Forum de FilmDeCulte

Alala l'ascenseur émotionnel après avoir vu le Cimino en finale ce matin. Quelle tristesse.

Du coup choix plus compliqué. Ca m'embête un peu de voter Kubrick sachant qu'il y a déjà 2001 dans les 60's, mais d'un autre coté je trouve que BL est son meilleur, celui que j'ai le plus vu et que j'ai longtemps associé à ce que pourrait être la quintessence du cinéma. Bon je suis pas mal revenu sur cet avis depuis, mais ça crée forcément des liens.
J'ai une relation moins intime avec Alien, vu une fois assez jeune dans de mauvaises conditions. Ca m'avait pas marqué plus que ça. Redécouvert il y à deux ou trois ans et j'ai pris une vraie claque, j'ai pu mieux saisir d'où venait le statut culte du film (cette DA...), sans pour autant être aussi scotché que pour un The Thing (coucou les 80's).

Donc pour l'instant pas de vote. De toute façon je crois que je suis encore sous le choc de l'élimination de The Deer Hunter.

Barry Lyndon FTW

Un film d'horreur donné gagnant heuu..

Barry Lyndon - Stanley Kubrick - 1975

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Alien

Pour l'instant sauf erreur on est à 7 pour BARRY LYNDON vs. 6 pour ALIEN.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Don’t jinx it

Orange le vendu votera à coup sûr pour Lyndon, donc c'est même 8-6.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Aka ce qu'il faut boire pour croire que Barry Lyndon est meilleur qu'Alien.

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Ah et y a un autre vendu qui a pas voté : Baptiste.
C'est fichu pour Alien.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

BARRY LYNDON

La scène linkée par Walt est l'une des plus émouvantes de tout Kubrick, c'est à la fois cruel et déchirant, délicat et sans pitié...

Alien.

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Netflix les gars, Netflix.

Ca en dit long.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Je pleure ma race à tous les coups….

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Au-delà du troll, je vois pas comment on peut rester insensible à pareille scène, à pareil cut. Dans le rythme du film, pas là de but en blanc.

Kubrick filme ses scènes émouvantes comme il filme les vaisseaux spatiaux de 2001 : c'est tellement pompeux. Et il peut pas s'empêcher de foutre du Beethoven.

C'est pour ça que ce je préfère chez lui, et de loin, c'est Eyes Wide Shut : parler de sexualité avec une froideur pareille et en même temps avec une telle pompe, c'est unique dans l'histoire du cinéma.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."