Forum de FilmDeCulte

77 ans. Réal anglais plutôt rare et discret mais avec quelques films pas loin d'être cultes: DISTANT VOICES, STILL LIVES ; THE LONG DAY CLOSES (qu'il faut à tout prix que je vois). Souvenir de la pleine page sur THE NEON BIBLE dans le hors-série Studio Cannes 95.

Mais de lui je n'avais vu que THE HOUSE OF MIRTH et surtout THE DEEP BLUE SEA que j'avais beaucoup aimé.

Je vais me faire un petit cycle pour combler les lacunes.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Dans ma période Hiddlestonzouze des débuts, j'avais subi The Feep Blue Sea et ça m'avait pas encouragé à en voir d'autres.

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Ah merde.
Bon bah voilà, je sais vais remettre The Deep Blue Sea et A Quiet Passion en sommet de pile.

Les deux seuls que j'ai vus, et qui sont effectivement très bien. Mais typiquement des films dans lesquels il faut vraiment s'immerger, sans risquer l'interruption.

Putain jamais entendu parler de ce mec de ma vie..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je ne trouve aucun de ses films sur mes sites habituels de téléchargement

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

J'ai trouvé DES VOIX LOINTAINES, DES VIES FIGÉES sur la Baie aux Pirates en deux secondes hier.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

De lui j'ai vu Of time and the city, assez peu de souvenirs et Sunset Song, film historique d'une totale banalité. Pas vu les meilleurs je pense.

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CroqAnimement votre

Sur lequel je ne vais plus depuis longtemps (depuis une de leurs màj il y a 7 ou 8 ans)...

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Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

NE PARLEZ PAS PIRATAGE EN PUBLIC MERCi

Barberousse c'était un ouf.

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On en trouve quelques-uns sur la Cinetek (pour ceux qui ont encore la tête à voir des films).
Je ne connais que the Deep Blue Sea (que j'avais apprécié) et un documentaire précieux (dans le mauvais sens du terme) en voiceover assez anecdotique sur Liverpool dans les années 50 sorti il y a 15 ans et vu à l'Ecran Total, avec une sensibilité camp de droite (le declin culturel de l'occident a commencé avec les Beatles, le brutalisme et le remplacement de tel parc d'attraction par un parking, à peu près la thèse du film, et il faut le déplorer calmement. Vivent les grand-mères à bigoudi et le Welfare State vu comme une appartenance de groupe).

Film dont l'écriture comme l'inspiration devaient beaucoup à Lost Lost Lost (plus intéressant) de Jonas Mekas tiens