fort, trop vite et a un accent à couper au couteau, ça m'a gonflé.

Band of Brothers
Vu des bouts, non.



Dekalog
PV

The Wire
Houlà, gros duel avec la suivante. Je respecte grave le travail extrêmement méticuleux sur les rouages de la police. La dépiction de la criminalité noire-américaine est spot on à deux éléments près : le romantisme achevé de la figure d'Omar, culte pour beaucoup mais qui m'a toujours parue en décalage malheureux avec la vraisemblance d'ensemble (il dépouille les dealers et il est homo (manquerait plus qu'il soit noir pour faire tiquer QGJ)), et de la même manière le côté "gangster avec une éducation" de Stringer Bell, qui lit Adam Smith et prend des cours d'économie à la fac. C'est vraiment du pur fantasme de white liberal qui ne peut s'empêcher d'être fasciné par ces criminels et de leur potentiel révolutionnaire. Et de manière générale, on est en plein dans l'optique qui consiste à chercher des explications (voire limite des justifications) pour la criminalité du lumpenprolétariat en ne pointant que des injustices structurelles comme raisons des agissements de cette partie de la population : il y a 15 ans ça me convenait tout à fait, maintenant, avec l'expérience, je trouve ça au mieux réducteur, au pire mensonger, et dans tous les cas malhonnête et lacunaire. Bref, très bonne méticulosité dans l'étude de certains milieux professionnels, mais analyse politique partisane qui préfère la dénonciation à l'étude réellement honnête du phénomène.

The Sopranos
Par pure intuition, je dirais que The Wire, The West Wing, The Sopranos et Twin Peaks représentent quatre tentatives particulièrement ambitieuses de capter des éléments de zeitgeist et d’en produire du sens. La première j’en garde un donc bon souvenir malgré mes réserves, la seconde je ne l’ai pas vue mais j’ai suffisamment lu dessus pour me permettre cette intuition (il faudra que je la voie pour confirmer ou infirmer), j’ai tartiné sur la troisième dans la poule K et la dernière j’ai aussi pu parsemer çà et là ce que j’en pensais. The Wire dénonce des dysfonctionnements structurels sources d’injustices, The West Wing fantasme une gouvernance idéale, The Sopranos montre le processus de décomposition de la monoculture occidentale, Twin Peaks fait de la poésie. Je suis team déclin & poésie.



Twilight zone
Fondateur et je materais bien tout, mais pas vu assez d'épisodes.

The Haunting of Hill House
Allez.

Oz
Grosse lacune, je dois tenter aussi.



Seinfeld
Seinfeld a tout compris de la toxicité inhérente à ses personnages, sans aucune intention de les rendre réalistes, et en fait son moteur comique. On y rit des situations dans lesquelles ils s'empêtrent et de leurs déboires et réactions. Friends n’a rien compris de la toxicité inhérente à ses personnages (Ross et Rachel en tête, les deux ou trois premières saisons sont des sommets de malaise involontaire), a contribué à les normaliser en glamourisant des comportements « amoureux » complètement immatures. Certes il y a des moments très drôles, mais la volonté d’être touchant avec des mécanismes sentimentaux qui me sont au mieux étrangers, au pire repoussants m’a toujours rendu cette sitcom suspecte. On rit certes un peu d'eux mais aussi avec eux, et c'est pas mon monde.

Urgences
Gros souvenirs des passages sur France 2, mais bon.

Scènes de la vie conjugale
PV

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Looks like meat's back on the menu, boys!

Twilight Zone
Scènes de la vie conjugale

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BAND OF BROTHERS car je suis un homme blanc old school.

L'autre poule de la mort. LE DECALOGUE car j'ai tout vu et que c'est bouleversant.

On va dire HAUNTING OF HILL HOUSE car j'ai trouvé la mise en scène carrée.
SEINFELD car c'est mon humour (sauf Kramer, surfait).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Hannibal

The Wire

The Haunting of Hill House

Seinfeld

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The Wire
Royal.

Scènes de la vie conjugale
Royal aussi.

Spaced

Twilight zone

Urgences